Haushalt 2009: Das Budget für Bienenzucht wurde seit dem EU-Beitritt von Rumänien und Bulgarien nicht ausreichend aufgestockt.
Im Haushalt von 2005 und 2006 wurden die EU-Förderprogramme für Bienenzucht mit 23 Millionen Euro pro Jahr von der europäischen Kommission bedacht. Diese Gelder werden an die einzelnen Mitgliedstaaten, proportional zu der Anzahl ihrer Bienenstöcke verteilt. Mit dem EU-Beitritt von Rumänien und Bulgarien, am 1. Januar 2007, sind auch 15% zusätzliche Bienenvölker dazu gekommen.
Folgerichtig hätte der Haushalt für die äußerst empfindliche und doch so wichtige Bienenzucht, für das Jahr 2007 auch um 15% aufgestockt werden müssen was ein Budget von 26 450 000 Euro bedeutet hätte. Leider wurde diese äußerst einfache Rechnung jedoch nicht berücksichtigt und das Budget wurde lediglich auf 24 Millionen Euro pro Jahr erhöht. Somit steht der Bienenzucht seit 2007, 10% weniger pro Bienenstock zur Verfügung.
Ein Schlag ins Gesicht, wenn man an die zahlreichen Schwierigkeiten denkt, mit denen die Bienenzüchter zurzeit zu kämpfen haben.
Wegen der gestiegenen Lebensmittelpreise wurden die 10% obligatorisches Brachland, ein bienenfreundliches Gebiet da dort keine Pflanzenschutzmittel verwendet werden, bereits Ende 2007 angeschafft.
Im Frühjahr 2008 häuften sich dann die Klagen der Bienenzüchter über stark dezimierte oder komplett vernichtete Bienenvölker. Schuld soll angeblich, laut Julius Kühn-Institut in Braunschweig, ein vom Chemie-Riesen Bayer in Verkehr gebrachtes Insektizid sein, das falsch eingesetzt wurde und das unter dem Namen "Poncho Pro" bekannt ist. Die Beize die das Nervengift Clothianidin enthält und mit der das Saatgut behandelt wird, soll zum Beispiel die Maispflanze vor dem Maiswurzelbohrer schützen. Mittlerweile wurde das Insektizid weitgehend auch für Kartoffeln, Zucker und Futterrüben, Getreide und Raps zugelassen und ist somit weit verbreitet.
Um diesen massiven Bedrohungen für die Bienenzucht entgegen zu wirken hat die Luxemburger Europaabgeordnete eine schriftliche Frage an die EU-Kommission gerichtet (siehe meinen Pressedienst vom 17 Juni 2008). Sie hat darüber hinaus einen Änderungsantrag zum Haushalt 2009 vorgeschlagen, um den Kredit für die Verbesserung der Produktion und Vermarktung von Honig, mit dem nationale Programme im Interesse der Bienenzucht zu 50% finanziert werden, auf 26,45 Millionen aufzustocken.
Mittwoch, 23. Juli 2008
Mittwoch, 16. Juli 2008
Die Lenninger Gemeinde zu Besuch im Europaparlament in Straßburg
Vor einigen Tagen besuchte die beratende Kommission in sozialen Angelegenheiten der Gemeinde Lenningen zusammen mit deren Bürgermeister Guy Barten das Europäische Parlament in Straßburg.
Nachdem die Europaabgeordnete Astrid Lulling die Gruppe willkommen geheißen hatte, wurden die Gäste durch das Parlament geführt, um sich ein Bild der Arbeitsstelle der Parlamentarier zu machen. Während dem darauf folgenden Informationsgespräch informierten die Mitarbeiter Christian Lamesch and Christophe Hansen die Besucher über die Rolle der verschiedenen europäischen Institutionen und über die konkrete Arbeit der Europaabgeordneten. Frau Lulling kommentierte anschließend die vom Präsidenten Sarkozy erläuterten Prioritäten der französischen EU-Ratspräsidentschaft denen sie voll zustimmte, insbesondere was Immigrationspolitik und die Agrarpolitik betrifft.
Anschließend hatten die Besucher die einmalige Gelegenheit, auf der Tribüne des Plenarsaals dem franzischen Präsidenten Sarkozy und dem Präsidenten der Europäischen Kommission José Manuel Barroso bei einer Debatte mit den Europaabgeordneten zuzuhören.
Unser Bild zeigt die Gruppe mit Astrid Lulling in Straβburg.
