Der Traum von der transnationalen Demokratie
Progressive Erweiterung der Vollmachten / Bewusstsein bei den Bürgern für die Bedeutung der EU-Volksvertretung stärken
Für ein starkes und bürgernahes Europaparlament: Sir Julian Priestley, Astrid Lulling, Simone Veil, Großherzog Henri
und Jean Spautz würdigten Arbeit und Entwicklung der EU-Volksvertretung (v.l.n.r.).
(FOTOS: ANOUK ANTONY)
VON JAKUB ADAMOWICZ - wort.lu
Im Beisein von Großherzog Henri,
der ehemaligen EP-Präsidentin Simone
Veil, Europaminister Nicolas
Schmit sowie zahlreicher EP- und
Kammerabgeordneter fand am Donnerstagabend
eine vom EP-Informationsbüro
Luxemburg organisierte
Veranstaltung aus Anlass des 50-
jährigen Bestehens des Europaparlaments
statt.
Unter den Gästen waren unter
anderem die Europaabgeordneten
Astrid Lulling, Lydie Polfer und
Jean Spautz, die Kammervizepräsidentin
Colette Flesch, die Abgeordneten
Ben Fayot, Robert Negri,
Charles Goerens und Fernand Diederich,
der Richter am Europäischen
Gerichtshof, Jean-
Jacques Kasel, der Präsident des
Gerichts Erster Instanz, Marc Jaeger,
sowie der ehemalige Vizepräsident
des Europaparlaments, Nicolas
Estgen.
„Das Europaparlament hat sich
während seines Bestehens tief
greifend gewandelt“, sagte die EPAbgeordnete
Astrid Lulling in ihrer
Eröffnungsrede. Aus einem in
den Anfangsjahren in gemütlicher
Atmosphäre tagenden „Gentlemen
Club“ sei in der Zwischenzeit
ein geachtetes Gesetzgebungsorgan
geworden, kontrastierte Lulling,
die bereits 1965 EP-Abgeordnete
war.
Der ehemalige Generalsekretär
des Europaparlaments, Sir Julian
Priestley, hob in seiner Rede die
besondere Beziehung zwischen
dem Europaparlament und Luxemburg
hervor. „Mehrere luxemburgische
Staatsmänner – Joseph
Bech, Pierre Werner, Gaston
Thorn, Jacques Santer, Jean-
Claude Juncker – haben für die
Europäische Einigung und für die
Stärkung des Europaparlaments
große Dienste geleistet“, erklärte
der bis 2007 höchstgestellte EPBeamte.
Vier Schlüsseldaten
Priestley nannte vier Gründe, warum
das EP mittlerweile eine
„vollwertige Volksvertretung“ ist:
„Neben der Gesetzgebung drückt
das Europaparlament den Willen
des Wahlvolks aus. Die EU-Exekutive
muss dem Parlament Rechenschaft
abgeben, und es bestimmt
maßgeblich über den EU-Haushalt
mit“.
Diese Vollmachten bekam das
Europaparlament nicht in der
Gründerjahren, sondern erarbeitete
sie sich im Laufe der vergangenen
fünf Jahrzehnte. Priestley
nannte am Donnerstag vier Daten,
die den Machtzuwachs der in
Straßburg, Luxemburg und Brüssel
ansässigen Behörde verdeutlichen:
Im Dezember 1979 lehnte
das EP unter dem Vorsitz von
Präsidentin Simone Veil erstmals
den Haushaltsentwurf der irischen
Ratspräsidentschaft ab. Damit
machte die Volksvertretung
deutlich, dass auch sie die Politik
der Europäischen Gemeinschaften
aktiv gestalten wollte.
Im Juli 2000 verweigerte das
Europaparlament Rat und Kommission
die Zustimmung bei
einem für die Schaffung des Binnenmarktes
zentralen Gesetzesentwurf,
der Übernahme-Richtlinie.
Seitdem hat das Parlament –
unter Druck der öffentlichen Meinung
– auch in den Schlüsseldossiers
Dienstleistungs-Richtlinie
und Zulassung chemischer Stoffe
eigene Akzente gesetzt und somit
erlassenen EU-Gesetzen eine fundamental
andere Ausrichtung gegeben
als von der Kommission
gewünscht.
EP-Wahlkampf gefordert
Im Oktober 2004 setzte das Europaparlament
bei der Anhörung der
neuen EU-Kommission durch,
dass der designierte Kommissionspräsident
José Manuel Barroso
die Zusammensetzung und die
Postenverteilung modifizierte.
