Dienstag, 28. Januar 2014
Syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles: une nouvelle approche orientée sur l’élevage d’essaims
Une étude publiée le 8 janvier 2014 par les chercheurs de l'université de Reading au Royaume-Uni met en évidence un manque de 2/3 des colonies d’abeilles dont l’Europe a besoin pour assurer la pollinisation indispensable au maintien de son agriculture. Cela représente un déficit de 13,4 millions de ruches, soit 7 milliards d’abeilles. Ce phénomène appelé "Le Syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles" est constaté depuis la fin des années 90 et s’amplifie d’année en année. Or, les scientifiques se sont aperçus que la pollinisation intensive par les abeilles augmente très significativement la qualité et la productivité des récoltes.
En se basant sur ce constat, Astrid Lulling a posé la question écrite suivante à la Commission européenne:
Les chercheurs de l’université de Reading au Royaume Uni ont publié le 8 janvier 2014 les résultats de leurs recherches. Il en découle qu’il manque 2/3 des colonies d’abeilles dont l’Europe a besoin pour assurer la pollinisation indispensable au maintien de son agriculture. Cela représente un déficit de 13,4 millions de ruches, soit 7 milliards d’abeilles. Ce phénomène appelé Le Syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles (ou CCD pour l'expression anglaise « Colony Collapse Disorder »), est constaté depuis la fin des années 90 et s’amplifie d’année en année. Or, les scientifiques ont constaté que la pollinisation intensive par les abeilles augmente très significativement la qualité et la productivité des récoltes.
1) La Commission n'estime-t-elle pas que parallèlement aux actions déjà menées, il serait temps d'envisager une nouvelle approche orientée sur l’élevage d’essaims destiné à pallier les 13,4 millions de colonies manquantes en Europe ?
2) La Commission estime-t-elle qu'il est indiqué de soutenir financièrement les actions concrètes actuellement menées pour favoriser la reproduction d’essaims ?
3) La Commission est-elle disposée à proposer de subventionner l’installation de ruches dans les exploitations agricoles, dont l’effet bénéfique sur la productivité aurait également pour conséquence de diminuer les subventions versées pour compenser les pertes de productivité actuellement constatées?
4) La Commission est-elle prête à soutenir financièrement l’installation de jeunes apiculteurs qui se spécialiseraient dans l’élevage d’essaims ?
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