Dienstag, 31. März 2009

Protection sociale: renforcer les droits des travailleurs indépendants et des conjoints aidants

Communiqué de presse - 31.03.2009
Protection sociale: renforcer les droits des travailleurs indépendants et des conjoints aidants
Droits de la femme/Egalité des chances

La commission des droits de la femme veut rendre obligatoire l'affiliation aux régimes de sécurité sociale des conjoints aidants. De plus, les députés souhaitent renforcer leurs droits à la maternité des femmes exerçant une activité indépendante et des conjoints aidants.

Le PE a régulièrement insisté auprès de la Commission pour une révision de la directive en vigueur afin d'améliorer la protection sociale des conjoints aidants et de renforcer la protection de la maternité des travailleuses indépendantes et des conjoints aidants, rappelle le rapport d'Astrid Lulling (PPE-DE, LU), adopté en codécision, première lecture, par 23 voix pour, 0 contre et 2 abstentions.

Protection sociale des conjoints aidants: pour une affiliation obligatoire

La proposition de directive définit "les conjoints aidants" comme les conjoints ou les partenaires de vie des travailleurs indépendants reconnus en droit national, non salariés ni associés à l'entreprise qui participent de manière habituelle à l'activité du travailleur indépendant. Ils sont présents dans l'agriculture, le commerce, les petites et moyennes entreprises et les professions libérales.

Contrairement à la Commission qui propose une affiliation aux régimes de sécurité sociale sur une base volontaire, la commission du PE estime que les Etats membres doivent prendre les mesures nécessaires pour que les conjoints aidants s'affilient aux mêmes régimes de sécurité sociale que les travailleurs indépendants couvrant la maladie, l'invalidité et la vieillesse.

Les cotisations sociales des conjoints aidants devraient être déductibles d'impôts en tant que dépenses d'exploitation, précisent les députés, tout comme la rémunération allouée au conjoint, si les services ont effectivement été prestés et si la rémunération correspondante est adéquate.

Un droit à la maternité adapté

Les députés demandent que les Etats membres garantissent que les femmes exerçant une activité indépendante et les conjointes aidantes puissent avoir droit à un congé maternité adapté à leur spécificité.

Ce congé devrait avoir la durée de leur choix mais ne doit pas excéder la durée prévue dans la directive 92/85/CEE sur la protection des travailleuses enceintes. Cette dernière fait également l'objet d'une révision et la commission des droits de la femme se prononcera le 16 avril prochain.

Procédure : co-décision - première lecture -- Votes en commission: 23 voix pour, 0 contre et 2 abstentions -- Vote en plénière: mai

31/03/2009
Présidence : Anna ZÁBORSKÁ (PPE-DE, SK)

La commission des affaires économiques et monétaires adopte le rapport Hamon en préconisant la fin de la retenue à la source

Astrid Lulling au PE à Bruxelles: La commission des affaires économiques et monétaires adopte le rapport Hamon en préconisant la fin de la retenue à la source
Lors de sa dernière réunion ordinaire de la législature, la commission des affaires économiques et monétaires a adopté ce matin le rapport Hamon sur la proposition de modification de la directive en matière de fiscalité de l'épargne des non-résidents.
Une majorité de la commission a malheureusement soutenu le rapporteur socialiste français dans sa vision maximaliste. Le champ d'application a été étendu au-delà de ce que proposait la Commission européenne dans sa version initiale, même si les amendements incluant dividendes, produits structurés ou plus-value ont été écartés de peu. Les députés présents ont surtout voté pour la fin de la retenue à la source en 2014 et la généralisation du système d'échange d'informations.
Alors qu'il n'est plus contesté que le système d'échange d'informations connaît d'énormes ratés et que la retenue à la source est simple, économique et efficace, Astrid Lulling constate avec regret que les discussions n'ont pas été menées sur un plan technique, mais exclusivement sur un plan politique. Ses amendements qui pérennisaient la liberté de choix des Etats membres entre le système de la retenue à la source ou le système de l'échange d'informations, comme ceux de son collègue Goebbels, ont été rejetés sans argumentation convaincante. Certains députés britanniques, autrichiens ou allemands ont toutefois partagé les vues luxembourgeoises.
Il appartiendra maintenant au Parlement dans son ensemble de se prononcer sur le texte lors de la session plénière du mois d'avril à Strasbourg. Il est très probable qu'une même majorité se dégage en faveur de ces orientations. Maigre consolation, le Parlement n'a qu'une voix consultative en matière de fiscalité, le Conseil des ministres statuant à l'unanimité. Astrid Lulling pense que les propositions adoptées ce matin n'ont aucune chance d'être acceptées, notamment par le gouvernement luxembourgeois.

Freitag, 27. März 2009

Lulling plädiert für nachhaltigen Weinbau

Lulling plädiert für
nachhaltigen Weinbau
Straßburg. Die Europaabgeordnete
Astrid Lulling (CSV-EVP) hat
sich am Mittwoch für die zeitliche
Aufschiebung der neuen EUVerordnung
über die Kennzeichnung
von Wein ausgesprochen.
Die EU-Kommission will eine
entsprechende Verordnung kommende
Woche beschließen. Besonders
in Frankreich stoßen die
neuen Vorschriften über die
Kennzeichnung von Rosé-Weinen
auf Kritik. Die EU-Kommission
will mit der Übernahme der Regeln
des Internationalen Weinamtes
OIV die Wettbewerbsfähigkeit
europäischer Weine stärken. Die
internationalen Regeln sind beim
Verschneiden von Rot- und
Weiß- zu Roséweinen weniger
streng als derzeitige französische
Vorschriften. (ja)

