Trierischer Vollksfreund, 29.4.08., Seite 10
Europa, deine Grenzen
Matinée in Bernkastel-Kues regt zum Gedankenaustausch an
Bernkastel-Kues. Schönrederei ist bei der luxemburgischen Europaabgeordneten Astrid Lulling nicht angesagt. „Wir sind in Europa mit einer ganzen Reihe von Problemen konfrontiert“, räumt die Gastrednerin der Europamatinée im Kloster Machern ein. Doch so sehr die Sichtweisen zu Weinqualität oder Biodiesel auch schon mal differierten – in den entscheidenden Punkten seien alle Länder einer Meinung.
Annährend 300 Gäste, vorwiegend CDU-Mitglieder, sind der Einladung der Europaabgeordneten Christa Klaß gefolgt, darunter auch Richard Groß, Vorsitzender der Initiative Region Trier, der ebenfalls eine Lanze für die EU bricht, allein schon mit Blick auf die Realisierung der jüngsten grenzüberschreitenden Projekte, wie gemeinsame Feuerwehrhäuser oder Kläranlagen. Groß hofft zudem, dass für die Bezeichnung „Großregion“ Ersatz gefunden wird. „Eine Marke muss einen Namen haben“, plädiert er für die Rückkehr zu „Saar-Lor-Lux“ wie einst.
Im Anschluss sind alle eingeladen zum Gedankenaustausch, bei dem Europa weiter im Mittelpunkt steht. Solche Begegnungen könne es gar nicht genug geben, begrüßt Professor Waldemar Hartmann (Daun) die Matinée als eine „Werbeaktion für Europa“. Hans Walter Schmitt (Konz) regt mit Blick auf das positive „grenzüberschreitende Miteinander“ eine stärkere Integration von Partnerschaften an. Angesprochen auf seine persönliche Meinung zu Europa, spricht sich Christoph Moseler aus Zeltingen-Rachtig dafür aus, dass die Länder näher zusammenwachsen. Dass sich einzelne Mitglieder wie etwa bei der Euro-Einführung aussuchen könnten, woran sie sich beteiligen wollten und woran nicht, sei seiner Ansicht nach falsch – „entweder, oder“. Ein anderer junger Mann aus Luxemburg schätzt an Europa vor allem Herausforderungen wie die des Multikulturalismus. Aber auch die „gigantische Friedenszeit“ sei etwas Besonders, betont Jérôme Lulling. Vielen sei gar nicht bewusst, „wie toll Europa ist“, verweist der Neffe der Gastrednerin auf die grundsätzliche Wichtigkeit des Dialoges. Ein früherer Mitarbeiter seiner Tante kritisiert den Widerspruch der jüngsten EU-Geschichte. Einerseits solle Europa „politische Schicksalsgemeinschaft“ sein, was bedeute, sich zu definieren, also auch Grenzen zu haben. Andererseits werde Europa immer größer und folglich auch immer undefinierbarer, erklärt er den „gefährlichen Widerspruch“. Europa müsse seine Ziele klar definieren und eine Wahl treffen: Offen sein wie eine Uno oder eine Identität haben, die nun einmal zwischen manchen Ländern eher gegeben sei als bei anderen. ves/bre
Mittwoch, 30. April 2008
Mittwoch, 23. April 2008
La ruée de la Chine vers l'Afrique est synonyme de néocolonialisme
"La ruée de la Chine vers l'Afrique est synonyme de néocolonialisme"
En session plénière à Strasbourg, le Parlement Européen a adopté un rapport de sa Commission du développement sur la politique de la Chine et ses effets sur l'Afrique. La députée européenne Astrid Lulling se réjouit de la qualité de ce document, surtout des réflexions critiques sur la politique de la Chine en Afrique contenues dans le rapport.
Après le vote en plénière, Astrid Lulling a fait la déclaration suivante:
" La Commission du développement a élaboré un rapport très équilibré sur la politique de la Chine et ses effets sur l'Afrique.
Je le vote avec d'autant plus de satisfaction parce que j'ai fait une très malheureuse expérience à l'Assemblée Parlementaire paritaire ACP-EU. Dans mon rapport sur l'impact des investissements étrangers directs dans les Etats d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, j'avais proposé quelques considérations critiques sur les investissements de la Chine en Afrique. Les délégués des pays ACP, avec la connivence des socialistes, des communistes et des verts, ont réussi à les éliminer toutes de la version finale du rapport.