Zehn Jahre zuvor wäre eine solche
Kontrolle des Parlaments über die
Kommission noch völlig undenkbar
gewesen, sagte Priestley.
Als im Frühjahr 1995 der damalige
französische Präsident
Jacques Chirac sein Amt antrat,
hatte Paris gleichzeitig die EUPräsidentschaft
inne. Bei der Vorstellung
der Prioritäten des Vorsitzes
in Straßburg erntete Chirac
von den Parlamentariern heftige
Kritik für die Aufnahme von
Atomtests im Mururoa-Atoll.
Doch im Gegensatz zum französischen
Parlament, wo eine Debatte
über die Versuche nicht möglich
war, stellte sich Chirac dem EP
und kanalisierte dadurch eine europaweit
geführte öffentliche Debatte.
„Heute gibt es für das Europaparlament
zwei Herausforderungen:
die Ratifizierung des Reformvertrags
und die Begeisterung der
Wähler für die nächste Europawahl
2009“.
Der „Traum einer transnationalen
Demokratie“ könne nur dann
vollständig umgesetzt werden,
wenn die im EP vertretenen Parteien
einen EU-weit angelegten
Wahlkampf führen würden, um so
die Wähler von der Bedeutung der
Wahlen im Juni zu überzeugen.
„Man kann einen solchen Wahlkampf
durchaus thematisch führen“,
sagte Priestley.
„Weltweit einzigartig“
Charles Barthel, Direktor des Robert-
Schuman-Zentrums für Studien
und Forschung in Luxemburg,
beschrieb in seiner Rede das
Europaparlament als „weltweit
einmaliges Konstrukt“, das im
Laufe seiner fünfzigjährigen Geschichte
erfolgreich das demokratische
Defizit überwunden und
seine Abläufe transparenter gestaltet
habe.
Barthel forderte von Bürgern
und Politikern einen Mentalitätswandel:
„Die Zeiten, in denen
ausschließlich Nationalstaaten
politische Antworten auf die Bedürfnisse
der Bürger liefern können,
gehören der Vergangenheit
an“. Somit seien Politiker gefordert,
die EU-Dimension der politischen
Debatten auf das nationale
Niveau herunterzubrechen. Barthel
gestand ein, dass dieser Wandel
mit großen Anstrengungen
und Herausforderungen verbunden
ist.
Freitag, 26. September 2008
Donnerstag, 25. September 2008
La surcharge pondérale et l'obésité, une véritable épidémie.
Astrid Lulling sur la stratégie européenne pour les problèmes de santé liés à la nutrition, la surcharge pondérale et l'obésité: La surcharge pondérale et l'obésité, une véritable épidémie.
Le Parlement européen réuni en session plénière, exceptionnellement à Bruxelles, a voté un rapport de sa commission responsable entre autre pour la santé publique et la sécurité alimentaire. Ce rapport prend position sur une communication de la Commission sous forme de "livre blanc" qui porte sur la promotion d'une alimentation saine et l'activité physique et qui préconise une dimension européenne pour la prévention des surcharges pondérales, de l'obésité et des maladies résultantes telles le diabète de type 2, les troubles cardio-vasculaires, l'hypertension et les infarctus..
La situation est préoccupante, car plus d'un milliard de personnes présentent actuellement une surcharge pondérale et plus de 300 millions d'humains sont obèses. En Europe, l'importance du phénomène est encore plus préoccupante car plus de la moitié de la population accuse une surcharge pondérale et quelque 6% des dépenses de santé sont directement liés à l'obésité.
La députée européenne Astrid Lulling a fait la déclaration suivante en plénière sur le contenu et les propositions de ce rapport:
"Il est louable que la Commission européenne se préoccupe d'une alimentation saine et de l'activité physique de tous les citoyens, pour lutter contre les surcharges pondérales, l'obésité et les maladies chroniques. Je m'associe bien sûr au cri d'alarme que nous voulons lancer face à l'épidémie d'obésité, qui frappe 3 millions d'enfants et entre 20 à 30% d'adultes, alors que 14 millions d'enfants et la moitié de la population adulte souffrent de surcharge pondérale.
Je me félicite que l'influence des exhausteurs de goût tels les glutamates, les guanylates et les inosinates, présentes en quantité massive dans grand nombre de denrées alimentaires, et surtout dans les plats préparés et les aliments produits industriellement sur le comportement de consommation soit reconnue et analysée.
Pourtant je regrette beaucoup que mon amendement qui cherche à promouvoir les habitudes alimentaires saines par la consultation des Euro-Toques, association qui groupe 4000 cuisiniers dans 17 Etats membres, qui adhère à un code d'honneur et qui défend la qualité intrinsèque des produits et la sauvegarde des produits de terroir, n'a pas été retenu.
