Astrid Lulling gibt demonstrierenden Milchbauern Rückendeckung.
Kommissar Ciolos muss in die Verantwortung gezogen werden!
Unter dem Einfluss der ultraliberalen dänischen Kommissarin Fischer-Boel, wurde vor einigen Jahren das Auslaufen der Milchquotenreglung im Jahr 2015 beschlossen.
Da dieses Datum nun immer näher rückt, und die Milchbauren, die sich immer noch nicht richtig vom letzten Milchpreisverfall erholt haben, sich berechtigte Sorgen um ihre Zukunft machen, haben sich Hunderte Milchbauern in Straβburg versammelt, um gegen die totale Liberalisierung im Bereich der Milchproduktion zu demonstrieren.
Die Forderungen sind klar: "Sinnvolle Regeln zur Marktsteuerung statt zielloser Deregulierung!"
Auch die Landwirte selbst sind der Meinung, dass die viel kritisierten Exporterstattungen für Milchprodukte in Drittländer, die übrigens nur noch sehr begrenzt zum Einsatz kommen, nicht die Lösung des Problems sein können. Allerdings muss, unter welcher Form auch immer, eine gewisse Produktionsbegrenzung stattfinden, um den Milchpreis halbwegs stabil zu halten. Die verarbeitende Industrie wird so oder so mit dem Milchpreis auskommen.
Aus einer heute in Straβburg vorgestellten Studie geht hervor, dass in Ländern wie zum Beispiel Kanada, in denen der Milchmarkt sehr stark geregelt ist, die Erzeugerpreise am höchsten und am stabilsten sind.
In der Schweiz hingegen, wurde die Milchproduktion schon vor einem Jahr liberalisiert. Das Ergebnis ist erschreckend. Trotz angekündigter Stabilität des Milchpreises, der sich im Gleichschritt mit dem der Nachbarländer bewegen sollte, ist dieser im letzten Jahr in der Schweiz, gegenläufig zum gesamt europäischen Trend, um über 20% eingebrochen.
Aus diesen Beispielen sollten wir lernen und der rumänische Kommissar Ciolos sollte diese Fakten auch in seinen legislativen Vorschlägen zur europäischen Qualitäts-Politik und zur Milchproduktion, die zu Ende des Jahres zu erwarten sind, berücksichtigen. Es ist noch nicht zu spät die Wellen des von Fischer-Boel provozierten Tsunamis für die europäische Milchwirtschaft zu brechen.
Mittwoch, 20. Oktober 2010
Déclaration de vote d'Astrid Lulling sur le Rapport Feio au sujet de l'amélioration de la gouvernance économique et du cadre de stabilité de l'Union e
Déclaration de vote d'Astrid Lulling sur le Rapport Feio au sujet de l'amélioration de la gouvernance économique et du cadre de stabilité de l'Union en particulier dans la zone euro
Le débat commun sur le Conseil européen, le G-20, le rapport de la commission spéciale sur la crise financière, économique et sociale et le rapport sur la gouvernance européenne n'a pas permis de dégager de lignes claires ou de recommandations pertinentes sur la crise financière. Chacun y est allé de sa propre interprétation personnelle de textes confus et diffus. C'est malheureusement le lot de ces rapports d'initiatives qui rassemblent de larges majorités, mais qui en même temps n'expriment pas grand chose.
Le rapport Feio a été discuté bien trop tardivement, alors que la Commission européenne a déjà déposé les directives qui réformeront le pacte de stabilité et la gouvernance de la zone Euro. A quoi bon dans ces conditions voter des recommandations à la Commission?
Le Parlement devrait se doter des règles de procédures bien plus rigoureuses et s'y tenir. Il y va de son efficacité et de sa crédibilité.
La réforme du pacte de stabilité et de la gouvernance de la zone heure connaîtra son moment décisif avec l'analyse des textes législatifs. Avec d'autres, je m'attèlerais à ce travail sans a priori mais avec application. Il est important que le Parlement soutienne une réforme réaliste et en même temps ambitieuse pour refonder l'union monétaire. C'est par un travail sérieux qu'une institution gagne sa légitimité dans l'édifice communautaire, non par des déclarations verbeuses.
