Donnerstag, 23. Oktober 2008

Schwere Verletzung des Proportionalitätsprinzips bei Flughafenentgelten

Schwere Verletzung des Proportionalitätsprinzips bei Flughafenentgelten

Der heute in zweiter Lesung abgestimmte Vorschlag für eine Richtlinie zu Flughafenentgelten soll den eventuellen Missbrauch einer marktbeherrschenden Stellung einzelner Flughäfen unterbinden. Damit soll ein Beitrag für eine ausgewogene Entwicklung des europäischen Luftverkehrssektors geleistet werden. Alle Flughäfen und Fluggesellschaften, die den Bestimmungen der vorliegenden Richtlinie unterliegen, werden einheitlichen Regelungen hinsichtlich der gegenseitigen Informationspflicht, der Transparenzanforderungen sowie der Methodik zur Berechnung der Flughafenentgelte unterworfen. Mit der geplanten Einrichtung einer unabhängigen nationalen Regulierungsbehörde wird sichergestellt, dass die Richtlinie in vollem Umfang Anwendung findet.

Eine europäische Regelung ist erforderlich, da nicht in allen EU-Mitgliedstaaten ein funktionsfähiges, nicht-diskriminierendes und nachvollziehbares Verfahren zur Entgelteberechnung vorhanden ist. Insofern sollte die vorgeschlagene Maßnahme dazu geeignet sein, Wettbewerbsverzerrungen sowohl zwischen den Flughäfen als auch zwischen einzelnen Fluggesellschaften, die unterschiedlichen Preisniveaus an einzelnen Flughäfen unterliegen, zu unterbinden. Die Institutionalisierung eines funktionierenden Mechanismus zur Konsultation und Festsetzung von Entgelten würde auch zur Stärkung der Systempartnerschaft im Luftverkehr beitragen.

Auf Luxemburg bezogen, können diese ehrgeizigen und gut gemeinten Ziele jedoch nicht erreicht werden, da der besonderen geographischen Lage und Marktgegebenheiten nicht Rechnung getragen wird.

Astrid Lulling, Europaabgeordnete für Luxemburg, hat hierzu folgende Stimmerklärung abgegeben:

"So wie bei der ersten Lesung habe ich in zweiter Lesung der Richtlinie zu Flughafenentgelten nicht zugestimmt weil das, was hier vorgeschlagen wird, zu einer unannehmbaren Diskriminierung des Flughafens Luxemburg führen wird. So kann man mit einem kleinen Land nicht umgehen. Die Anwendung der Richtlinie auf den Flughafen Luxemburg mit 1,6 Millionen Passagiern pro Jahr und die Nichtanwendung auf die direkten Konkurrenzflughäfen Frankfurt-Hahn oder Brüssel-Charleroi, welche über 3 Millionen Passagiere abfertigen, ist eine im Binnenmarkt unzumutbare Diskriminierung, nur weil eine nationale Grenze dazwischen liegt.

Nicht nationale Grenzen dürfen in diesem Fall ausschlaggebend sein, sondern objektive Kriterien, wenn es Zweck der Richtlinie sein soll, den eventuellen Missbrauch einer marktbeherrschenden Stellung von Flughäfen zu unterbinden.

Bei einem kleineren Flughafen, auch wenn er der einzige eines Landes ist, gibt es ein solches Missbrauchsrisiko nicht, zumal weil die erwähnten Konkurrenzflughäfen, wo sich auch noch Billigflieger etabliert haben, in bequemer Reichweite liegen. Luxemburg ist so klein, dass man nach 30 Minuten Autofahrt in drei benachbarten Ländern ist.

Es handelt sich hier um eine krasse Verletzung des Proportionalitätsprinzips. Deshalb lehne ich auch in 2. Lesung diesen Text, der ein Kompromiss sein soll, unter Protest ab."

Dienstag, 21. Oktober 2008

Astrid Lulling réagit au discours du Président en exercice du Conseil, M. Nicolas Sarkozy

Astrid Lulling réagit au discours du Président en exercice du Conseil, M. Nicolas Sarkozy


Suite au discours de ce jour du Président en fonction du Conseil, Monsieur Nicolas Sarkozy dans la foulée du Conseil européen de la semaine dernière Bruxelles, Astrid Lulling souligne la forte impression dégagée par le Président de la République.