Je crois que nous serions bien inspirés de profiter de leur savoir-faire et de leur disponibilité pour promouvoir les meilleures pratiques, entre autre dans les cantines scolaires, afin de développer le goût des jeunes pour une alimentation de qualité et des habitudes alimentaires saines."
Le Parlement européen réuni en session plénière, exceptionnellement à Bruxelles, a voté un rapport de sa commission responsable entre autre pour la santé publique et la sécurité alimentaire. Ce rapport prend position sur une communication de la Commission sous forme de "livre blanc" qui porte sur la promotion d'une alimentation saine et l'activité physique et qui préconise une dimension européenne pour la prévention des surcharges pondérales, de l'obésité et des maladies résultantes telles le diabète de type 2, les troubles cardio-vasculaires, l'hypertension et les infarctus..
La situation est préoccupante, car plus d'un milliard de personnes présentent actuellement une surcharge pondérale et plus de 300 millions d'humains sont obèses. En Europe, l'importance du phénomène est encore plus préoccupante car plus de la moitié de la population accuse une surcharge pondérale et quelque 6% des dépenses de santé sont directement liés à l'obésité.
La députée européenne Astrid Lulling a fait la déclaration suivante en plénière sur le contenu et les propositions de ce rapport:
"Il est louable que la Commission européenne se préoccupe d'une alimentation saine et de l'activité physique de tous les citoyens, pour lutter contre les surcharges pondérales, l'obésité et les maladies chroniques. Je m'associe bien sûr au cri d'alarme que nous voulons lancer face à l'épidémie d'obésité, qui frappe 3 millions d'enfants et entre 20 à 30% d'adultes, alors que 14 millions d'enfants et la moitié de la population adulte souffrent de surcharge pondérale.
Je me félicite que l'influence des exhausteurs de goût tels les glutamates, les guanylates et les inosinates, présentes en quantité massive dans grand nombre de denrées alimentaires, et surtout dans les plats préparés et les aliments produits industriellement sur le comportement de consommation soit reconnue et analysée.
Pourtant je regrette beaucoup que mon amendement qui cherche à promouvoir les habitudes alimentaires saines par la consultation des Euro-Toques, association qui groupe 4000 cuisiniers dans 17 Etats membres, qui adhère à un code d'honneur et qui défend la qualité intrinsèque des produits et la sauvegarde des produits de terroir, n'a pas été retenu.
Je crois que nous serions bien inspirés de profiter de leur savoir-faire et de leur disponibilité pour promouvoir les meilleures pratiques, entre autre dans les cantines scolaires, afin de développer le goût des jeunes pour une alimentation de qualité et des habitudes alimentaires saines."
Mittwoch, 24. September 2008
Investmentfonds: Astrid Lulling Schattenrapporteur (WORT - 24.09.08)
Investmentfonds: Astrid
Lulling Schattenrapporteur
Brüssel. Die luxemburgische EPAbgeordnete
Astrid Lulling spielt
im Europaparlament bei der Modernisierung
des Rechtsrahmens
für den Finanzdienstleistungs-
Binnenmarkt weiterhin eine
Schlüsselrolle. Am Dienstag
wurde bekannt, dass Lulling für
die EVP-Fraktion Schattenberichterstatterin
bei der Modernisierung
der sogenannten
OGAW-Richtlinien sein wird. Berichterstatter
ist Wolf Klinz (ALDE).
OGAW (Englisch UCITS)
ist die Abkürzung für „Organismus
für gemeinsame Anlage in
Wertpapieren“ und bezieht sich
auf die Zulassung von Investmentfondsprodukten
unter anderem
innerhalb der Europäischen
Union. Für Luxemburg als führenden
Investmentfonds-Standort
ist von Bedeutung, dass bestehende
Hemmnisse im Finanzdienstleistungs-
Binnenmarkt abgebaut
werden. (ja)
Lulling Schattenrapporteur
Brüssel. Die luxemburgische EPAbgeordnete
Astrid Lulling spielt
im Europaparlament bei der Modernisierung
des Rechtsrahmens
für den Finanzdienstleistungs-
Binnenmarkt weiterhin eine
Schlüsselrolle. Am Dienstag
wurde bekannt, dass Lulling für
die EVP-Fraktion Schattenberichterstatterin
bei der Modernisierung
der sogenannten
OGAW-Richtlinien sein wird. Berichterstatter
ist Wolf Klinz (ALDE).