Donnerstag, 26. März 2009

Quellensteuer unter Druck, Lulling plädiert für Pragmatismus

Quellensteuer unter Druck
Lulling plädiert für Pragmatismus

(wort.lu - 26.03.09)
Straßburg. Im Wirtschafts- und
Währungsausschuss des Europaparlaments
setzen sich die beiden
Mitglieder aus Luxemburg für eine
Neuauslegung der Richtlinie über
die Zinsbesteuerung ein, die den
Interessen und praktischen Bedürfnissen
des Finanzplatzes entgegenkommt.
Astrid Lulling (CSVEVP)
und Robert Goebbels (LSAPSPE)
forderten am Mittwoch im
Vorfeld der Ausarbeitung einer
konsultativen EP-Position, das
System der Quellensteuer auch
weiterhin als anerkannte Abwicklungsmethode
bei der grenzüberschreitenden
Besteuerung von
Zinserträgen anzuerkennen.
Nachdem sie 2003 vom Rat verabschiedet
wurde, trat die EUZinsbesteuerungsrichtlinie
2005 in
Kraft. Drei EU-Staaten – Belgien,
Luxemburg und Österreich – können
in einer Übergangsphase das
System der Quellensteuer anwenden,
die übrigen Länder regeln die
grenzüberschreitenden Finanzströme
durch das System des gegenseitigen
Informationsaustausches.
Für Lulling hat die Quellensteuer
einen großen Vorteil: „Das
System ist einfach und transparent.
In 19 EU-Ländern funktioniert
es auch auf innerstaatlicher
Ebene“. Vor dem Hintergrund der
Auswirkungen der Finanzmarktkrise
– fallende Staatseinnahmen
bei gleichzeitig steigender Arbeitslosigkeit
– haben mehrere
große EU-Länder, darunter
Deutschland, die Quellensteuer als
Hilfsinstrument zur Steuerhinterziehung
dargestellt. Unter Druck
begann die EU-Kommission vergangenen
November mit der
Überarbeitung der Richtlinie, um
„Steuerschlupflöcher zu schließen
und Steuerflucht besser zu verhindern“.
Goebbels für Abschlagsteuer
„Es stimmt nicht, dass die Quellensteuer
zu Steuerhinterziehung
führt“, sagte Lulling am Mittwoch.
„25 Prozent der Steuer bleiben in
Luxemburg, 75 Prozent werden in
das Land überwiesen, wo der
Kontoinhaber seinen Wohnsitz
hat. Ich bin dagegen, dieses erfolgreiche
und transparente System
abzuschaffen, nur weil die politische
Korrektheit dies erfordert“,
so die CSV-Abgeordnete. Schützenhilfe
erhält Luxemburg von
Österreich und von den deutschen
Liberalen. Das System des grenzüberschreitenden
Informationsaustausches
hat laut Lulling einen
großen Nachteil: „Die Zusammenarbeit
zwischen den Steuerbehörden
funktioniert in der Praxis
nicht“. Auch Robert Goebbels
warnte vor der Einführung des
grenzüberschreitenden Informationsaustausches.
Lulling zeigte
sich vor diesem Hintergrund „entsetzt“
über die Äußerungen des
deutschen SPD-Vorsitzenden
Franz Müntefering über deutsche
Soldaten.

Non à des revendications dirigistes, incompatibles avec l'économie de marché.

Oui à des prix raisonnables pour les consommateurs mais des revenus stables aux agriculteurs. Non à des revendications dirigistes, incompatibles avec l'économie de marché.


Un écart croissant entre les prix payés aux producteurs et les prix payés par les consommateurs a été enregistré dans toute l'Europe, notamment en raison d'une série de facteurs structurels, mais surtout en raison des dysfonctionnements du marché des denrées alimentaires.


Le prix final payé au consommateur en Europe est, en moyenne, cinq fois supérieur au prix payé au départ de l'exploitation. Il y a cinquante ans, les agriculteurs en Europe percevaient approximativement la moitié du prix au détail des denrées alimentaires. Aujourd'hui, cette proportion a sensiblement diminué pour atteindre 7% au Royaume-Uni et de 18% en France, en moyenne


Il est dans l'intérêt public européen de maintenir un niveau de prix approprié et d'assurer une concurrence loyale, notamment en ce qui concerne les produits stratégiques tels que les produits agricoles et les denrées alimentaires. L'Europe devrait offrir au consommateur des denrées alimentaires à des prix raisonnables et garantir la stabilité des revenus aux agriculteurs. Cette stabilité est essentielle afin d'assurer un approvisionnement constant de produits alimentaires de qualité, répondant aux normes environnementales et de sécurité européennes.


En séance plénière, la député luxembourgeoise Astrid Lulling a fait la déclaration de vote suivante sur ce rapport:


"Les objectifs de ce rapport sur l'écart des prix à la production et à la consommation ne sont contestés par personne. Une transparence accrue du marché est nécessaire afin de garantir une rémunération adéquate des producteurs et des prix justifiés à la consommation finale.


Malheureusement, le texte adopté en commission contient des propositions incompatibles avec l'économie sociale de marché. Ces propositions hyper dirigistes, du contrôle des prix, des marges et des marchés rappellent trop des recettes qui ont fait faillite et que l'on croyait appartenir définitivement au passé.


Je regrette que le rapport se focalise uniquement sur les distributeurs au lieu de prendre en considération toute la chaine de production. En effet, ce sont souvent les grands transformateurs qui achètent auprès des agriculteurs et qui abusent de leur position dominante de marché pour revendre à un prix exagéré aux distributeurs.


Par ailleurs, la création de bases de données européennes sur toute sorte de coûts et de marges, telle que proposée par le rapport conduirait à une charge administrative considérable sur les entreprises, se répercutant sur les prix de détails.


Pour éviter ces errements, j'ai proposé une résolution alternative avec le soutien de 40 signatures."

Dienstag, 24. März 2009

la structure et les taux d'accises applicables aux cigarettes et autres tabacs

Astrid Lulling à Strasbourg sur le vote du rapport Becsey concernant la structure et les taux d'accises applicables aux cigarettes et autres tabacs:



"J'ai voté pour le rapport Becsey parce qu'une augmentation excessive des accises sur les tabacs manufacturés, comme proposée par la Commission, surtout en ces temps de crise grave, serait néfaste pour l'emploi dans ce secteur en Europe. Pour lutter contre le tabagisme, l'expérience prouve que la politique des prix élevés n'est pas un moyen efficace.


Voilà pourquoi je suis aussi satisfaite qu'un alignement du taux de taxation minimum appliqué au tabac à rouler sur celui des cigarettes ait pu être évité. La fonction tampon du tabac à rouler est primordiale afin d'éviter une recrudescence de la contrebande sur le territoire européen. En Allemagne une étude a montré que dans certains Länder plus d'une cigarette sur deux est issue de la contrebande. Pour ne pas amplifier ce phénomène il faut que le tabac coupe fine puisse servir de produit de substitution à la cigarette.


Enfin, je me réjouis qu'on incite de nouveau les Etats Membres à une convergence du niveau de taxation au sein du marché unique. Mais pour cela il faudrait que les Etats membre se mettent d'accord non seulement sur les taux minima, mais aussi sur des taux maxima."

Freitag, 20. März 2009

"Groupement d'Art populaire" aus Bartringen zu Besuch im Europaparlament in Straßburg

"Groupement d'Art populaire" aus Bartringen zu Besuch im Europaparlament in Straßburg


Vor einigen Tagen besuchten die Mitglieder des "Groupement d'art populaire" aus Bartringen das Europäische Parlament in Straßburg.


Nachdem die Europaabgeordnete Astrid Lulling die Gruppe willkommen geheißen hatte, wurden die Gäste durch das Parlament geführt, um sich ein Bild des Sitzes des Parlamentes zu machen. Während dem darauf folgenden Informationsgespräch informierten die dienstälteste Europaabgeordnete die Besucher über die Rolle der verschiedenen europäischen Institutionen und über die Arbeitsweise der 785 Europaabgeordneten. Sie erläuterte den meist weiblichen Besuchern die Errungenschaften des Europäischen Parlamentes in Sachen Gleichbehandlung von Männern und Frauen. Diese seien noch weit nicht perfekt, unter anderem in Sachen gleicher Lohn für gleiche Arbeit oder Rentensplitting, aber Frau Lulling, Mitglied des Ausschuss für die Rechte der Frau und die Gleichstellung der Geschlechter, gibt den Kampf nicht auf.