Pourquoi n'ont-ils pas voulu constater le fait que les IED chinois se concentrent sur les industries extractives afin de garantir une offre suffisante en matières premières à une industrie chinoise en plein essor et qu'ils confortent souvent les gouvernements des pays ACP dans des orientations politiques qui ne vont pas dans le sens de la démocratie, de l'Etat de droit et de la réduction de la pauvreté dans ces pays.
Pourquoi ont-ils éliminé le constat que les IED asiatiques se concentrent aussi sur l'investissement dans certaines filières de sociétés multinationales qui inondent les marchés africains d'articles de mauvaise qualité, notamment de textiles?
Ceci étant, vous comprendrez ma joie lorsque je lis dans l'exposé des motifs de ce rapport, qu'il faut se demander si la ruée de la Chine en Afrique présente un facteur de prospérité ou si elle constitue un pillage des ressources naturelles africaines qui profite à la Chine et sape le développement durable. C'est aussi avec raison qu'on se préoccupe du danger que la Chine pourrait exporter en Afrique certaines de ses pires pratiques nationales, notamment la corruption, les mauvaises conditions de prêt, l'absence de droits des travailleurs et de normes environnementales. Le "safari de Pékin" en quête de ressources naturelles est bien dénoncé dans ce rapport tout comme son néocolonialisme, la concurrence déloyale et le dumping social et environnemental qui entourent les exportations chinoises qui entravent les activités africaines, conduisant les usines à la faillite et aggravant le taux de chômage. On parle du "tsunami textile" de la Chine.
Pourquoi nos partenaires africains dans l'Assemblée parlementaire paritaire ne veulent-ils pas en entendre parler?
Je prendrai soin d'attirer leur attention à ce rapport pour prouver que je ne suis pas isolée pour dénoncer cette situation préoccupante, cela dans leur intérêt. Ils feraient mieux de se préoccuper comme nous de "l'intervention" de la Chine en Afrique et de la manière dont ils nous traitent, nous, qui restons leurs meilleurs partenaires économiques et leurs plus généreux donateurs."
En session plénière à Strasbourg, le Parlement Européen a adopté un rapport de sa Commission du développement sur la politique de la Chine et ses effets sur l'Afrique. La députée européenne Astrid Lulling se réjouit de la qualité de ce document, surtout des réflexions critiques sur la politique de la Chine en Afrique contenues dans le rapport.
Après le vote en plénière, Astrid Lulling a fait la déclaration suivante:
" La Commission du développement a élaboré un rapport très équilibré sur la politique de la Chine et ses effets sur l'Afrique.
Je le vote avec d'autant plus de satisfaction parce que j'ai fait une très malheureuse expérience à l'Assemblée Parlementaire paritaire ACP-EU. Dans mon rapport sur l'impact des investissements étrangers directs dans les Etats d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, j'avais proposé quelques considérations critiques sur les investissements de la Chine en Afrique. Les délégués des pays ACP, avec la connivence des socialistes, des communistes et des verts, ont réussi à les éliminer toutes de la version finale du rapport.
Pourquoi n'ont-ils pas voulu constater le fait que les IED chinois se concentrent sur les industries extractives afin de garantir une offre suffisante en matières premières à une industrie chinoise en plein essor et qu'ils confortent souvent les gouvernements des pays ACP dans des orientations politiques qui ne vont pas dans le sens de la démocratie, de l'Etat de droit et de la réduction de la pauvreté dans ces pays.
Pourquoi ont-ils éliminé le constat que les IED asiatiques se concentrent aussi sur l'investissement dans certaines filières de sociétés multinationales qui inondent les marchés africains d'articles de mauvaise qualité, notamment de textiles?