Le débat commun sur le Conseil européen, le G-20, le rapport de la commission spéciale sur la crise financière, économique et sociale et le rapport sur la gouvernance européenne n'a pas permis de dégager de lignes claires ou de recommandations pertinentes sur la crise financière. Chacun y est allé de sa propre interprétation personnelle de textes confus et diffus. C'est malheureusement le lot de ces rapports d'initiatives qui rassemblent de larges majorités, mais qui en même temps n'expriment pas grand chose.
Le rapport Feio a été discuté bien trop tardivement, alors que la Commission européenne a déjà déposé les directives qui réformeront le pacte de stabilité et la gouvernance de la zone Euro. A quoi bon dans ces conditions voter des recommandations à la Commission?
Le Parlement devrait se doter des règles de procédures bien plus rigoureuses et s'y tenir. Il y va de son efficacité et de sa crédibilité.
La réforme du pacte de stabilité et de la gouvernance de la zone heure connaîtra son moment décisif avec l'analyse des textes législatifs. Avec d'autres, je m'attèlerais à ce travail sans a priori mais avec application. Il est important que le Parlement soutienne une réforme réaliste et en même temps ambitieuse pour refonder l'union monétaire. C'est par un travail sérieux qu'une institution gagne sa légitimité dans l'édifice communautaire, non par des déclarations verbeuses.
Montag, 18. Oktober 2010
Astrid Lulling s'oppose aux solutions maximalistes préconisées dans le rapport Estrela au sujet de la protection de la maternité
Astrid Lulling s'oppose aux solutions maximalistes préconisées dans le rapport Estrela au sujet de la protection de la maternité: "mieux vaut maintenant un petit pas en avant qu'une promesse pour l'avenir!"
Astrid Lulling (PPE) est intervenue lundi 18 octobre à Strasbourg lors du débat en plénière sur la protection de la maternité. Alors que la gauche veut imposer ses vues maximalistes qui n'ont d'ailleurs aucune chance d'être acceptées par le Conseil, la députée européenne luxembourgeoise a exhorté ses collègues à voter des dispositions réalistes qui ne grèveraient pas les budgets des Etats membres et constitueraient néanmoins un progrès appréciable.
"Monsieur le Président,
En général, le temps porte conseil. Malheureusement, ce n'est pas le cas pour ce deuxième rapport voté par une majorité de la Commission des droits de la femme et de l'égalité des genres et que nous discutons au Parlement européen 17 mois après le 1er,
Tel qu'il est actuellement, ce deuxième rapport est tout aussi confus, contreproductif et chaotique que celui qui fut renvoyé en commission en mai 2009.
Nous avons déjà perdu deux ans pour améliorer la protection de la maternité. Si nous votons ce rapport en l'état, nous en perdrons encore au moins autant, alors que la proposition initiale de la Commission européenne datant de 2008, était raisonnable, tout en assurant un progrès substantiel dans les Etats membres qui, en matière de durée et d'indemnisation du congé de maternité, restent en deçà de ce qui existe dans certains pays, dont le mien.
N'oublions pas qu'il s'agit d'instaurer des seuils minima et qu'il ne peut s'agir d'imposer une solution maximaliste aux 27.
Pour motiver une femme salariée à procréer, il est plus important qu'elle dispose d'un droit à un congé moins long mais indemnisé à 100% que d'un congé de 20 semaines et plus, sans garantie totale de salaire.
Par conséquent, les propositions du rapport Estrella sont non seulement contreproductives pour l'employabilité des femmes, elles sont aussi impossibles à financer, que ce soit pour les gouvernements ou pour les entreprises. Le saut en avant est bien trop important et donc illusoire.
Mieux vaut aujourd'hui un petit pas concret dans la bonne direction qu'une promesse pour l'avenir, à l'horizon de 10 ans. Je ne voterai pas ce rapport dans sa forme actuelle et je demande à mes collègues de rejeter tous les amendements qui n'ont rien à voir la protection de la maternité, comme le congé de paternité ou les dispositions concernant les indépendants."