Vor dem Mittagessen hatte die Besuchergruppe dann die Gelegenheit, den Europaabgeordneten von der Tribüne aus bei der Stimmabgabe zuzusehen.



Unser Bild zeigt die Gruppe mit Astrid Lulling in Straβburg.

Mittwoch, 18. März 2009

Die Luxemburger Studenten in Straβburg (ALUS) zu Gast bei Astrid Lulling im Europäischen Parlament

Die Luxemburger Studenten in Straβburg (ALUS) zu Gast bei Astrid Lulling im Europäischen Parlament


Kürzlich organisierte die Europaabgeordnete Astrid Lulling einen Informationsbesuch für den Studentenverein ALUS (Association des Luxembourgeois aux universités de Strasbourg) im Europäischen Parlament in Straβburg.


Nach der Begrüßung durch Astrid Lulling und ihre Mitarbeiter Christian Lamesch und Christophe Hansen, beide ehemalige Vorstandsmitglieder der ALUS, informierte die luxemburgische Europaabgeordnete die Teilnehmer über ihre konkrete Arbeit im Europaparlament, insbesondere im Wirtschafts- und Währungsausschuss, wo sie die Interessen des Luxemburger Finanzplatzes verteidigt und klarstellte, dass Luxemburg, obwohl es an seinem Bankgeheimnis festhält keineswegs ein Steuerparadies ist und sogar über eines der strengsten Gesetze zur Bekämpfung von Geldwäsche verfügt. Des Weiteren erklärte sie, dass das Quellensteuersystem, das unteren anderem auch in Luxemburg praktiziert wird, das einfachste und unbürokratischste System ist, um Steuerhinterziehung zu unterbinden und vorzubeugen.


Vor dem Mittagessen im Abgeordnetenrestaurant hatten die Studenten noch Gelegenheit, die Tribune des Plenarsaales zu besuchen, von wo aus sie die Abstimmungen verfolgen konnten.




Unser Bild zeigt die Gruppe mit Astrid Lulling in Straβburg.

Dienstag, 17. März 2009

Fast 80 Jahre und kein bisschen leise

Fast 80 Jahre und kein bisschen leise
15.03.2009 | 18:11 | Von unserer Korrespondentin REGINA PÖLL (Die Presse)

Die Luxemburgerin Astrid Lulling ist seit 1965 mit Pause im europäischen Parlament. „Ihre“ Themen Wein und Honig lebt sie geradezu.

BRÜSSEL. „Mindestens zwei Gläser Wein am Tag“ trinke sie, sagt die Luxemburgerin Astrid Lulling, 79. Das sei „gesund“ – es helfe gegen Herzinfarkt, Krebs und Alzheimer. Sie selbst sei der beste Beweis, findet die EU-Abgeordnete. Die parlamentarische Arbeit erfordere viel Verstand, den nicht alle Kollegen immer beweisen würden, so Lulling. Sie ist Hauptverantwortliche für das Thema „Wein und Winzer“ im EU-Parlament und nahm sich früher schon des Themas „Honig und Imker“ an – unter anderem.


Zuerst war Lulling von 1965 bis 1974 EU-Abgeordnete, seit 1989 ist sie erneut im EU-Parlament vertreten. Damit ist sie die erfahrenste unter den inzwischen 785 Mandataren. Und die älteste Frau neben zwei noch älteren Männern. Am 11. Juni 2009 wird Lulling ihren 80. Geburtstag feiern – nur vier Tage nach der EU-Wahl. „Sehr gerne“ kandidiere sie noch einmal für Luxemburg, sagt die Konservative, die am 7. Juni in der alphabetischen Liste hinter Spitzenkandidatin Viviane Reding, derzeit noch EU-Kommissarin für Medien, zu finden sein wird. Lullings Hoffnung ruht auf den Wählern ab 75. Diese sind aufgrund ihres Alters in Luxemburg zwar von der Wahlpflicht befreit. Aber „die kennen mich“, sagt Lulling, die rund 14.000 Vorzugsstimmen oder mehr sammeln will. Das werde über den Einzug der insgesamt sechs Luxemburger ins EU-Parlament entscheiden.

An Aktivität und Aktivismus fehle es Lulling nicht, bestätigen auch Parlamentskollegen aus anderen Ländern und Fraktionen. Fast ein bisschen gekränkt ist Lulling, dass sie einmal von Politik und Medien verspottet worden sei: als sie nämlich für eine Brandrede zur Förderung der Imker in ein „doch ein bisschen teures“ Kostüm von Escada schlüpfte. Das hatte Lulling auf dem Frankfurter Flughafen erstanden, weiß mit gelben Blumen, und sogar Bienen waren drauf – voilà. Doch ihren Beobachtern war das offenbar zu viel.

Beirren lässt sich Lulling in ihrem Job nicht: An fast alle Themen hat sie in ihrer Parlamentskarriere schon angestreift – aber auch an Parlamentskollegen. So in der Vorwoche bei der Abstimmung über Lkw-Mauten auf Transitstrecken: Dass die Mehrheit der Abgeordneten befand, dass Frächter – unter Auflagen – auch höhere Mauten für die Folgen von Stau zahlen müssen, sei ein „unsinniges“ Votum gewesen. Denn die Fahrer könnten ja nichts für die Staus.

Ein offenes Wort findet Lulling auch, wenn es um den EU-Vertrag von Lissabon geht: Der würde dem EU-Parlament in der Gesetzgebung noch mehr Einfluss geben. Ein Prozess, der seit den 60er-Jahren immer aufwärts gegangen sei, freut sich die Abgeordnete „ganz besonders“, die selbst immer mit Feuereifer dabei gewesen ist.

("Die Presse", Print-Ausgabe, 16.03.2009)

Montag, 16. März 2009

EU-Charta für Gleichstellung von Frauen und Männern

EU-Charta für Gleichstellung von Frauen und Männern
Förderung der

egalitären Gesellschaft
Bürgermeister freut sich über Vorreiterrolle der Gemeinde Mamer
In ihrer Sitzung vom Januar dieses Jahres befassten sich die Gemeinderäte in Mamer mit der Gleichstellung von Frauen und Männern auf kommunaler Ebene und billigten einstimmig eine diesbezügliche Europäische Charta. Im Rahmen des Internationalen Frauentages am 8. März hatten der Schöffenrat und die lokale Chancengleichheits-Kommission am vergangenen Samstag zur feierlichen Unterzeichnung dieser Charta und zur Präsentation des damit verbundenen Aktionsplanes eingeladen.

Präsidentin des Nationalen Frauenrates. In ihrer Ansprache würdigte Marie-France Berger-Modert den Mut und die Entschlossenheit der Frauen in selbstständigen Berufen und betonte ihr Recht auf Gleichstellung im öffentlichen und im privaten Leben.

Bürgermeister Gilles Roth erachtete das vorgelegte Papier als wertvollen Impulsgeber und zeigte sich erfreut über die Vorreiterrolle der Gemeinderäte in Mamer, die sich auf das Umsetzen der in einem zweijährigen Gleichstellungsaktionsplan vorgesehenen Prioritäten, Aktivitäten und Ressourcen verpflichten. Als spontanes Zeichen schlug der Bürgermeister vor, einer seit langem gestellten Anfrage nachzukommen und in der geplanten Bauzone „op Bambësch“ die öffentlichen Verkehrswege nach bekannten Frauen zu benennen.