Ceci étant, vous comprendrez ma joie lorsque je lis dans l'exposé des motifs de ce rapport, qu'il faut se demander si la ruée de la Chine en Afrique présente un facteur de prospérité ou si elle constitue un pillage des ressources naturelles africaines qui profite à la Chine et sape le développement durable. C'est aussi avec raison qu'on se préoccupe du danger que la Chine pourrait exporter en Afrique certaines de ses pires pratiques nationales, notamment la corruption, les mauvaises conditions de prêt, l'absence de droits des travailleurs et de normes environnementales. Le "safari de Pékin" en quête de ressources naturelles est bien dénoncé dans ce rapport tout comme son néocolonialisme, la concurrence déloyale et le dumping social et environnemental qui entourent les exportations chinoises qui entravent les activités africaines, conduisant les usines à la faillite et aggravant le taux de chômage. On parle du "tsunami textile" de la Chine.
Pourquoi nos partenaires africains dans l'Assemblée parlementaire paritaire ne veulent-ils pas en entendre parler?
Je prendrai soin d'attirer leur attention à ce rapport pour prouver que je ne suis pas isolée pour dénoncer cette situation préoccupante, cela dans leur intérêt. Ils feraient mieux de se préoccuper comme nous de "l'intervention" de la Chine en Afrique et de la manière dont ils nous traitent, nous, qui restons leurs meilleurs partenaires économiques et leurs plus généreux donateurs."
Montag, 21. April 2008
C'est le Statut des députés qui compte, non pas les vues personnelles de certains députés
Astrid Lulling à Strasbourg sur la décharge 2006: C'est le Statut des députés qui compte, non pas les vues personnelles de certains députés.
La députée européenne luxembourgeoise Astrid Lulling, membre du Bureau du Parlement européen et de son groupe de travail sur le statut des députés, assistants et fonds de pension, a fait à Strasbourg la déclaration suivante au sujet du rapport Pomés Ruiz concernant la décharge 2006:
"Je suivrai l'écrasante majorité de notre Commission du contrôle budgétaire pour donner décharge à notre Président sur l'exécution du budget du Parlement pour 2006.
Malheureusement, dans la proposition de résolution fleuve qui nous est présentée à côté de la décision de décharge, il y a un certain nombre de propositions, de demandes et de remarques qui soit, enfoncent des portes ouvertes, (comme par exemple le § 58), soit ne respectent pas les usages et traditions dans les Etats membres comme par exemple celle qui veut interdire à un député d'employer un membre de sa famille dans son secrétariat (on interdit d'employer un conjoint, mais on peut employer un partenaire), soit sont inexactes, comme les § 71, 72 et 73 qui concernent le Fonds de pension volontaire.
Malgré les efforts d'information et de mises au point répétés du Président du Fonds de Pension, on s'obstine à répéter des contre-vérités sur le déficit actuariel du Fonds. Heureusement, la situation financière du Fonds est bonne (en tout cas meilleure que celles de centaines de Fonds dans les Etats membres) grâce à une gestion exemplaire.
Les membres du Fonds peuvent être rassurés. Il est en mesure déjà aujourd'hui de garantir les droits acquis jusqu'en 2060 (car une prédiction estime que le membre le plus jeune du Fonds mourra en 2060). D'ailleurs, comment peut-on demander au Fonds de Pension d'actualiser ses comptes annuels ainsi que sa situation actuarielle de 2007 avant le 15 mars 2008 dans un rapport qui concerne la décharge de 2006? Je peux cependant les rassurer. Cette actualisation existe, mais elle sera d'abord présentée au Conseil d'administration du Fonds. Permettez-moi de rappeler dans cet ordre d'idées que le Parlement européen a dépensé inutilement 36.000 euros pour faire un rapport actuariel "indépendant". Où est-il? Quelle sont les conclusions? Est-ce qu'il diffère de celles établies par le Fonds? Pour autant que je sache, non!
En ce qui concerne les §§ 72 et 73, il faudrait distinguer entre les désirs de certains membres de la Cocobu et la réalité telle qu'elle découle du Statut des Membres. Prétendre que ni les députés actuels ni les autres affiliés ne pourront continuer à cotiser au Fonds est tout simplement incompatible avec l'article 27 du Statut. Ce ne sont heureusement pas les désirs de certains, même s'ils ont fait l'objet de décisions dans le cadre de résolution adoptés à l'occasion de la décharge pour les exercices 2004 et 2005, qui comptent, mais le Statut.
