Donnerstag, 13. Dezember 2012

à propos du calendrier 2012 et 2013 des sessions parlementaires:

Arrêt de la Cour de justice de l'Union européenne à propos du calendrier 2012 et 2013 des sessions parlementaires: Astrid Lulling se réjouit de la décision limpide et sans appel de la CJUE et remet en cause la propension du Parlement à outrepasser ses compétences "L'arrêt de ce jour constitue pour moi un motif de satisfaction à plus d'un titre. L'annulation des calendriers 2012 et 2013 est la suite logique d'un viol manifeste des dispositions du traité. Il est heureux que la CJUE insiste sur l'intangibilité de celles-ci, quand bien même une majorité de députés se laissent aller à de bas calculs politiciens. J'exprime aussi ma satisfaction que le Luxembourg ait soutenu la République française dans cette affaire et ait obtenu gain de cause avec elle. Il ne s'agit pas en l'occurrence de la défense d'intérêts particuliers, mais de celle de la primauté du droit, qui elle seule peut garantir l'acquis de l'Union européenne. En ce qui concerne le Parlement européen, je noterai que ce désaveu cinglant du point du vue institutionnel intervient trois semaines après l'épisode pénible de la nomination de M. Mersch, où une majorité de parlementaires avait foulé au pied "l'esprit des lois." Obnubilés par un sentiment de toute-puissance, de trop nombreux députés estiment pouvoir s'affranchir de toutes les règles. Or, le Parlement européen se doit en premier d'adopter un comportement irréprochable plutôt que de faire la leçon à la terre entière. En ce sens, l'arrêt de ce jour revêt une importance particulière. Il contribuera à remettre à sa place une majorité de l'assemblée parlementaire qui a tendance depuis quelques mois à se permettre trop de libertés et qui ce faisant faillit à sa mission première." Astrid Lulling

Mittwoch, 12. Dezember 2012

Zum Schutz von Tieren beim Transport: Acht Stunden sollen reichen!

Astrid Lulling in Strassburg zum Schutz von Tieren beim Transport: Acht Stunden sollen reichen! Im November 2011 veröffentlichte die Kommission einen Bericht über die Auswirkungen einer Verordnung betreffend den Schutz von Tieren beim Transport, so wie dies Artikel 32 dieser Verordnung vorsieht. Die wichtigsten Schlussfolgerungen sind, dass sich die Verordnung positiv auf das Wohlbefinden der Tiere beim Transport ausgewirkt hat, dass die Verordnung keine Folgen für das Volumen des innergemeinschaftlichen Handels mit lebenden Tieren hatte und dass die Durchsetzung nach wie vor eine große Herausforderung darstellt. Der Bericht des Europaparlaments hierzu unterstreicht die Notwendigkeit einer wirksamen und einheitlichen Einführung und Durchsetzung der geltenden EU-Rechtsvorschriften für den Transport von Tieren in allen Mitgliedstaaten, wobei gleichzeitig verhältnismäßige und abschreckende Sanktionen vorzusehen wären. Bis 2014 sollte ein Vorschlag zur Schaffung eines EU-weiten gemeinsamen Rahmens für die Datenerhebung und -kontrolle mittels Satellitennavigation von der EU-Kommission vorgelegt werden. Tiere sollten auch grundsätzlich möglichst nah am Ort der Tierzucht geschlachtet werden, auch sollten die Rechtsvorschriften der EU im Bereich der Hygiene die Entwicklung mobiler oder kleiner regionaler Schlacht- und Verarbeitungsbetriebe nicht behindern. Die Luxemburger Europaabgeordnete gab zu diesem Thema gelegentlich der Straßburger Plenartagung des Europäischen Parlaments folgende Erklärung ab: "Wir fordern eine Überarbeitung der Verordnung Nr. 1/2005 auf der Grundlage der von der EFSA veröffentlichten jüngsten wissenschaftlichen Daten im Hinblick auf die Einführung von Verbesserungen bei den Bedingungen, unter denen die Tiere transportiert werden. Ein Schlüsselpunkt für mich ist ebenfalls die Transportdauer von Schlachttieren. Auch wenn ich grundsätzlich der Meinung bin dass es nicht so sehr auf die Dauer des Transports sondern auf die Transportbedingungen für Tiere ankommt, bin ich der Überzeugung, dass der Transport von Schlachtvieh auf acht Stunden begrenzt werden sollte. Wir würden somit nicht nur zum Tierschutz beitragen sondern ebenfalls die regionale Schlachtung und Vermarktung von Fleischprodukten fördern. Ein Schlachthof in Luxemburg kann nur schwer mit einer Schlachtfabrik in Ostdeutschland konkurrieren. Der unqualifizierte Mindestlohn in Luxemburg liegt bei über 1800 Euro, in Deutschland gibt es gar keinen Mindestlohn."