Astrid Lulling überbrachte die Glückwünsche des Nationalen Frauenrates und bezeichnete die Gleichstellung der Frauen als ein Grundrecht, das nicht nur vor dem Gesetz anerkannt sein, sondern auch wirksam auf alle Bereiche des Lebens, in Politik, Wirtschaft, Gesellschaft und Kultur angewendet werden müsse. Trotz zahlreicher Fortschritte sei die Gleichheit wie etwa im Rentenwesen oder bei der politischen Vertretung noch immer keine Realität, so die Präsidentin, wobei sie die Frauen aufrief, durch ihre Kompetenzen und einen aktiven Einsatz eine wahrhaft egalitäre Gesellschaft zu fördern.

Für eine gediegene musikalische Umrahmung sorgte das eigens für diese Feierlichkeit unter der Leitung von Annie Margue zusammengestellte 13-köpfige Damenorchester der „Harmonie Gemeng Mamer“.(c.k.)

Samstag, 14. März 2009

Von Wahlrecht Gebrauch machen (wort.lu)

Informationsabend „Ta croix pour l'Europe“
Von Wahlrecht Gebrauch machen

Junge Politiker diskutierten über das Thema „L'Europe – une chance pour les jeunes?“
Die EU-Abgeordnete Astrid Lulling (r.) erläuterte die wichtige Rolle des Europaparlaments.(Foto: Charles Caratini)

HANFF

„Ta croix pour l'Europe“ lautete der Titel eines Informationsabends, der neulich vom Comité Spencer und der „Confédération générale de la jeunesse luxembourgeoise“ in der Maison de l'Europe in der Hauptstadt organisiert wurde. Das Rundtischgespräch mit Jungpolitikern ging um das Wahlrecht der EU-Bürger, die in Luxemburg ansässig sind und sich in die Wählerlisten für die Europawahlen am 7. Juni einschreiben können.

Astrid Lulling, die seit 1965 mit einer Unterbrechung zwischen 1974 und 1989 Abgeordnete im Europaparlament ist, rief die EU-Bürger dazu auf, von ihrem Wahlrecht Gebrauch zu machen. Das politische Gewicht des Europäischen Parlaments nehme stetig zu. Die sechs Europaabgeordneten aus Luxemburg würden die Interessen des Großherzogtums und Europas in Straßburg vertreten und verteidigen. Heutzutage würden 80 bis 85 Prozent der Gesetze auf europäischen Richtlinien beruhen. Bei der Umsetzung in den nationalen Abgeordnetenkammern gebe es ein gewisses Maß an Flexibilität. „Aber wenn die EU-Abgeordneten falsche Entscheidungen getroffen haben, dann können die nationalen Parlamente den Fehler nicht mehr korrigieren“, so die Politikerin.




Nachdem CGJL-Präsident Patrick De Rond die Wahlformalitäten erklärt hatte, wurde mit der Fragerunde begonnen. Die Teilnehmer waren Tania Matias (CSV), Christophe Schilz (LSAP), Philippe Schockweiler (Di Gréng), Jenny Beck (ADR), David Wagner (Déi Lénk), Jonathan Ponchon (DP), Patrick De Rond (CGJL), Nico Fehlen (Unel) und Gracelina Gonçalves (Comité Spencer). Die Moderation übernahm Marie-Paule Fischbach vom soziokulturellen Radio.

Eine spezielle Kampagne für die EU-Ausländer habe es bei den einzelnen Parteien nicht gegeben. Den Vertretern erschien die Mehrsprachigkeit in diesem Fall als problematisch. Christophe Schilz war der Meinung, dass nicht eine Kampagne, aber eher die Themen von Wichtigkeit seien. Tania Matias erinnerte daran, dass die CSV eine internationale Struktur für Ausländer hier im Land geschaffen habe. David Wagner sagte, dass seine Partei sich für das nationale Wahlrecht für Ausländer einsetze. Zwei Drittel der Arbeitnehmer seien nicht-luxemburgischer Nationalität. Eine Minorität treffe die Entscheidungen im Land.

Außer der ADR-Vertreterin waren alle Teilnehmer sich eins, dass Ausländer an den Legislativwahlen teilnehmen dürfen sollten. Tania Matias betonte, dass die Kriterien noch zu diskutieren seien. Eine solche Entscheidung könne man nicht von heute auf morgen umsetzen. In einer CGJL-Umfrage hatten sich übrigens 49 Prozent der Befragten für die Öffnung der nationalen Wahlen ausgesprochen.

Themen, die speziell junge Wähler bewegten, seien neben der Arbeitslosigkeit und der Wohnungsmarktproblematik sicher die Schule. Nico Fehlen erklärte, dass lediglich 17 Prozent Ausländer im klassischen Lyzeum am Unterricht teilnehmen. Besonders frankophone Ausländer würden durch die deutsche Sprache selektiert und diskriminiert. „Wir müssen den jungen Menschen die freie Wahl lassen“, forderte er.

Gracelina Gonçalves bedauerte, dass die Kampagne, um die EU-Ausländer für die Europawahlen zu motivieren, wenig sichtbar gewesen sei. Den potenziellen Wählern sei nicht bewusst, wofür genau sich die einzelnen Kandidaten einsetzen würden.

Abschließend wurde erwogen, die EU-Bürger beim Anmelden in der Gemeinde über ihr EU-Wahlrecht zu informieren oder sie eventuell automatisch auf die Wählerlisten einzutragen. Hierfür sei allerdings noch ein Mentalitätswandel von Nöten.