Le groupe de travail du Bureau sur le statut des membres, dont je fais partie, a fait son travail. Il a préparé les mesures nécessaires, non pas conformément à des désirs exprimés dans des résolutions, mais conformément à l'article 27 du Statut des Membres, adopté par le Conseil européen le 19 juillet 2005, par le Parlement européen le 25 septembre 2005 et publié au journal officiel de l'UE le 7 octobre 2005.
Je voudrais aussi me distancer du véritable procès d'intention fait à notre administration, contenu dans le § 59 en ce qui concerne l'application correcte et cohérente de la réglementation concernant les frais et indemnités. Si une infime minorité des membres a interprété nos règles, qui sont bonnes et transparentes, d'une façon qui frise l'irrespect, il faut y remédier, mais il faut s'abstenir de nuire à l'image de tout le Parlement par des déclarations populistes."
La députée européenne luxembourgeoise Astrid Lulling, membre du Bureau du Parlement européen et de son groupe de travail sur le statut des députés, assistants et fonds de pension, a fait à Strasbourg la déclaration suivante au sujet du rapport Pomés Ruiz concernant la décharge 2006:
"Je suivrai l'écrasante majorité de notre Commission du contrôle budgétaire pour donner décharge à notre Président sur l'exécution du budget du Parlement pour 2006.
Malheureusement, dans la proposition de résolution fleuve qui nous est présentée à côté de la décision de décharge, il y a un certain nombre de propositions, de demandes et de remarques qui soit, enfoncent des portes ouvertes, (comme par exemple le § 58), soit ne respectent pas les usages et traditions dans les Etats membres comme par exemple celle qui veut interdire à un député d'employer un membre de sa famille dans son secrétariat (on interdit d'employer un conjoint, mais on peut employer un partenaire), soit sont inexactes, comme les § 71, 72 et 73 qui concernent le Fonds de pension volontaire.
Malgré les efforts d'information et de mises au point répétés du Président du Fonds de Pension, on s'obstine à répéter des contre-vérités sur le déficit actuariel du Fonds. Heureusement, la situation financière du Fonds est bonne (en tout cas meilleure que celles de centaines de Fonds dans les Etats membres) grâce à une gestion exemplaire.
Les membres du Fonds peuvent être rassurés. Il est en mesure déjà aujourd'hui de garantir les droits acquis jusqu'en 2060 (car une prédiction estime que le membre le plus jeune du Fonds mourra en 2060). D'ailleurs, comment peut-on demander au Fonds de Pension d'actualiser ses comptes annuels ainsi que sa situation actuarielle de 2007 avant le 15 mars 2008 dans un rapport qui concerne la décharge de 2006? Je peux cependant les rassurer. Cette actualisation existe, mais elle sera d'abord présentée au Conseil d'administration du Fonds. Permettez-moi de rappeler dans cet ordre d'idées que le Parlement européen a dépensé inutilement 36.000 euros pour faire un rapport actuariel "indépendant". Où est-il? Quelle sont les conclusions? Est-ce qu'il diffère de celles établies par le Fonds? Pour autant que je sache, non!
En ce qui concerne les §§ 72 et 73, il faudrait distinguer entre les désirs de certains membres de la Cocobu et la réalité telle qu'elle découle du Statut des Membres. Prétendre que ni les députés actuels ni les autres affiliés ne pourront continuer à cotiser au Fonds est tout simplement incompatible avec l'article 27 du Statut. Ce ne sont heureusement pas les désirs de certains, même s'ils ont fait l'objet de décisions dans le cadre de résolution adoptés à l'occasion de la décharge pour les exercices 2004 et 2005, qui comptent, mais le Statut.
Le groupe de travail du Bureau sur le statut des membres, dont je fais partie, a fait son travail. Il a préparé les mesures nécessaires, non pas conformément à des désirs exprimés dans des résolutions, mais conformément à l'article 27 du Statut des Membres, adopté par le Conseil européen le 19 juillet 2005, par le Parlement européen le 25 septembre 2005 et publié au journal officiel de l'UE le 7 octobre 2005.
Je voudrais aussi me distancer du véritable procès d'intention fait à notre administration, contenu dans le § 59 en ce qui concerne l'application correcte et cohérente de la réglementation concernant les frais et indemnités. Si une infime minorité des membres a interprété nos règles, qui sont bonnes et transparentes, d'une façon qui frise l'irrespect, il faut y remédier, mais il faut s'abstenir de nuire à l'image de tout le Parlement par des déclarations populistes."