Sonntag, 9. Dezember 2012

"European Young Farmers Congress" - Das Europaparlament setzt auf den Einfallsreichtum der Junglandwirte

Europa verfügt, glücklicher Weise, über eine produktive Landwirtschaft die uns mit qualitativ hochwertigen Lebensmitteln versorgt und die gleichzeitig die umweltverträglichste und nachhaltigste Landwirtschaft der Welt ist. Die gemeinsame europäische Agrarpolitik durchlebt derzeit allerdings turbulente Zeiten. Ratspräsident Van Rompuy hat Einschnitte im Agrarhaushalt von über 20 Milliarden Euro für die nächsten 7 Jahre in Aussicht gestellt. Agrar-Kommissar Dacian Ciolos fordert in seinen legislativ Vorschlägen zur Reform der GAP zusätzliche Umweltauflagen die, besonders in Länder die in diesem Bereich schon vorbildlich sind, den Produzenten erhebliche Schwierigkeiten bereiten würden. Düstere Aussichten, die abschreckend auf diejenigen wirken, die sich ins Abenteuer Landwirtschaft wagen. "Nur noch 6% der Landwirte in Europe sind jünger als 35 Jahre während 30% älter als 65 sind. Wenn wir also auch noch in Zukunft ausreichend und qualitativ hochwertige Lebensmittel produzieren wollen, dürfen wir bei den Junglandwirten nicht sparen" so die Europaabgeordnete Astrid Lulling bei ihrer Ansprache anlässlich des 1. Europäischen Kongresses für Junglandwirte im Europaparlament in Brüssel. Auf Einladung von Astrid Lulling und unter der Leitung ihres Mitarbeiters Christophe Hansen, nahm eine Delegation von 8 Luxemburger Junglandwirten am Kongress mit über 350 Teilnehmern teil. Im Rahmen der Konferenz wurde auch ein Wettbewerb für die innovativsten europäischen Junglandwirte organisiert. 67 Kandidaturen aus 16 EU-Mitgliedstaaten, unter ihnen auch die der Luxemburger Christian Hahn (Rodt), Guy Wester (Alzingen) und Andy Kayser (Noertrange) waren eingegangen. Die Preise gingen bei diesem ersten Anlauf des "European Young Farmers Congress" an Vertreter aus Bulgarien, Österreich, Portugal und Spanien. (Unser Bild zeigt Astrid Lulling mit der Luxemburger Delegation)

Sonntag, 2. Dezember 2012

La mise en place d'une taxe sur les transactions financières?

La commission des Affaires économiques et monétaires autorise la procédure de coopération renforcée pour la mise en place d'une taxe sur les transactions financières, malgré le flou entretenu sur le projet Ce jeudi 29 novembre, la commission ECON a autorisé à une assez large majorité le recours à la procédure d'une coopération renforcée pour la mise en place d'une taxe sur les transactions financières. Suite à une déclaration d'intention d'onze Etats membres, la Commission a déposé une demande d'autorisation en ce sens. L'approbation du Parlement européen est nécessaire pour que le Conseil puisse statuer en la matière. Rapporteur fictif pour le groupe PPE, Astrid Lulling n'a jamais caché ses réserves, même si elle s'est pliée à la volonté majoritaire exprimée par les députés de son groupe. Lors des discussions en commission, elle a souligné combien il était regrettable que le Parlement européen se borne à donner un accord sur le principe sans disposer d'un avant-projet de texte de la Commission: "Le commissaire Semeta a répété que la proposition qui sera faite par la Commission se baserait en très grande partie sur la proposition initiale de 2011. Or celle-ci introduisait une extraterritorialité assez large pour éviter, disait-on, une délocalisation des opérations financières. Cette logique prévaudra a fortiori à l'intérieur de l'Union européenne. Mais quelle sera l'étendue exacte de cette "extraterritorialité", nous n'en savons rien? Cela dépendra des propositions et des négociations. Les travaux seront compliqués, mais ne faisons pas comme si seuls les Etats membres volontaires seront concernés. Cela n'est pas vrai: si un institut financier d'un Etat membre extérieur à la coopération renforcée effectue une opération sur une valeur provenant d'un Etat membre qui fait le jeu de la coopération renforcée, il y a fort à parier que la taxe sera exigible, de même que lorsqu'il effectue une opération avec un institut qui aura son siège dans cette même zone. Le problème demande à être posé en toute transparence. C'est aussi pour cela que j'ai regretté que la demande d'autorisation ne soit pas accompagnée au moins d'un avant-projet de texte. Nous aurions pu juger en connaissance de cause. Manifestement certains ont intérêt à cultiver un certain mystère. Cela n'est pas sain et pourrait réserver son lot de mauvaises surprises."