J'appelle aussi mes collègues à voter pour les amendements qui restreignent le congé à 18 semaines. .
Seule en effet une attitude raisonnable et responsable peut améliorer la protection de la maternité. Et si le maximalisme devait l'emporter, ce serait à coup sûr un échec pour la politique familiale en Europe."
Astrid Lulling (PPE) est intervenue lundi 18 octobre à Strasbourg lors du débat en plénière sur la protection de la maternité. Alors que la gauche veut imposer ses vues maximalistes qui n'ont d'ailleurs aucune chance d'être acceptées par le Conseil, la députée européenne luxembourgeoise a exhorté ses collègues à voter des dispositions réalistes qui ne grèveraient pas les budgets des Etats membres et constitueraient néanmoins un progrès appréciable.
"Monsieur le Président,
En général, le temps porte conseil. Malheureusement, ce n'est pas le cas pour ce deuxième rapport voté par une majorité de la Commission des droits de la femme et de l'égalité des genres et que nous discutons au Parlement européen 17 mois après le 1er,
Tel qu'il est actuellement, ce deuxième rapport est tout aussi confus, contreproductif et chaotique que celui qui fut renvoyé en commission en mai 2009.
Nous avons déjà perdu deux ans pour améliorer la protection de la maternité. Si nous votons ce rapport en l'état, nous en perdrons encore au moins autant, alors que la proposition initiale de la Commission européenne datant de 2008, était raisonnable, tout en assurant un progrès substantiel dans les Etats membres qui, en matière de durée et d'indemnisation du congé de maternité, restent en deçà de ce qui existe dans certains pays, dont le mien.
N'oublions pas qu'il s'agit d'instaurer des seuils minima et qu'il ne peut s'agir d'imposer une solution maximaliste aux 27.
Pour motiver une femme salariée à procréer, il est plus important qu'elle dispose d'un droit à un congé moins long mais indemnisé à 100% que d'un congé de 20 semaines et plus, sans garantie totale de salaire.
Par conséquent, les propositions du rapport Estrella sont non seulement contreproductives pour l'employabilité des femmes, elles sont aussi impossibles à financer, que ce soit pour les gouvernements ou pour les entreprises. Le saut en avant est bien trop important et donc illusoire.
Mieux vaut aujourd'hui un petit pas concret dans la bonne direction qu'une promesse pour l'avenir, à l'horizon de 10 ans. Je ne voterai pas ce rapport dans sa forme actuelle et je demande à mes collègues de rejeter tous les amendements qui n'ont rien à voir la protection de la maternité, comme le congé de paternité ou les dispositions concernant les indépendants."
J'appelle aussi mes collègues à voter pour les amendements qui restreignent le congé à 18 semaines. .
Seule en effet une attitude raisonnable et responsable peut améliorer la protection de la maternité. Et si le maximalisme devait l'emporter, ce serait à coup sûr un échec pour la politique familiale en Europe."
Sonntag, 10. Oktober 2010
Keine Liberalisierung der Pflanzrechte im Weinbau!
Intergruppe Wein im Europäischen Parlament
Keine Liberalisierung der Pflanzrechte im Weinbau!
Auf Einladung von Astrid Lulling nahm der EU-Kommissar für Landwirtschaft und ländliche Entwicklung, Dacian Ciolos, Stellung zur Qualitätspolitik und zum Auslauf der EU-Pflanzrechtsreglung im Weinbau Sektor.
Die vom Ministerrat Ende 2008 beschlossene Abschaffung der Pflanzungsrechtregelung 2015 löst in zahlreichen Weinbauregionen erhebliche Zukunftsängste aus. Diese extrem liberale Maßnahme wurde vor allem von der vorhergehenden Kommissarin, der Dänin Mariann Fischer Boel, gewollt und durchgesetzt. Sie wird einer Industrialisierung des europäischen Weinbaus Vorschub leisten. Die Deregulierung, die diese Maßnahme mit sich bringt, wird ohne Zweifel zu Lasten der kleinen und mittleren, traditionellen Weinbaubetriebe gehen.