"L'on peut ne pas être toujours d'accord avec lui, il est clair cependant que sa personne incarne une forme de volontarisme très nécessaire en Europe à la lumière de soubresauts actuels. Tous les bancs de l'assemblée en conviennent.


Sur l'idée du gouvernement économique, la présidence française profite de l'occasion pour promouvoir cette vieille revendication depuis la conclusion du traité de Maastricht. La crise et les décisions urgentes qu'elle réclamait ont démontré qu'un besoin de coordination politique se faisait ressentir. Que l'on appelle cette coordination "gouvernement économique" ou non, importe peu dans les faits. Les fortes convictions françaises gagneraient encore davantage en crédibilité, si la France voulait bien montrer l'exemple en matière de bonne gestion des deniers publics.


Pour le Luxembourg, et pour la place financière en particulier, la crise financière, dont nous ne mesurons pas encore la portée, aura des répercussions importantes. Les changements fondamentaux en matière de régulation financière remettront en cause bon nombre de pratiques. L'aptitude de la place financière luxembourgeoise à s'adapter au nouveau contexte ne doit pas être mésestimée. La crise sera peut-être douloureuse, elle générera aussi de nouvelles opportunités. Il convient d'en prendre toute la mesure et de se départir d'une attitude qui consiste à considérer la nouveauté et le changement comme un mal en soi. Le Luxembourg a assez de ressource pour croire en lui-même."

Ne pas décider dans la confusion dans une matière délicate comme le divorce.

"Ne pas décider dans la confusion dans une matière délicate comme le divorce."


Le Parlement européen réuni en session plénière à Strasbourg a voté sur un rapport concernant la détermination de la juridiction compétente et de la loi applicable dans le cas d'une demande de divorce ou de séparation lorsque les conjoints ont une nationalité différente ou résident dans des Etats différents.


L'innovation principale de ce règlement à adopter par le Conseil des Ministres sur lequel porte ce rapport du Parlement européen est la possibilité donnée aux conjoints de choisir de commun accord la juridiction compétente dans leur procédure de divorce.


Jusqu'au vote en plénière il semblait être claire que le choix des parties ne pourrait porter que sur la juridiction et la loi d'un Etat membre. Tel n'était plus le cas suite à un amendement oral présenté au cours du vote en plénière et adopté dans une confusion totale.


La députée européenne Astrid Lulling n'a pas participé au vote final de ce rapport parce qu'il n'était plus clair que le choix ne pourrait pas aussi porter sur un pays tiers, islamique entre autres. Elle a fait la déclaration de vote suivante en séance plénière:


" Il y a généralement en Europe trop de divorces, et en premier lieu dans mon pays. Un nombre croissant de divorces touche des couples mixtes, c'est-à-dire des couples dont les conjoints ont une nationalité différente.


La libre circulation des personnes étant un acquis de la construction européenne, il est essentiel d'établir un cadre juridique clair.


Etant consciente que les règles nationales en matière de divorce sont extrêmement disparates, j'estime à sa juste valeur le danger qui résulterait d'un véritable "tourisme" du divorce, si l'on pouvait choisir la juridiction, la plus avantageuse pour l'un des conjoints et la plus contraignante pour l'autre.


J'aurais voté pour ce rapport parce que le règlement proposé aurait pallié à des carences en permettant à deux conjoints de nationalité différente ou résidant dans des Etats membres différents de choisir d'un commun accord, en toute connaissance de cause, la juridiction compétente dans leur procédure de divorce, qui aurait dû être un des deux Etats de résidence dans l'Union européenne.


Malheureusement, pendant le vote, un amendement oral adopté a entrainé une confusion telle qu'un renvoi en commission de tout le rapport s'imposait. Faute d'un tel renvoi, je n'ai plus participé au vote final.


Le sujet est trop délicat pour être délibéré dans la confusion."

Dienstag, 14. Oktober 2008

Chorale Municipale "Ons Hemecht" aus Petingen besucht das Europäische Parlament in Brüssel

Chorale Municipale "Ons Hemecht" aus Petingen besucht das Europäische Parlament in Brüssel


Der Gesangchor "Ons Hemecht" aus Petingen war vor kurzem während einer Plenarsitzung zu Besuch im Europaparlament in Brüssel, wo die luxemburgische Europaabgeordnete Astrid LULLING sie empfing.