Donnerstag, 12. März 2009

Auf der Suche nach dem Tunnel

Europaparlament bereitet EU-Frühjahrsgipfel vor
Auf der Suche nach dem Tunnel
Womöglich fünf weitere Milliarden Euro für EIB / Warnungen vor übermäßigen Defiziten
Die Investitionsbank auf Kirchberg soll zusätzliche Geldmittel und Personal erhalten. (FOTO: ANOUK ANTONY)
VON JAKUB ADAMOWICZ
(STRASSBURG)
Die Stabilisierung der Finanzmärkte,
die Ankurbelung der Realwirtschaft
und die Sicherung von Arbeitsplätzen
sind die Hauptthemen
des kommenden Donnerstag in
Brüssel beginnenden EU-Frühjahrsgipfels.
In den nächsten Tagen entscheidet
sich, ob das fünf Milliarden
Euro umfassende EU-Konjunkturpaket
der Europäischen Investitionsbank
(EIB) für Projektfinanzierungen
bereitgestellt wird.
„Wir haben die Krise unterschätzt
und bisher nicht richtig verstanden.
Wir wissen weiterhin nicht,
wie tiefgreifend und wie lange die
aufgrund der Finanzmarktkrise
entstandene Rezession andauern
wird“, zeichnete EU-Industriekommissar
Günter Verheugen ein
düsteres Bild der wirtschaftlichen
Entwicklungsaussichten. Jan Andersson
(SPE) wurde konkreter:
„In der EU dürften laufendes Jahr
3,5 Millionen Arbeitsplätze verloren
gehen. Die Arbeitslosenrate in
der Eurozone dürfte 2009 auf 9,2
Prozent und 2010 noch weiter steigen“,
so der schwedische Berichterstatter
für beschäftigungspolitische
Maßnahmen.
Richtig koordinieren
Als Hauptursache für die weiter
andauernde Kreditklemme
nannte Verheugen die Erwartungshaltung
von Banken, „noch
eine weitere Abschreibungswelle
überstehen zu müssen“. Die Europäische
Investitionsbank könne
nur beschränkt aushelfen: „Mit ihrer
laufenden Kapitalerhöhung
stößt die EIB an die Grenzen ihrer
Handlungsfähigkeit. Im zweiten
Halbjahr 2009 wird der Kreditbedarf
vieler kleiner und mittelständischer
Betriebe nicht mehr bedient
werden können. Uns steht
eine schwere Zeit bevor“, so die
Warnung des Industriekommissars.
Die meisten der 27 EU-Staaten
haben umfassende Konjunkturprogramme
aufgelegt. Tschechiens
Europaminister Alexandr
Vondra, der am Mittwoch die
Ratspräsidentschaft im Europaparlament
vertrat, unterstrich die
Bedeutung der Koordinierung der
nationalen Maßnahmen: „Selten
waren die Risiken für den europäischen
Integrationsprozess so hoch
wie heute. Nur wenn die EU es
schafft, die Aktionen ihrer Staaten
zu koordinieren, wird sie gestärkt
aus der Wirtschaftskrise hervorgehen“.
Astrid Lulling (CSV-EVP)
erklärte: „Das sogenannte europäische
Konjunkturpaket besteht in
der Hauptsache aus der Koordinierung
der nationalen Stimulierungsmaßnahmen“.
Verheugen
forderte in diesem Zusammenhang,
der kommenden Donnerstag
und Freitag abgehaltene EU-Frühjahrsgipfel
müsse „verbindlich
einen europäischen Kompass für
alle EU-Staaten festsetzen“. EUKommissionspräsident
José Manuel
Barroso verwies auf die Bedeutung
des Binnenmarktes für
zukünftiges Wirtschaftswachstum.
In den kommenden Tagen entscheidet
sich, ob das auf EU-Ebene
geschnürte, fünf Milliarden Euro
umfassende Konjunkturpaket der
Europäischen Investitionsbank für
die Kreditvergabe in Projekte zur
Verfügung gestellt werden soll.
Für dieses Vorgehen plädierte am
Mittwoch erneut Claude Turmes
(Grüne). „Aufgrund des herausragenden
Ratings der EIB ließen
sich bis zu 30 Milliarden Euro an
Investitionsvolumen mobilisieren“,
erklärte Turmes im Plenum.
Vondra zeigte sich zu dem Vorstoß
skeptisch: „Ich werte den
Vorschlag als wahlkampftaktisches
Manöver“, sagte der tschechische
Europaminister vor dem
Hintergrund der im Juli stattfindenen
Wahlen zum Europaparlament.
Lulling: „Maß halten“
Aus Parlamentskreisen verlautete,
aufgrund des rasant zunehmenden
Arbeitspensums werde die EIB in
nächster Zukunft hunderte neuer
Arbeitsplätze schaffen.
Mehrere EP-Abgeordnete haben
am Mittwoch erneut vor einer
langfristigen Belastung der Haushalte
durch die umfassenden Konjunkturprogramme
gewarnt.
„Heute emittierte Anleihen sind
Schulden von morgen. Die Staaten
werden sie zurückzahlen müssen.
Bereits heute wird in mehreren
EU-Ländern über mögliche Steuererhöhungen
gesprochen, um die
Defizite in Zukunft abbauen zu
können“, erklärte Lulling.

Mittwoch, 11. März 2009

Déclaration de vote d'Astrid Lulling sur le plan de relance européen

Déclaration de vote d'Astrid Lulling sur le plan de relance européen


A situation exceptionnelle, moyens exceptionnels.


La conjoncture est à ce point détériorée qu'elle justifie l'action concertée des Etats pour tenter de relancer l'activité économique. Plusieurs constats s'imposent néanmoins. La situation exceptionnelle que nous connaissons ne remet pas en cause les règles élémentaires de l'économie. Les emprunts d'aujourd'hui constitueront les dettes de demain, que les Etats seront bien obligés de rembourser dans le futur. Les déficits sont peut-être nécessaires, mais leur coût à payer sera lourd. Il faut en être conscient. L'on évoque déjà les hausses d'impôts qui s'imposeront dans un futur proche pour remettre à flot les finances publiques.


Deuxièmement, toutes les dépenses engagées dans les plans de relance sont loin de se valoir. Les dépenses d'investissement dans la modernisation de l'appareil productif ou dans la recherche pèsent d'un poids très différent que les dépenses de fonctionnement. Il conviendra donc que les Etats se dotent des outils appropriés pour effectuer les choix les plus adaptés.


Enfin puisque les mots ont leur sens, précisons que le plan de relance n'est pas à proprement parler un plan européen, mais qu'il s'agit tout au plus d'une coordination des mesures nationales prises par les différents Etats membres. Faut-il aller plus loin? La question mérite d'être posée, mais la mise sur pied d'un plan de relance commun à l'Union européenne présupposerait des révisions fondamentales des politiques et des moyens européens.