Diese Maßnahme muss außerdem im Zusammenhang mit der Liberalisierung der Etikettierung betrachtet werden, die es seit 2009 bei Weinen ohne geographische Angabe (ehemals Tafelweine) gestattet, Angaben zu Rebsorte und Jahrgang zu machen. E ist genau diese Kategorie von Weinen, die durch das Etikett aufgewertet werden, ohne gleichzeitig die Anforderungen an Weine mit geographischer Angabe (geschützte Ursprungsbezeichnung und geschützte geographische Angabe) einhalten zu müssen.
Selbst wenn man in Gebieten mit Ursprungsbezeichnungen über Instrumente verfügt, um die Neupflanzungen in der jeweiligen Gegend zu kontrollieren, wird man sich nicht dagegen wehren können, dass unmittelbar daneben Pflanzungen industriellen Typs angelegt werden, vorzugsweise auf ebenem Gelände, auf dem der Investor durch Mechanisierung Arbeitskraft einsparen kann. Diese könnten dann von dem Bekanntheitsgrad der benachbarten Lage profitieren, ohne deren Auflagen einhalten zu müssen.
In dem Wunsch, dass die Diskussion mehr sachlich als leidenschaftlich geführt werde, erklärte der Agrarkommissar eingangs: „Ich ziehe die Qualitätspolitik der Mengenpolitik vor, aber die Pflanzrechte allein können die Qualitätsprobleme und auch die Überschussprobleme der EU nicht lösen“. Er versicherte, dass er ein offenes Ohr habe und darauf bedacht sei; „die Auswirkungen der Reform zu untersuchen, um zu sehen, was daran verbessert werden kann“, und fuhr fort: „Die Kommission muss sicherlich vor Ende 2012 einen Bericht ausarbeiten, aus dem ersichtlich wird, wie die mit der Reform etablierten Instrumente wirken, aber eventuelle Änderungen zu verabschieden ist die Sache von Rat und Parlament.“
Zum Thema Pflanzrechte gäbe es einen festen Beschluss, dass diese noch bis 2015 gelten, Mitgliedsstaaten den Anbaustopp jedoch auch bis 2018 ausdehnen könnten. Bis dahin sei noch viel Zeit um ein „Gleichgewicht zwischen der Entwicklung der Märkte und der Entwicklung im Anbau zu finden“, so Ciolos.
Dem gegenüber gaben u.a. der deutsche Weinbaupräsident Norbert Weber und auch der Präsident der "European Federation of Origin Wines", Riccardo Ricci Curbastro, zu bedenken, dass für den Weinbau eine Zeitspanne von fünf bis acht Jahren sehr kurz ist.
Jungwinzer aus Ortenau, die an der Sitzung teilnahmen, betonten, wie wichtig die derzeitige Pflanzrechtsreglung nicht nur für die mittelständigen Unternehmen, sondern auch für die Erhaltung der Kulturlandschaft, der Qualität im Kulturgut Wein und dem Tourismus in den betreffenden Regionen ist.
Astrid Lulling, Präsidentin der Intergruppe, betonte die Notwendigkeit, jede Unsicherheit über die Zukunftsperspektiven auszuräumen, die sich für die kleinen und mittleren Betriebe völlig geändert hätten. Sie erinnerte den Kommissar abschließend ausdrücklich daran, nicht außer Acht zu lassen, dass er auch Kommissar für ländliche Entwicklung sei und dass es in dieser Hinsicht "sehr teuer würde, die von diesem Punkt der Reform verursachten sozio-ökonomischen Schäden zu reparieren“. Sie fügte hinzu: „Es ist nie zu spät, eine Sache besser zu machen.“
Keine Liberalisierung der Pflanzrechte im Weinbau!
Auf Einladung von Astrid Lulling nahm der EU-Kommissar für Landwirtschaft und ländliche Entwicklung, Dacian Ciolos, Stellung zur Qualitätspolitik und zum Auslauf der EU-Pflanzrechtsreglung im Weinbau Sektor.