OGAW (Englisch UCITS)
ist die Abkürzung für „Organismus
für gemeinsame Anlage in
Wertpapieren“ und bezieht sich
auf die Zulassung von Investmentfondsprodukten
unter anderem
innerhalb der Europäischen
Union. Für Luxemburg als führenden
Investmentfonds-Standort
ist von Bedeutung, dass bestehende
Hemmnisse im Finanzdienstleistungs-
Binnenmarkt abgebaut
werden. (ja)
Le Parlement rejette le projet d'un régulateur européen
Le Parlement rejette le projet d'un régulateur européen
Le Parlement européen, réuni en session plénière à Bruxelles, a voté en première lecture le fameux Paquet télécom, proposé par la Commission européenne sous la responsabilité de la Commissaire luxembourgeoise Viviane Reding.
L'objectif de ce paquet est de réformer des règles datant de 2002, devenues obsolètes suite à l'évolution technique rapide dans ce domaine.
Le secteur des télécoms représente 3% du PIB européen. Il est primordial qu'il dispose d'un cadre législatif et réglementaire adapté, qui favorise notamment l'investissement dans les nouvelles technologies de communication pour diminuer le retard qui se creuse par rapport à ses concurrents aux Etats-Unis et en Asie.
A l'origine, le paquet de la Commission contenait certaines propositions incompatibles avec les intérêts du marché luxembourgeois des télécommunications qui représente à l'heure actuelle plus de 15.000 emplois, trois fois plus que l'industrie sidérurgique.
En étroite collaboration avec le Ministre des Communications, Monsieur Jean-Louis Schiltz, mais aussi avec les représentants du secteur des télécommunications, la députée européenne Astrid Lulling a présenté dans différentes commissions du Parlement européen de nombreux amendements pour remettre en cause les propositions contraires aux intérêts luxembourgeois. Ainsi, la proposition d'instituer une nouvelle autorité européenne, compétente pour l'ensemble du marché européen a pu être rejetée. Elle sera remplacée par un organe collégial des régulateurs européens des télécommunications (ORET) ce qui veut dire que chaque Etat membre continuera à être responsable de l'allocation des fréquences.
En séance plénière, l'eurodéputée Astrid Lulling, qui a voté ce paquet qui fera l'objet de tractations avec le Conseil de Ministres en vue d'une adoption en deuxième lecture, a fait la déclaration suivante:
"Le marché des télécommunications évolue de façon tellement rapide qu'il était nécessaire d'en adapter le cadre législatif. Cependant pour moi, il était élémentaire que ce cadre soit clair et précis et surtout qu'il ne freine pas les investissements des entreprises de télécommunications européennes qui sont en rude concurrence avec le marché américain et asiatique. Nos entreprises doivent pouvoir planifier et investir dans les nouvelles technologies sans délai.
Même s'il est bénéfique pour tous de renforcer le marché intérieur dans le secteur des télécoms, je suis ravie que la Commission n'ait pas réussi à nous imposer son Autorité, mais que le Parlement européen ait proposé l'ORET, une alternative crédible renforçant la coopération de nos régulateurs nationaux et évitant une nouvelle bureaucratie que l'institution de l'EECMA (l'Autorité européenne du marché des communications électroniques) aurait impliquée. Le marché des télécommunications luxembourgeois par exemple (4,7% de la population active travaille directement ou indirectement dans ce secteur) nécessite un régulateur national puissant proche et au fait de la spécificité de notre marché. En l'occurrence, il est sage d'avoir appliqué le principe de subsidiarité."
Le Parlement européen, réuni en session plénière à Bruxelles, a voté en première lecture le fameux Paquet télécom, proposé par la Commission européenne sous la responsabilité de la Commissaire luxembourgeoise Viviane Reding.
L'objectif de ce paquet est de réformer des règles datant de 2002, devenues obsolètes suite à l'évolution technique rapide dans ce domaine.
Le secteur des télécoms représente 3% du PIB européen. Il est primordial qu'il dispose d'un cadre législatif et réglementaire adapté, qui favorise notamment l'investissement dans les nouvelles technologies de communication pour diminuer le retard qui se creuse par rapport à ses concurrents aux Etats-Unis et en Asie.
A l'origine, le paquet de la Commission contenait certaines propositions incompatibles avec les intérêts du marché luxembourgeois des télécommunications qui représente à l'heure actuelle plus de 15.000 emplois, trois fois plus que l'industrie sidérurgique.