Nach der Begrüßung durch Astrid LULLING und ihren Mitarbeitern erklärte diese wie wichtig es ist, im Europaparlament zu verhindern, dass Arbeitsplätze im europäischen Binnenmarkt durch zu strenge europäische Regulierungen verloren gehen, wie das u.a. im Klimaschutzpaket und auch bei den europäischen Gesetzen betreffend Pflanzenschutzmittel der Fall sein könnte. Des Weiteren unterstrich sie ihre Absicht nochmals fürs Europaparlament zu kandidieren um weiterhin in den wichtigen Ausschüssen die Interessen Luxemburgs vertreten zu können. Anschlieβend stand sie den Fragen der Besucher Rede und Antwort.


Vor dem Mittagessen im Restaurant des Parlamentes hatte die Gruppe noch die Gelegenheit, auf der Zuschauertribüne die Stimmerklärung von Frau Lulling zur Bekämpfung der nicht angemeldeten Erwerbstätigkeit zu hören.


Unser Bild zeigt die Gruppe mit Astrid Lulling in Brüssel.

Mittwoch, 8. Oktober 2008

zur Bekämpfung nicht angemeldeter Erwerbstätigkeit

zur Bekämpfung nicht angemeldeter Erwerbstätigkeit: "Millionen Europäer, besonders Frauen, nicht mehr ohne eigenständige soziale Sicherheit im Regen stehen lassen."


Die Luxemburger Europaabgeordnete Astrid Lulling ist die Berichterstatterin des Ausschusses für die Rechte der Frau und die Gleichstellung der Geschlechter zu dem Problem der Bekämpfung der nicht angemeldeten Erwerbstätigkeit, das heißt unter anderem der Schwarzarbeit aber auch der Arbeit in Familienbetrieben und in der Familie überhaupt. Die Europäische Kommission hatte Ende 2007 dem Europäischen Parlament eine Mitteilung zu diesem Problem zugestellt.


Das Europäische Parlament beantragte daraufhin seinen Ausschuss für Beschäftigung und soziale Angelegenheiten, einen Bericht über diese Mitteilung zu erstellen, der nach einer neuen Prozedur ohne Aussprache im Plenum vom 8. und 9. Oktober 2008 in Brüssel abgestimmt wurde. Diese Prozedur sieht auch vor, dass im Plenum keine Änderungsanträge zu dem im Sozialausschuss abgestimmten Text eingebracht werden können, also eine "Vogel friss oder stirb" Prozedur.


Die Stellungnahme von Astrid Lulling wurde vom Frauenausschuss einstimmig angenommen und auch fast vollständig in die Entschließung des Sozialausschusses übernommen. Obwohl in dieser Entschließung (die viel zu lang und unstrukturiert ist) es auch ideologische Vorschläge gibt, welchen viele Abgeordnete nicht zustimmen wollten, stimmte Astrid Lulling dem Bericht doch zu. In einer Stimmerklärung sagte sie dazu folgendes:


"Als Berichterstatterin der Stellungnahme des Ausschusses für die Rechte der Frau und die Gleichstellung der Geschlechter kann ich der Entschließung des Ausschusses für Beschäftigung und soziale Angelegenheiten vor allem deshalb zustimmen, weil ich darin meine ganz konkreten Vorschläge für die Bekämpfung der Schwarzarbeit insbesondere und der nicht angemeldeten Erwerbstätigkeit im Allgemeinen wieder finde.


Ich bin vor allem zufrieden, dass mein Vorschlag Zustimmung fand, der die EU-Kommission auffordert, ein Pilotinstrument auszuarbeiten wie es in dem Luxemburger Projekt 2 Plus vorgeschlagen wird. Dieses Projekt wurde vom Europäischen Sozialfonds kofinanziert und unter der Schirmherrschaft des LCGB und des "Syndicat des Indépendants et des Classes Moyennes du Luxembourg (SIC)" ausgearbeitet. Es enthält ganz konkrete Vorschläge um die nicht angemeldete Erwerbstätigkeit einzudämmen und sinnlos zu machen, und zwar durch:


- eine extreme Vereinfachung der Verwaltungsschritte für den Arbeitgeber durch eine Sozialversicherung der Arbeitnehmer

-eine für den Arbeitgeber attraktive steuerliche Gestaltung insbesondere durch die Absetzbarkeit der Kosten für z.B Nachbarschaftshilfe

-Steuerbefreiung für jede Leistung, die unterhalb einer vom Mitgliedstaat festzusetzenden Schwelle honoriert wird;


Auch mein Vorschlag, ein europäisches Rahmenstatut für in Familienbetrieben mitarbeitende Ehepartner vorzuschlagen um deren verbindliche Anmeldung bei der Sozialversicherung zu erreichen, wurde übernommen.


Schließlich freue ich mich darüber, dass verlangt wird - so wie ich das vorgeschlagen habe - die atypische Familienarbeit anzuerkennen und deren Einbeziehung in ein Sozialversicherungssystem zu erwägen. Denn neben der klassischen Schwarzarbeit gibt es Millionen Europäer und insbesondere Europäerinnen, die in Familienbetrieben im Handwerk, im Handel, bei freien Berufen, in der Landwirtschaft mitarbeiten und ohne individuelle soziale Absicherung im Regen stehen gelassen werden."

Montag, 6. Oktober 2008

Lulling gibt Jungbauern Schützenhilfe

Lulling gibt Jungbauern Schützenhilfe
Kritik der Jungbauern an der europäischen Agrarpolitik
06.10.2008

Foto: Anouk Antony
Die luxemburgischen Jungbauern äußerten am Montag ihre Unzufriedenheit über die europäische Agrarpolitik.

(jot) - Die „Lëtzebuerger Bauerejugend“ ist unzufrieden mit der europäischen Agrarpolitik, bei der sie gleich mehrere Missstände ausmacht. Am Montag bezogen die Jungbauern auf einer Pressekonferenz dazu Stellung, zu der auch die EU-Abgeordnete Astrid Lulling (CSV) geladen war.
Dabei geht es um drei große Problematiken:

Mit dem sogenannten „Health Check“ (eine Bilanz der Agrarreform von 2005) will die EU-Kommission die Direktzahlungen an die europäischen Betriebe entgegen früherer Zusagen verringern. Für die Bauern würde dies laut eigener Aussage einen Verlust an Planungssicherheit bedeuten. Astrid Lulling kann dem Unmut der Luxemburger Jungbauern nur zustimmen. Sie wies unter anderem darauf hin, dass die Landwirtschaft sehr abhängig von diesen Direktzahlungen sei, da das Kostendeckungsprinzip nicht immer gegeben sei. Lulling unterstrich aber auch, dass das EU-Parlament leider keinen direkten Einfluss auf die europäische Agrarpolitik hat und nur eine beratende Funktion innehat.
Milchquotenregelung und Pestizid-Richtlinie

Bis zum Ausstieg aus der Milchquotenregelung, der 2015 Realität wird, setzen sich die Jungbauern für eine schrittweise Erhöhung der Referenzmenge ein. Dies würde es den Betrieben erlauben, mehr Milch zu produzieren, wodurch sie sich schrittweise auf das Jahr 2015 einstellen könnten, wo jedes Land selbst bestimmt, wieviel Milch es produzieren möchte. Lulling betonte in diesem Zusammenhang allerdings auch, dass die Superabgabe (eine Strafe, die bei überhöhter Milchproduktion gezahlt werden muss) bis ins Jahr 2015 nicht komplett abgeschafft werden soll, da sie gewährleiste, dass der Milchproduktion noch gewisse Grenzen gesetzt sind.

Die Pestizid-Richtlinie sieht vor, dass die Liste der zugelassenen Pflanzenschutzmittel drastisch verkürzt wird. Die Jungbauern befürchten allerdings dramatische Auswirkungen auf ihre Arbeitsweise. Sie vertreten, wie Astrid Lulling, die Meinung, dass Pestizide („Medikamente für Pflanzen“) in der Landwirtschaft unverzichtbar sind. Entgegen der Auffassung vieler Leute würden die Bauern Pestizide nicht präventiv verwenden und schließlich würden sie auch nur in vernünftigem Maß auf Pflanzenschutzmittel zurückgreifen