Die vom Ministerrat Ende 2008 beschlossene Abschaffung der Pflanzungsrechtregelung 2015 löst in zahlreichen Weinbauregionen erhebliche Zukunftsängste aus. Diese extrem liberale Maßnahme wurde vor allem von der vorhergehenden Kommissarin, der Dänin Mariann Fischer Boel, gewollt und durchgesetzt. Sie wird einer Industrialisierung des europäischen Weinbaus Vorschub leisten. Die Deregulierung, die diese Maßnahme mit sich bringt, wird ohne Zweifel zu Lasten der kleinen und mittleren, traditionellen Weinbaubetriebe gehen.
Diese Maßnahme muss außerdem im Zusammenhang mit der Liberalisierung der Etikettierung betrachtet werden, die es seit 2009 bei Weinen ohne geographische Angabe (ehemals Tafelweine) gestattet, Angaben zu Rebsorte und Jahrgang zu machen. E ist genau diese Kategorie von Weinen, die durch das Etikett aufgewertet werden, ohne gleichzeitig die Anforderungen an Weine mit geographischer Angabe (geschützte Ursprungsbezeichnung und geschützte geographische Angabe) einhalten zu müssen.
Selbst wenn man in Gebieten mit Ursprungsbezeichnungen über Instrumente verfügt, um die Neupflanzungen in der jeweiligen Gegend zu kontrollieren, wird man sich nicht dagegen wehren können, dass unmittelbar daneben Pflanzungen industriellen Typs angelegt werden, vorzugsweise auf ebenem Gelände, auf dem der Investor durch Mechanisierung Arbeitskraft einsparen kann. Diese könnten dann von dem Bekanntheitsgrad der benachbarten Lage profitieren, ohne deren Auflagen einhalten zu müssen.
In dem Wunsch, dass die Diskussion mehr sachlich als leidenschaftlich geführt werde, erklärte der Agrarkommissar eingangs: „Ich ziehe die Qualitätspolitik der Mengenpolitik vor, aber die Pflanzrechte allein können die Qualitätsprobleme und auch die Überschussprobleme der EU nicht lösen“. Er versicherte, dass er ein offenes Ohr habe und darauf bedacht sei; „die Auswirkungen der Reform zu untersuchen, um zu sehen, was daran verbessert werden kann“, und fuhr fort: „Die Kommission muss sicherlich vor Ende 2012 einen Bericht ausarbeiten, aus dem ersichtlich wird, wie die mit der Reform etablierten Instrumente wirken, aber eventuelle Änderungen zu verabschieden ist die Sache von Rat und Parlament.“
Zum Thema Pflanzrechte gäbe es einen festen Beschluss, dass diese noch bis 2015 gelten, Mitgliedsstaaten den Anbaustopp jedoch auch bis 2018 ausdehnen könnten. Bis dahin sei noch viel Zeit um ein „Gleichgewicht zwischen der Entwicklung der Märkte und der Entwicklung im Anbau zu finden“, so Ciolos.
Dem gegenüber gaben u.a. der deutsche Weinbaupräsident Norbert Weber und auch der Präsident der "European Federation of Origin Wines", Riccardo Ricci Curbastro, zu bedenken, dass für den Weinbau eine Zeitspanne von fünf bis acht Jahren sehr kurz ist.
Jungwinzer aus Ortenau, die an der Sitzung teilnahmen, betonten, wie wichtig die derzeitige Pflanzrechtsreglung nicht nur für die mittelständigen Unternehmen, sondern auch für die Erhaltung der Kulturlandschaft, der Qualität im Kulturgut Wein und dem Tourismus in den betreffenden Regionen ist.
Astrid Lulling, Präsidentin der Intergruppe, betonte die Notwendigkeit, jede Unsicherheit über die Zukunftsperspektiven auszuräumen, die sich für die kleinen und mittleren Betriebe völlig geändert hätten. Sie erinnerte den Kommissar abschließend ausdrücklich daran, nicht außer Acht zu lassen, dass er auch Kommissar für ländliche Entwicklung sei und dass es in dieser Hinsicht "sehr teuer würde, die von diesem Punkt der Reform verursachten sozio-ökonomischen Schäden zu reparieren“. Sie fügte hinzu: „Es ist nie zu spät, eine Sache besser zu machen.“
conférence de presse sera : L'agriculture et la PAC après 2013
Chers représentants de la presse luxembourgeoise,
J'ai le plaisir de vous inviter à la conférence de presse que Madame Lulling organise ensemble avec le service jeunesse de la centrale paysanne le lundi 11 octobre à 10:30 à la maison de l'Europe (l'ancienne Maison Gilly, au coin du Marché-aux-Herbes et de la rue de la Boucherie.).