Lulling begrüßt Verordnung für spritsparende Reifen ab 2011

Europaparlament leitet weitere Umsetzung des Klima- und Energiepakets ein
Neue Regeln für Industriebetriebe
Lulling begrüßt Verordnung für spritsparende Reifen ab 2011
(KARIKATUR: FLORIN BALABAN)
VON JAKUB ADAMOWICZ
(STRASSBURG)
Im Rahmen der Umsetzung des EUKlima-
und Energiepakets hat sich
das Europaparlament bei der Überarbeitung
der Richtlinie über von
Industrieanlagen verursachte Emissionen
für die Einführung von Minimalbestimmungen
ausgesprochen.
Das EP hat außerdem die Einführung
von Maßnahmen zur CO2-Reduktion
bei Autoreifen ab 2011 beschlossen.
Zudem fordern die EUVolksvertreter
mehr Transparenz an
den Energiemärkten.
„Die Verbraucher suchen nach
umweltfreundlichen und sicheren
Autos. Die Verringerung des Rollwiderstandes,
die Einführung
elektronischer Drucküberwachungssysteme
und die obligatorische
Installation des Elektronischen
Stabilitätsprogramms ESP
halte ich für sinnvoll“, sagte Astrid
Lulling (CSV-EVP) nach der Annahme
des entsprechenden Berichts
von Andreas Schwab (CDUEVP).
Mit 610 Ja-Stimmen hat das
Parlament am Dienstag den Bericht
in erster Lesung im Mitentscheidungsverfahren
gestimmt.
Von der Verordnung sind ab
2011 in der EU verkaufte Neuwagen
betroffen. Bestehende Reifenlagerbestände
müssen 30 Monate
später vom Markt genommen werden.
Ursprünglich waren zwölf
Monate vorgesehen. „Es hätte keinen
Sinn gemacht, Reifenbestände
zu vernichten und somit die Umwelt
unnötig zu belasten“, so Lulling.
Schwab betonte, europäische
Reifenhersteller würden durch die
Regelung in ihrer Wettbewerbsfähigkeit
gestärkt. „Bereits heute
kommen bei Entwicklung und
Herstellung von Reifen hoch entwickelte
Materialien und Spitzentechnologie
zum Einsatz. Die nun
beschlossenen Maßnahmen fördern
die Beschäftigung in der europäischen
Automobilindustrie“.
In der im EP-Binnenmarktausschuss
ausgearbeiteten Gesetzesvorlage
wird außerdem die
EU-Kommission dazu aufgerufen,
innerhalb von zwölf Monaten
einen Vorschlag zur Lärmreduzierung
durch die Verbesserung der
Straßenoberflächen auszuarbeiten.
„Hier besteht großes Verbesserungspotential“,
betonte
Schwab.
„Kleine Revolution“
Bei der Überarbeitung der aktuellen
Richtlinie über Industrieemissionen
hat sich das Parlament
am Dienstag entgegen dem Vorschlag
der EU-Kommission für
die Einführung von allgemein
gültigen Mindeststandards ausgesprochen.
„Das ist eine kleine
Revolution“, erklärte Berichterstatter
Holger Krahmer (FDPALDE)
nach der Abstimmung,
bei der 402 EP-Abgeordnete in
erster Lesung des Mitentscheidungsverfahrens
für den Bericht
stimmten.
Betroffen von der Überarbeitung
der Vorschriften für
Emissionen sind rund 52 000 Industrieanlagen
in der EU. „Wir
wollen mit der Einführung von
Mindeststandards die häufige Inanspruchnahme
von Ausnahmeregelungen
unterbinden“, erklärte
Krahmer am Dienstag. Ziel sei es,
im Rahmen des EU-Klima- und
Energiepakets strengere und einfachere
Regeln für bestimmte
Verbrennungsanlagen und für
Schadstoffe wie Schwefeldioxid,
Stickoxide und Feinstaub festzusetzen.
Die EU-Kommission hat
sich lediglich für striktere Grenzwerte
ausgesprochen.
Widerstand gegen die Einführung
von Mindeststandards gibt
es weiterhin vor allem in Großbritannien.
London, das 1999 vom
Erdölexporteur zum Erdölimporteur
wurde, will seinen Energiebedarf
verstärkt durch den Neubau
von Kohlekraftwerken decken
und sieht durch die Verschärfung
der EU-Vorgaben zudem
Tausende von Arbeitsplätzen
gefährdet.
Parallel zu den Maßnahmen zur
Reduzierung des CO2-Ausstoßes
durch die Optimierung von Autoreifen
und durch die Forderung
nach Einführung von Minimalstandards
bei Industrieemissionen
hat das Europaparlament in
einer Aussprache am Montag
mehr Transparenz auf den Energiemärkten
gefordert.
„Die Entwicklung neuer Anlageinstrumente
auf dem Markt für
Erdöl und andere wichtige Rohstoffe
hat zur Verstärkung der
Preisschwankungen geführt“, so
Berichterstatter Herbert Reul
(CDU-EVP). Entscheidend sei
vor diesem Hintergrund, den
steigenden Investitionsbedarf der
Mineralölkonzerne trotz zunehmender
Fluktuationen bei Preisen
und Gewinnen zu verstetigen.
„Außerdem sollte die EU-Kommission
die Beziehungen zu den
Erdölexporteuren weiter ausbauen
und

Dienstag, 10. März 2009

Stimmerklärung von Astrid Lulling zum Bericht Schwab: SAFETY OF MOTOR VEHICLES

Stimmerklärung von Astrid Lulling zum Bericht Schwab: TYPE APPROVAL REQUIREMENTS FOR THE GENERAL SAFETY OF MOTOR VEHICLES



Ich habe diesem Bericht zugestimmt, weil der Verbraucher braucht und sucht umweltfreundlichere und sichere Fahrzeuge. Was die Sicherheit der PKW betrifft, begrüße ich vor allem das obligatorische ESP (Elektronische Stabilitäts System) schon bei PKW ab dem Produktionsjahr 2011.


Was die Reifen anbelangt, halte ich die Anstrengungen, um den CO2 Ausstoß zu verringern durch verbesserte Reifen mit weniger Rollwiderstand und die Einführung von elektronischen Drucküberwachungssystemen für wertvoll. Die Reduzierung der CO2 Emissionen darf jedoch nicht auf Kosten der Sicherheit sprich der Nasshaftung der Reifen, gehen.


Zufrieden bin ich auch darüber, dass bestehende Lagerbestände nicht wie ursprünglich vorgesehen schon nach 12 Monaten vom Markt genommen werden müssen sondern erst 30 Monate nach der Einführung neuer Standards. Somit kann verhindert werden, dass Reifenbestände vernichtet werden und somit die Umwelt noch zusätzlich belastet wird. Außerdem gestatten wir so unseren von der Wirtschaftskrise stark gebeutelten Zulieferbetrieben eine ausreichende Übergangszeit, um mit den hohen, an sie gestellten Anforderungen, zurecht zu kommen.

Déclaration de vote d'Astrid Lulling sur "le small business act"

Déclaration de vote d'Astrid Lulling sur "le small business act"


La communication de la Commission sur le "Small business act" revêt une importance toute particulière dans le contexte actuel. Elle explicite en effet les principes fondamentaux qui devraient présider à l'élaboration et à la mise en œuvre des politiques tant au niveau de l'Union européenne qu'au niveau national, afin de créer des conditions d'égalité pour toutes les Pme opérant sur le territoire européen. Sur un plan plus opérationnel, elle contient également un paquet de plus de cinquante mesures distinctes, y compris quatre propositions législatives qui traduisent ces principes dans les actes. Le soutien apporté aux PME, plus particulièrement en ce temps de grave crise économique, doit être une priorité absolue. L'investissement des PME est une des clés de la reprise tant attendue.


Étant donné que la plupart des actions relèvent de la compétence des États membres, il convient de trouver les moyens d'impliquer les États membres et les instances communautaires afin de garantir que les PME tireront une valeur ajoutée des mesures qui les concernent. Certains amendements déposés par mon groupe visent à faire du principe "Think Small First" une part obligatoire de toute future législation. Je soutiens aussi l'idée d'une ligne budgétaire distincte pour les PME, l'introduction du brevet communautaire et une mise à disposition plus importante des financements destinés aux PME (notamment au travers des activités de la BEI, de la création d'un marché européen du capital-risque, ou du recours aux microcrédits).

Samstag, 7. März 2009

Debatte mit den Europaabgeordneten Lydie Polfer und Astrid Lulling: "Die Rechte der Frau - wo stehen wir in Luxemburg?"