Nachdem die Europaabgeordnete Astrid Lulling die Gruppe willkommen geheißen hatte, wurden die Gäste durch das Parlament geführt, um sich ein Bild der Arbeitsstelle der Parlamentarier zu machen. Während dem darauf folgenden Informationsgespräch informierten die Mitarbeiter Christian Lamesch and Christophe Hansen die Besucher über die Rolle der verschiedenen europäischen Institutionen und über die konkrete Arbeit der Europaabgeordneten. Frau Lulling kommentierte anschließend die vom Präsidenten Sarkozy erläuterten Prioritäten der französischen EU-Ratspräsidentschaft denen sie voll zustimmte, insbesondere was Immigrationspolitik und die Agrarpolitik betrifft.
Anschließend hatten die Besucher die einmalige Gelegenheit, auf der Tribüne des Plenarsaals dem franzischen Präsidenten Sarkozy und dem Präsidenten der Europäischen Kommission José Manuel Barroso bei einer Debatte mit den Europaabgeordneten zuzuhören.
Unser Bild zeigt die Gruppe mit Astrid Lulling in Straβburg.
Donnerstag, 10. Juli 2008
Nicolas Sarkozy sur les priorités de la présidence française - Parlement européen à Strasbourg
"Si elle réussit à incarner l'intérêt général européen et à oublier quelque peu ses propres intérêts, la présidence française pourrait remettre l'Europe sur les bons rails "
Le Président en fonction du Conseil, Monsieur Nicolas Sarkozy, vient d'annoncer au Parlement européen à Strasbourg les priorités de la présidence française pour le semestre à venir.
Dans le contexte difficile que traverse l'Union européenne à l'heure actuelle suite au référendum irlandais et au ralentissement économique, je salue l'engagement et le dynamisme avec lesquels le Président Sarkozy compte affronter les problèmes. Je partage notamment son refus d'une Europe de l'immobilisme.
L'annonce qu'il ne pourrait y avoir de nouvel élargissement sans l'adoption d'un nouveau traité trouve mon entière approbation, encore que je n'aie pas vraiment saisi l'insistance réitérée à se doter de nouvelles institutions.
Je soutiens aussi le principe d'une politique d'immigration définie au niveau européen et non plus au niveau national. Une politique des 27, telle qu'elle se dessine actuellement, serait un progrès considérable, car elle serait garante d'efficacité et de stabilité.
En matière de politique agricole commune, la présidence française compte aborder la question de la sécurité alimentaire. Il doit être entendu que les nouvelles procédures et normes qui s'appliqueront aux produits européens en matière de traçabilité concerneront aussi les produits importés, faute de quoi une distorsion de concurrence inacceptable verrait le jour.
Je marque par ailleurs mon accord avec la remarque de Nicolas Sarkozy concernant l'Europe sociale. La politique sociale reste en grande partie une compétence nationale. Il est contre-productif de lancer sans cesse des slogans, qui ne peuvent être suivis d'effet.
Confrontée à des attentes très fortes, la présidence française a le mérite de se doter d'objectifs clairement identifiés. Si elle réussit à incarner l'intérêt général européen et à oublier quelque peu ses propres intérêts, elle pourrait remettre l'Europe sur les bons rails.
Le Président en fonction du Conseil, Monsieur Nicolas Sarkozy, vient d'annoncer au Parlement européen à Strasbourg les priorités de la présidence française pour le semestre à venir.
Dans le contexte difficile que traverse l'Union européenne à l'heure actuelle suite au référendum irlandais et au ralentissement économique, je salue l'engagement et le dynamisme avec lesquels le Président Sarkozy compte affronter les problèmes. Je partage notamment son refus d'une Europe de l'immobilisme.
L'annonce qu'il ne pourrait y avoir de nouvel élargissement sans l'adoption d'un nouveau traité trouve mon entière approbation, encore que je n'aie pas vraiment saisi l'insistance réitérée à se doter de nouvelles institutions.
Je soutiens aussi le principe d'une politique d'immigration définie au niveau européen et non plus au niveau national. Une politique des 27, telle qu'elle se dessine actuellement, serait un progrès considérable, car elle serait garante d'efficacité et de stabilité.
En matière de politique agricole commune, la présidence française compte aborder la question de la sécurité alimentaire. Il doit être entendu que les nouvelles procédures et normes qui s'appliqueront aux produits européens en matière de traçabilité concerneront aussi les produits importés, faute de quoi une distorsion de concurrence inacceptable verrait le jour.