Mittwoch, 16. April 2008
"Fraen a Mammen" aus Holzem besuchen das Europäische Parlament in Brüssel
"Fraen a Mammen" aus Holzem besuchen das Europäische Parlament in Brüssel
Die Vereinigung 'Fraen a Mammen' aus Holzem war vor kurzem während einer Miniplenarsitzung zu Besuch im Europaparlament in Brüssel, wo die luxemburgische Europaabgeordnete Astrid LULLING sie empfing.
Nach der Begrüßung durch Astrid LULLING und ihren Mitarbeitern Christian Lamesch und Henri Wagener referierten diese über die Funktionsweise des Parlamentes, der Krise im Tibet und deren Auswirkungen auf die Olympische Spiele sowie über den zukünftigen Posten des Präsidenten der Europäischen Union. Anschlieβend beantworteten Sie die zahlreichen Fragen der Besucher.
Vor dem Mittagessen im Restaurant des Parlamentes hatte die Gruppe noch die Gelegenheit, auf der Zuschauertribüne des Plenarsaales unter anderem die Abstimmung des fraktionsübergreifenden Entschließungsantrags zu den Olympischen Spielen und der Lage in Tibet mitzuverfolgen.
Unser Bild zeigt die Gruppe mit Astrid Lulling in Brüssel
Die Vereinigung 'Fraen a Mammen' aus Holzem war vor kurzem während einer Miniplenarsitzung zu Besuch im Europaparlament in Brüssel, wo die luxemburgische Europaabgeordnete Astrid LULLING sie empfing.
Nach der Begrüßung durch Astrid LULLING und ihren Mitarbeitern Christian Lamesch und Henri Wagener referierten diese über die Funktionsweise des Parlamentes, der Krise im Tibet und deren Auswirkungen auf die Olympische Spiele sowie über den zukünftigen Posten des Präsidenten der Europäischen Union. Anschlieβend beantworteten Sie die zahlreichen Fragen der Besucher.
Vor dem Mittagessen im Restaurant des Parlamentes hatte die Gruppe noch die Gelegenheit, auf der Zuschauertribüne des Plenarsaales unter anderem die Abstimmung des fraktionsübergreifenden Entschließungsantrags zu den Olympischen Spielen und der Lage in Tibet mitzuverfolgen.
Unser Bild zeigt die Gruppe mit Astrid Lulling in Brüssel
Freitag, 4. April 2008
Moselweine können ohne Gesundheitsrisiko getrunken werden
Astrid Lulling, zur Hetzkampagne der Grünen gegen europäischen Wein: Moselweine können ohne Gesundheitsrisiko getrunken werden!
Am 26. März haben die Grünen im Europäischen Parlament in Brüssel in einer Pressekonferenz zusammen mit der PAN (Pestizid-Aktions-Netzwerk) behauptet, europäische Weine wären mit Rückständen von Pflanzenschutzmitteln belastet, welche krebserregend, erbgutverändernd und fortpflanzungsgefährdend seien.
Die europäische Presse hat diese unkontrollierten Behauptungen übernommen und damit bei den Konsumenten den Eindruck erweckt, der Genuss europäischer Weine wäre gesundheitsschädigend. Von Weinen aus Drittländern war dabei nicht die Rede, was die Verbraucher natürlich annehmen lässt, diese könnten im Gegenteil zu europäischen Weinen bedenkungslos getrunken werden.
Diese Kampagne wurde von den Grünen gestartet aufgrund der Beratungen im Europäischen Parlament über das Pflanzenschutzpaket, in dessen Verlauf fundamentale Vorschläge der Grünen, den Einsatz von Pflanzenschutzmitteln in Europa um 50% zu reduzieren und allen Lebensmitteln einen "Pestizidenpass" beizufügen, bisher nicht in dem von ihnen gewünschten Maß zum Zuge kamen.
Mit dieser Aktion wollen sie Panik unter Verbrauchern schieren und Wasser auf ihre Mühlen lenken, ohne Rücksicht darauf, dass die Schädigung der europäischen Weinwirtschaft jeder rechtlichen Grundlage entbehrt.