Debatte mit den Europaabgeordneten Lydie Polfer und Astrid Lulling: "Die Rechte der Frau - wo stehen wir in Luxemburg?"

Im Rahmen des Konferenzzyklus "Les Midis de l'Europe" fand gestern im Europahaus am Krautmarkt eine von der Journalistin Diane Klein moderierte Debatte mit den Europaabgeordneten Lydie Polfer (DP) und Astrid Lulling (CSV) über Frauenrechte in Luxemburg statt. Generell gesehen sei in den letzten dreißig Jahren enorm viel passiert, betonte Lydie Polfer: angefangen mit dem von Eugène Schaus initiierten Gesetz, das verheiratete Frauen aus der Unmündigkeit herausholte über das von der DP/LSAP-Regierung 1975 gestimmte Gesetz über das allgemeine Prinzip der Gleichheit der Gehälter bei gleicher Arbeit. "Festgeschriebene Prinzipien und Realität sind aber leider nicht dasselbe", sagte sie im Hinblick darauf, dass Frauen noch immer 10-14% weniger verdienten als Männer.

"Das Parlament war eine extreme Männerwelt"

Astrid Lulling erinnerte sich an die Zeit, als sie 1965 als einzige Frau ins Parlament einzog: "Das Parlament war eine extreme Männerwelt." Da es keine Damentoilette gab, wurde für sie, um die Herrenpissoirs abzutrennen, ein Paravent aufgestellt, der als "Lulling-Paravent" in die Chambergeschichte einging. Erst als 1969 Colette Flesch als Abgeordnete dazukam, sei eine Wand eingezogen worden. Astrid Lulling - seit 29 Jahren EU-Abgeordnete und bekanntlich nochmals Kandidatin - war allerdings der Ansicht, dass die Verbesserung der Frauenrechte vor allem auf EU-Direktiven zurüchzuführen seien: "Europa bewegt etwas. Wenn Luxemburger Frauen meinen, sie müssten gegen Europa sein, schneiden sie sich ins eigene Fleisch".

Auf die Frage von Diane Klein, was Frauen falsch machten, wenn immer noch 90% der Chefpositionen von Männern besetzt seien, sagte Lydie Polfer, dass Veränderungen im Gang seien, aber halt ihre Zeit bräuchten. Man müsse die Statistiken differenziert betrachten, denn die Erwerbsquote bei den jüngeren Frauengenerationen sei wesentlich höher. Es sei allerdings auch eine Entwicklung bei den Männern gefragt, die sich auch und vor allem umstellen und mehr familiäre Verantwortung übernehmen müssten.

Von einer Quotenregelung zur Erhöhung des Frauenanteils in der Politik, der im Parlament seit 1994 bei 20% stagniert, halte sie nicht viel. Dann müsste man konsequenterweise wie in Frankreich "blockierte Listen" einführen, bei denen die Parteien über die Reihenfolge entschieden, sowie das "Panaschieren" abschaffen. Es sollte jedoch weiterhin der Bürger entscheiden können. Astrid Lulling gab dagegen zu bedenken, dass beim Panaschieren weniger die Kompetenz denn der Bekanntheitsgrad eines Kandidaten zähle.

Die Interventionen des Publikums zeigten dann allerdings, wo bei den Frauen vor allem der Schuh drückt: bei den Pensionsrechten und der seit dreißig Jahren ungelösten Frage des Pensionssplittings, die die Emotionen immer wieder hochkochen lässt.

du

Donnerstag, 5. März 2009

"Les femmes et les élections européennes"

Astrid Lulling à l'occasion de la Célébration de la Journée internationale de la femme 2009.



La députée européenne invitée, en tant que Membre du Parlement européen à l'occasion de la Journée internationale de la femme, au Colloque "Les femmes et les élections européennes" retrace son parcours politique et son point de vue sur l'avenir des femmes et leur rôle en politique.


Au début de ses mandats politiques, le monde de la politique était un monde à caractère masculin. En 1965, lors de son premier mandat au Parlement européen, seulement deux femmes y siégeaient.


La place des femmes dans la politique est un long combat et il convient de rendre hommage à celles et à ceux qui se sont engagés pour cette lutte, mais ce n'est pas pour autant un combat contre l'injustice. Mme Lulling est intimement convaincue que les droits sont ce que l'on en fait et que les femmes doivent aussi exercer leur responsabilité, faire les bons choix pour que l'égalité soit pleinement vécue.


Plutôt que de se plaindre, elle préfère mesurer le chemin parcouru: "Depuis les années 60, la donne a complètement changé et plus de 30% des eurodéputés sont actuellement des femmes. Pour mon pays, le Luxembourg, nous avons un taux femmes/hommes complètement équilibré de 50% et ces dernières années le souci s'est posé qu'il y avait plus de femmes que d'hommes qui étaient bien classées lors des élections européennes: drôle de situation!"


Néanmoins, la situation au Parlement européen est différente, seulement un tiers des Membres sont des femmes, Mme Lulling souligne qu'elles compensent la quantité par la qualité de leur travail, ainsi que par leur assiduité, leur compétence, même si ce n'est pas le cas de toutes les députés. Certaines préfèrent se faire remarquer à travers les médias dans des tenues peu adaptées. Ce genre de comportement nuit aux femmes et à leur cause, tout comme les revendications exagérées pour faire des femmes des protégées tous azimuts.


En ce qui concerne les quotas, Mme Lulling se positionne d'une façon nuancée, les quotas obligatoires, ou non, ont bien fait progresser les choses en matière de représentativité des femmes en politique, mais elle n'est pas pour autant fanatique d'une politique maximaliste en la matière. En effet, la députée déplore les dégâts provoqués par l'alternance obligatoire entre hommes et femmes sur les listes des candidats pour les européennes en France. C'est un pas de trop, une manière se priver de bons candidats tout simplement parce qu'ils ne sont pas du bon sexe.