Je marque par ailleurs mon accord avec la remarque de Nicolas Sarkozy concernant l'Europe sociale. La politique sociale reste en grande partie une compétence nationale. Il est contre-productif de lancer sans cesse des slogans, qui ne peuvent être suivis d'effet.
Confrontée à des attentes très fortes, la présidence française a le mérite de se doter d'objectifs clairement identifiés. Si elle réussit à incarner l'intérêt général européen et à oublier quelque peu ses propres intérêts, elle pourrait remettre l'Europe sur les bons rails.
Dienstag, 8. Juli 2008
Les directives existantes permettent de réduire la TVA sur les produits de l'énergie afin de contrecarrer la flambée des prix
Les directives existantes permettent aux Etats membres de réduire la TVA sur les produits de l'énergie afin de contrecarrer la flambée des prix et de combattre l'inflation"
En session plénière à Strasbourg, le Parlement Européen a adopté un rapport sur la modification de certaines dispositions relatives au système commun de taxe sur la valeur ajoutée. Ces modifications constituent des améliorations techniques et des simplifications de la directive 2006/112/CE, dite "directive TVA". En tant que porte-parole du groupe PPE-DE sur ce rapport, la députée européenne luxembourgeoise Astrid Lulling exprime son soutien à la proposition de la Commission qui est renforcée par ce rapport. Après le vote en plénière, Astrid Lulling a fait la déclaration suivante:
"En tant que rapporteur fictif de mon groupe, j'ai voté le rapport Rosati sur la modification de certaines dispositions relatives au système commun de taxe sur la valeur ajoutée. Ces modifications à la directive TVA que nous propose la Commission constituent à mon avis des simplifications et des améliorations notables.
En effet, la clarification du champ d'application du régime TVA concernant la fourniture de gaz naturel, de chaleur et de froid permettra aux Etats membres d'appliquer le régime de taux de TVA réduits sur la fourniture de ces biens tel que le prévoit la directive. Dans le climat actuel de la flambée des prix de l'énergie, je considère qu'il est primordial de permettre aux Etats membres de contrecarrer des hausses excessives des prix de l'énergie par une baisse des taxes indirectes. Une telle mesure permet de soulager la pression inflationniste qui fait souffrir la conjoncture économique aussi bien que le pouvoir d'achat des ménages.
Je tiens aussi à souligner que les Etats membres qui désirent réduire leur taux de TVA sur la fourniture d'énergie sont libres de le faire dans le cadre des directives existantes, notamment en ce qui concerne les taux minimaux. Nous n'avons pas besoin de nouvelle législation européenne en la matière, les gouvernements européens qui souhaitent agir rapidement ont tous les moyens à leur disposition pour le faire."
En session plénière à Strasbourg, le Parlement Européen a adopté un rapport sur la modification de certaines dispositions relatives au système commun de taxe sur la valeur ajoutée. Ces modifications constituent des améliorations techniques et des simplifications de la directive 2006/112/CE, dite "directive TVA". En tant que porte-parole du groupe PPE-DE sur ce rapport, la députée européenne luxembourgeoise Astrid Lulling exprime son soutien à la proposition de la Commission qui est renforcée par ce rapport. Après le vote en plénière, Astrid Lulling a fait la déclaration suivante:
"En tant que rapporteur fictif de mon groupe, j'ai voté le rapport Rosati sur la modification de certaines dispositions relatives au système commun de taxe sur la valeur ajoutée. Ces modifications à la directive TVA que nous propose la Commission constituent à mon avis des simplifications et des améliorations notables.
En effet, la clarification du champ d'application du régime TVA concernant la fourniture de gaz naturel, de chaleur et de froid permettra aux Etats membres d'appliquer le régime de taux de TVA réduits sur la fourniture de ces biens tel que le prévoit la directive. Dans le climat actuel de la flambée des prix de l'énergie, je considère qu'il est primordial de permettre aux Etats membres de contrecarrer des hausses excessives des prix de l'énergie par une baisse des taxes indirectes. Une telle mesure permet de soulager la pression inflationniste qui fait souffrir la conjoncture économique aussi bien que le pouvoir d'achat des ménages.
Je tiens aussi à souligner que les Etats membres qui désirent réduire leur taux de TVA sur la fourniture d'énergie sont libres de le faire dans le cadre des directives existantes, notamment en ce qui concerne les taux minimaux. Nous n'avons pas besoin de nouvelle législation européenne en la matière, les gouvernements européens qui souhaitent agir rapidement ont tous les moyens à leur disposition pour le faire."
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