Unverzüglich nach dieser Pressekonferenz über angebliche gesundheitsgefährdende Rückstandsmengen von Pflanzenschutzmitteln in europäischen Weinen haben sowohl der Deutsche Weinbauverband als auch das deutsche Bundesinstitut für Risikobewertung eindeutig erklärt, dass es keine gesundheitlichen Risiken durch die von den Grünen angeblich nachgewiesenen Pestiziden. Rückstände im Wein gibt.
Nach ihrer Kollegin Christa Klass von der deutschen Mosel, hat auch die Luxemburger Europaabgeordnete Astrid Lulling in Brüssel gegen diese, die Weinkonsumenten verunsichernde Kampagne der Grünen im Europaparlament reagiert.
Bezeichnend ist, so erklärte sie Brüssel, dass Greenpeace, die zunächst bei dieser Aktion mitwirkte, sich bereits zurückgezogen hat und öffentlich verlauten ließ, totale Panik sei nicht nötig und sie wollten den Weintrinkern nicht den völligen Verzicht predigen.
Nach Rückfragen bei den zuständigen Stellen in Luxemburg, die sowohl Weinproben wie auch Weintrauben auf Pflanzenschutzmittel untersuchen, wurde Astrid Lulling bestätigt, dass noch nie eine genommene Probe über der geltenden Höchstgrenzen lag.
Übrigens wurden Anfang März die seit langem geforderten europaweit einheitlichen Rückstandshöchstgehalte an Pestiziden veröffentlicht.
In Luxemburg werden fast keine Insektizide mehr verwendet, da praktisch an der ganzen Mosel das biologische Konfusionsverfahren mit Pheromonen angewandt wird.
Astrid Lulling, Präsidentin der Intergruppe Wein-Tradition-Qualität im Europäischen Parlament erklärte in Brüssel, dass unumstritten sei dass Pflanzenschutzmittel, die gesundheitsgefährdend sind, die als krebserregend, erbgutschädigend und fortpflanzungsgefährdend eingestuft werden, untesagt werden müssten.
Sie verurteilte aber die Hetzkampagne der Grünen, so wie das übrigens auch das 'Comité Européen des Entreprises du Vin" bereits am 27. März in Brüssel tat, da in den PAN-Analysen nur verschwindend geringe Spuren von Pflanzenschutzmitteln entdeckt wurden, weit weniger als ausdrücklich in der Europäischen Union erlaubt sind.
Um Behauptungen von PAN entgegenzutreten, die Rückstände im Wein wären höher als die im Trinkwasser tolerierten, wies Astrid Lulling darauf hin, dass es gemäß wissenschaftlicher Aussagen unsinnig ist, Wasser mit Wein zu vergleichen, weil die zugelassenen Grenzwerte sehr unterschiedlich sind.
Man müsste, so die Wissenschaftler, schon 200 Liter Wein pro Tag trinken, um an eine gesundheitsgefährdende Grenze zu stoßen.
________________________________________________________________
Für weitere Informationen können sie sich mit dem Sekretariat von Astrid Lulling in Verbindung setzen: astrid.lulling@europarl.europa.eu
Ein Gespräch zwischen Christa Klass und Astrid Lulling zu dieser Kampagne der Grünen gegen den europäischen Wein ist auf der Internetseite www.astridlulling.lu zu sehen. Das Gespräch wird vom 4. bis 10. April auf dem DOK-Kanal gesendet. Sendezeiten sind in den von Tages- und Wochenzeitungen veröffentlichten Fernsehprogrammen vermerkt.
Am 26. März haben die Grünen im Europäischen Parlament in Brüssel in einer Pressekonferenz zusammen mit der PAN (Pestizid-Aktions-Netzwerk) behauptet, europäische Weine wären mit Rückständen von Pflanzenschutzmitteln belastet, welche krebserregend, erbgutverändernd und fortpflanzungsgefährdend seien.
Die europäische Presse hat diese unkontrollierten Behauptungen übernommen und damit bei den Konsumenten den Eindruck erweckt, der Genuss europäischer Weine wäre gesundheitsschädigend. Von Weinen aus Drittländern war dabei nicht die Rede, was die Verbraucher natürlich annehmen lässt, diese könnten im Gegenteil zu europäischen Weinen bedenkungslos getrunken werden.