Enfin, Mme Lulling, en tant que membre femme du Parlement européen la plus âgée et forte de sa longue carrière politique, conseille vivement aux femmes qui s'engagent en politique de s'investir dans des domaines qui se réserve habituellement aux hommes, à savoir l'économie, les finances, le budget etc. et d'en délaisser d'autres, telles que, la santé, la famille, l'éducation, la culture etc. C'est, donc, en allant vers d'autres domaines, en faisant leurs preuves et en faisant preuve d'intelligence, que les femmes gagneront en crédibilité, parce qu'elles auront prouvé qu'elles font autant voir mieux que les hommes.
Lulling: Unsichtbare Arbeit
von Frauen sozial absichern
Brüssel. Im Unternehmen mitarbeitende
Ehepartner oder anerkannte
Lebenspartner von Selbständigen,
ob Mann oder Frau,
sollten in allen EU-Staaten obligatorisch
den Sozialversicherungen
unterstellt werden. Dies fordert
die luxemburgische Abgeordnete,
Astrid Lulling (EPP-DE). Sie ist
Berichterstatterin für die geplante
Richtlinie zur Verwirklichung der
Gleichbehandlung von Männern
und Frauen, die eine selbständige
Erwerbstätigkeit ausführen. Lulling
sprach gestern an einem vom
Europäischen Parlament organisierten
Medienseminar in Brüssel.
Dort sollte im Hinblick auf die
Wahlen ins Europaparlament im
Juni auf die Bedeutung der EUPolitik
für die Frauen hingewiesen
und die Frauen zur Beteiligung
an den Wahlen ermuntert
werden. Das Thema der im Unternehmen
ihres Ehegatten mitarbeitenden
Frauen beschäftigt Lulling
schon lange. Die EU hat dazu
1986 eine Richtlinie verabschiedet,
die laut der luxemburgischen
Abgeordneten absolut nichts gebracht
hat. So wurden insbesondere
für die unsichtbare Arbeit
der Ehepartner keine Fortschritte
bei der Anerkennung und der sozialen
Sicherheit erzielt. In einzelnen
EU-Staaten können Ehepaare
nicht einmal gemeinsam ein Unternehmen
gründen. „Mit der Mätresse
oder dem Liebhaber ist
dies aber möglich“, ironisiert Lulling
die seltsame Vorschrift. 16
Prozent der Erwerbstätigen in der
EU sind selbständig, wovon lediglich
ein Drittel Frauen. EU-weit
soll es 3,75 Millionen mitarbeitende
Ehepartner (oder Familienmitglieder)
geben. In den meisten
Fällen handelt es sich dabei um
Frauen, die ihrem Ehemann im
Betrieb mithelfen. Als Vorbild für
eine EU-weite Lösung zur Absicherung
der mitarbeitenden Ehegatten
sieht Lulling das für Luxemburger
Landwirte seit 1974
geltende Pflichtversicherungssystem.
Ein ähnliches System gibt es
bei den Handwerkern, wobei allerdings
viele Ausnahmen bestehen.
Beim Mutterschaftsurlaub,
bei dem das Parlament im Moment
einen äußerst umstrittenen
Vorschlag der Kommission bearbeitet,
spricht sich Lulling dafür
aus, für Selbständige eine andere
Lösung zu treffen als für Angestellte.
(mtr)

Mittwoch, 4. März 2009

das Lohngefälle zwischen Mann und Frau bekämpfen

Die EU will mit einer Kampagne, die
sich an Sozialpartner, die Politik
und die Öffentlichkeit richtet, das
Lohngefälle zwischen Mann und
Frau bekämpfen. Geht es im jetzigen
Tempo weiter, wird der Lohnunterschied
zwischen Mann und
Frau erst in hundert Jahren fallen.
Frauen verdienen in der EU durchschnittlich
17,4 Prozent weniger als
Männer. Auf ein ganzes Arbeitsleben
gerechnet, kann sich dies bis
zu 170 000 Euro aufsummieren.
Diese Diskriminierung muss laut
EU-Beschäftigungskommissar Vladimir
Spidla bekämpft werden,
weil sie ungerecht ist, aber auch
weil sie wirtschaftlich schadet.
Bei der Lancierung einer Kampagne
zum Abbau des Lohngefälles
zwischen Frau und Mann betonte
Spidla, dass in der Wirtschaftskrise
die Gleichbehandlung von
Frauen und Männern wichtiger
denn je sei. „Wir können die Wirtschaftskrise
nur bewältigen, wenn
wir das Potenzial aller Bürgerinnen
und Bürger nutzen“, sagte
Spidla. Frauen dürften nicht als
Variable für die Abfederung der
Krise dienen, meinte der Kommissar.
Spidla verwies darauf, dass mittlerweile
60 Prozent der Universitätsdiplome
auf Frauen entfallen.
„Unternehmen müssen daraus die
Konsequenzen ziehen“, sagte der
Kommissar, wobei er noch ins Mikrofon
murmelte „wenn sie nicht
Idioten sind“.
Probleme mit Statistik
Obwohl die EU den Grundsatz
„Gleicher Lohn für gleiche Arbeit“
1975 in einer Richtlinie verankerte,
hat sich das Lohngefälle zwischen
den Geschlechtern in den letzten
Jahren kaum mehr verringert. Die
Berechnungen sind allerdings
schwierig. So hat Eurostat vor kurzem
die Methode geändert, was zu
einem statistischen Anstieg der
Lohnunterschiede führte. Auch
der Vergleich unter den einzelnen
EU-Ländern weckt Zweifel an der
Statistik. So soll Italien mit nur 4,4
Prozent die kleinsten Lohnunterschiede
haben. Allerdings ist in
Italien auch die Beschäftigungsquote
von Frauen sehr tief. Luxemburg
liegt mit einem Lohngefälle
von 10 Prozent deutlich unter dem
EU-Schnitt. Der hohe Anteil an
Dienstleistungen sowie der öffentlichen
Hand (inkl. EU) könnte der
Grund für die relativ geringe Lohndifferenz
sein. Allerdings liegt in
Luxemburg auch die Beschäftigungsquote
von Frauen mit 56,1
Prozent deutlich unter dem EUSchnitt
von 58,3 Prozent bzw. den
führenden skandinavischen Ländern.
Mit 37,2 Prozent überdurchschnittlich
hoch ist in Luxemburg
der Anteil von Frauen, die Teilzeit
arbeiten. Wenig verbreitet ist Teilzeit
dagegen bei den Luxemburger
Männern mit nur gerade 2,6 Prozent.
Bei den für die Arbeitsmöglichkeiten
von Eltern wichtigen
Kinderkrippen gehört Luxemburg
zu den fünf Staaten, welche sich
dem in Barcelona gesetzten Ziel
von 33 Prozent (Betreuungsmöglichkeit
für Kinder unter drei Jahren)
annähern.
Die luxemburgische Abgeordnete
Astrid Lulling, welche dem
Gleichstellungsausschuss des Europäischen
Parlaments angehört,
fordert die Frauen auf, mehr Mut
zu zeigen und ihre Rechte stärker
einzufordern und notfalls zu klagen.
Die gesetzlichen Möglichkeiten
seien ja da. Auch die Gewerkschaften
sollten sich stärker für
Gleichstellungsfragen einsetzen,
erklärte Lulling dem Luxemburger
Wort. Lohndiskriminierung kann
auch verheerende Auswirkungen
im Alter haben. So sind 21 Prozent
der Frauen ab 65 Jahren von Armut
bedroht. Bei den Männern beträgt
dieser Anteil nur 16 Prozent. In
Luxemburg ist dieses Risiko bisher
mit acht Prozent bei Frauen und
Männern noch gleich groß bzw. im
EU-Vergleich tief.
Stark unterrepräsentiert sind
Frauen nach wie vor in wirtschaftlichen
Entscheidungsprozessen
und in der europäischen Politik. So
werden die Zentralbanken aller 27
Mitgliedstaaten von Männern geleitet.
In den börsenkotierten
Großunternehmen (blue chip)
stellen die Männer 90 Prozent der
Verwaltungsräte und 97 Prozent
der Konzernchefs (CEOs). Dass es
auch anders gehen kann, beweist
Norwegen. Nachdem eine Quote
eingeführt wurde, stellen die
Frauen nun 43 Prozent der Führung
großer Unternehmen.