Le thème de la conférence de presse sera : L'agriculture et la PAC après 2013
J'ai le plaisir de vous inviter à la conférence de presse que Madame Lulling organise ensemble avec le service jeunesse de la centrale paysanne le lundi 11 octobre à 10:30 à la maison de l'Europe (l'ancienne Maison Gilly, au coin du Marché-aux-Herbes et de la rue de la Boucherie.).
Le thème de la conférence de presse sera : L'agriculture et la PAC après 2013
Mittwoch, 6. Oktober 2010
Intervention d'Astrid Lulling en faveur des lettres de gage lors du débat sur Bâle II et la révision des exigences de fonds propres
Astrid Lulling (PPE) est intervenue mercredi 6 octobre lors du débat en plénière sur Bâle II et la révision des exigences de fonds propres. Elle a plaidé pour que l'instrument financier des lettres de gage, qui sont un des piliers de la place financière luxembourgeoise, soit mieux reconnu par le Comité de Bâle ainsi que par la Commission européenne.
"Monsieur le Président,
Je remercie le rapporteur pour son excellent travail et je le soutiens entièrement dans son approche de cette problématique complexe.
Il me tient cependant à cœur de souligner une question qui a été évoquée dans le rapport, mais qui mérite de s’y attarder. Il s’agit en l’occurrence de la question des lettres de gage (les Pfandbriefe en allemand) dans le cadre des standards de liquidité.
En effet le nouveau régime de liquidité en Europe que nous nous apprêtons à redéfinir devrait mieux reconnaître leurs spécificités économiques, juridiques et opérationelles.
Les lettres de gage sont utilisées pour le financement à long terme et l’investissement dans l’économie au sens large. Or la proposition actuelle du comité de Bâle les concernant aurait des impacts négatifs et disproportionnés sur l’économie européenne, comparée à d’autres grandes zones économiques comme par exemple les Etats-Unis.
Je salue certes le fait que l’accord du Comité de Bâle du 26 juillet reconnaisse les lettres de gage comme des actifs très liquides dans le cadre du calcul du ratio de couverture de liquidité. J’en appelle cependant au Comité de Bâle et à la Commission pour accorder à cet instrument financier une meilleure reconnaissance, en vue de permettre une diversification appropriée des actifs éligibles et d’éviter des distorsions de marché.
Cet instrument financier peu risqué doit bénéficier d'un contexte favorable à son développement. "
"Monsieur le Président,
Je remercie le rapporteur pour son excellent travail et je le soutiens entièrement dans son approche de cette problématique complexe.
Il me tient cependant à cœur de souligner une question qui a été évoquée dans le rapport, mais qui mérite de s’y attarder. Il s’agit en l’occurrence de la question des lettres de gage (les Pfandbriefe en allemand) dans le cadre des standards de liquidité.
En effet le nouveau régime de liquidité en Europe que nous nous apprêtons à redéfinir devrait mieux reconnaître leurs spécificités économiques, juridiques et opérationelles.
Les lettres de gage sont utilisées pour le financement à long terme et l’investissement dans l’économie au sens large. Or la proposition actuelle du comité de Bâle les concernant aurait des impacts négatifs et disproportionnés sur l’économie européenne, comparée à d’autres grandes zones économiques comme par exemple les Etats-Unis.
Je salue certes le fait que l’accord du Comité de Bâle du 26 juillet reconnaisse les lettres de gage comme des actifs très liquides dans le cadre du calcul du ratio de couverture de liquidité. J’en appelle cependant au Comité de Bâle et à la Commission pour accorder à cet instrument financier une meilleure reconnaissance, en vue de permettre une diversification appropriée des actifs éligibles et d’éviter des distorsions de marché.
Cet instrument financier peu risqué doit bénéficier d'un contexte favorable à son développement. "
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