Diese Kampagne wurde von den Grünen gestartet aufgrund der Beratungen im Europäischen Parlament über das Pflanzenschutzpaket, in dessen Verlauf fundamentale Vorschläge der Grünen, den Einsatz von Pflanzenschutzmitteln in Europa um 50% zu reduzieren und allen Lebensmitteln einen "Pestizidenpass" beizufügen, bisher nicht in dem von ihnen gewünschten Maß zum Zuge kamen.
Mit dieser Aktion wollen sie Panik unter Verbrauchern schieren und Wasser auf ihre Mühlen lenken, ohne Rücksicht darauf, dass die Schädigung der europäischen Weinwirtschaft jeder rechtlichen Grundlage entbehrt.
Unverzüglich nach dieser Pressekonferenz über angebliche gesundheitsgefährdende Rückstandsmengen von Pflanzenschutzmitteln in europäischen Weinen haben sowohl der Deutsche Weinbauverband als auch das deutsche Bundesinstitut für Risikobewertung eindeutig erklärt, dass es keine gesundheitlichen Risiken durch die von den Grünen angeblich nachgewiesenen Pestiziden. Rückstände im Wein gibt.
Nach ihrer Kollegin Christa Klass von der deutschen Mosel, hat auch die Luxemburger Europaabgeordnete Astrid Lulling in Brüssel gegen diese, die Weinkonsumenten verunsichernde Kampagne der Grünen im Europaparlament reagiert.
Bezeichnend ist, so erklärte sie Brüssel, dass Greenpeace, die zunächst bei dieser Aktion mitwirkte, sich bereits zurückgezogen hat und öffentlich verlauten ließ, totale Panik sei nicht nötig und sie wollten den Weintrinkern nicht den völligen Verzicht predigen.
Nach Rückfragen bei den zuständigen Stellen in Luxemburg, die sowohl Weinproben wie auch Weintrauben auf Pflanzenschutzmittel untersuchen, wurde Astrid Lulling bestätigt, dass noch nie eine genommene Probe über der geltenden Höchstgrenzen lag.
Übrigens wurden Anfang März die seit langem geforderten europaweit einheitlichen Rückstandshöchstgehalte an Pestiziden veröffentlicht.
In Luxemburg werden fast keine Insektizide mehr verwendet, da praktisch an der ganzen Mosel das biologische Konfusionsverfahren mit Pheromonen angewandt wird.
Astrid Lulling, Präsidentin der Intergruppe Wein-Tradition-Qualität im Europäischen Parlament erklärte in Brüssel, dass unumstritten sei dass Pflanzenschutzmittel, die gesundheitsgefährdend sind, die als krebserregend, erbgutschädigend und fortpflanzungsgefährdend eingestuft werden, untesagt werden müssten.
Sie verurteilte aber die Hetzkampagne der Grünen, so wie das übrigens auch das 'Comité Européen des Entreprises du Vin" bereits am 27. März in Brüssel tat, da in den PAN-Analysen nur verschwindend geringe Spuren von Pflanzenschutzmitteln entdeckt wurden, weit weniger als ausdrücklich in der Europäischen Union erlaubt sind.
Um Behauptungen von PAN entgegenzutreten, die Rückstände im Wein wären höher als die im Trinkwasser tolerierten, wies Astrid Lulling darauf hin, dass es gemäß wissenschaftlicher Aussagen unsinnig ist, Wasser mit Wein zu vergleichen, weil die zugelassenen Grenzwerte sehr unterschiedlich sind.
Man müsste, so die Wissenschaftler, schon 200 Liter Wein pro Tag trinken, um an eine gesundheitsgefährdende Grenze zu stoßen.
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Für weitere Informationen können sie sich mit dem Sekretariat von Astrid Lulling in Verbindung setzen: astrid.lulling@europarl.europa.eu
Ein Gespräch zwischen Christa Klass und Astrid Lulling zu dieser Kampagne der Grünen gegen den europäischen Wein ist auf der Internetseite www.astridlulling.lu zu sehen. Das Gespräch wird vom 4. bis 10. April auf dem DOK-Kanal gesendet. Sendezeiten sind in den von Tages- und Wochenzeitungen veröffentlichten Fernsehprogrammen vermerkt.
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