En étroite collaboration avec le Ministre des Communications, Monsieur Jean-Louis Schiltz, mais aussi avec les représentants du secteur des télécommunications, la députée européenne Astrid Lulling a présenté dans différentes commissions du Parlement européen de nombreux amendements pour remettre en cause les propositions contraires aux intérêts luxembourgeois. Ainsi, la proposition d'instituer une nouvelle autorité européenne, compétente pour l'ensemble du marché européen a pu être rejetée. Elle sera remplacée par un organe collégial des régulateurs européens des télécommunications (ORET) ce qui veut dire que chaque Etat membre continuera à être responsable de l'allocation des fréquences.
En séance plénière, l'eurodéputée Astrid Lulling, qui a voté ce paquet qui fera l'objet de tractations avec le Conseil de Ministres en vue d'une adoption en deuxième lecture, a fait la déclaration suivante:
"Le marché des télécommunications évolue de façon tellement rapide qu'il était nécessaire d'en adapter le cadre législatif. Cependant pour moi, il était élémentaire que ce cadre soit clair et précis et surtout qu'il ne freine pas les investissements des entreprises de télécommunications européennes qui sont en rude concurrence avec le marché américain et asiatique. Nos entreprises doivent pouvoir planifier et investir dans les nouvelles technologies sans délai.
Même s'il est bénéfique pour tous de renforcer le marché intérieur dans le secteur des télécoms, je suis ravie que la Commission n'ait pas réussi à nous imposer son Autorité, mais que le Parlement européen ait proposé l'ORET, une alternative crédible renforçant la coopération de nos régulateurs nationaux et évitant une nouvelle bureaucratie que l'institution de l'EECMA (l'Autorité européenne du marché des communications électroniques) aurait impliquée. Le marché des télécommunications luxembourgeois par exemple (4,7% de la population active travaille directement ou indirectement dans ce secteur) nécessite un régulateur national puissant proche et au fait de la spécificité de notre marché. En l'occurrence, il est sage d'avoir appliqué le principe de subsidiarité."
Dienstag, 23. September 2008
Les fonds alternatifs et les fonds de capital-investissement ne sont ni à l'origine ni le catalyseur de la crise financière actuelle
"Les fonds alternatifs et les fonds de capital-investissement ne sont ni à l'origine ni le catalyseur de la crise financière actuelle"
En session plénière à Bruxelles, le Parlement Européen a adopté un rapport de recommandations législatives (article 39 du règlement) contenant des recommandations à la Commission sur les fonds alternatifs ("Hedge Funds") et les fonds de capital-investissement ("Private Equity"). Le rapport tel qu'il a été voté est en fait un compromis entre les trois grandes formations politiques du Parlement Européen, à savoir le PPE-DE, le PSE et le groupe ADLE. Astrid Lulling a contribué à ce rapport avec un nombre considérable d'amendements qui ont ouvert la voie à la rédaction de compromis plus équilibrés et plus à jour avec les réalités de la crise financière actuelle.
Après le vote en plénière, Astrid Lulling a fait la déclaration suivante:
" J'ai voté le compromis durement négocié par les trois grands groupes politiques de ce Parlement et je me réjouis du contenu complet et équilibré du rapport. Le rapporteur avait essayé de faire porter le fardeau de la crise financière aux fonds alternatifs et aux fonds de capital-investissement. Or, ces produits ne sont ni à l'origine ni le catalyseur de la crise actuelle et je félicite le rapporteur pour avoir reconnu ces réalités et rectifié le tir.
Les recommandations que nous émettons à l'attention de la Commission sont destinées à couvrir tous les acteurs et participants pertinents aux marchés financiers et à remplir les lacunes dans la réglementation existante afin d'adresser et de combattre les pratiques qui ont contribué à transformer l'effondrement du marché de l'immobilier aux Etats-Unis en une crise financière mondiale.
En effet, nous demandons à la Commission de revoir les dispositions relatives aux exigences de fonds propres fondées sur le risque. Nous exigeons aussi des mesures concernant la titrisation qui visent à augmenter la transparence et remédier à l'opacité de certains produits financiers. La surveillance accrue et le contrôle rigoureux des agences de notation font aussi partie de nos revendications. Nous adressons ainsi les mauvaises pratiques de gestions de risques, le manque de transparence de certains produits d'investissement et les conflits d'intérêts des agences de notation, les causes majeures de la crise financière que nous subissons ces temps-ci."
En session plénière à Bruxelles, le Parlement Européen a adopté un rapport de recommandations législatives (article 39 du règlement) contenant des recommandations à la Commission sur les fonds alternatifs ("Hedge Funds") et les fonds de capital-investissement ("Private Equity"). Le rapport tel qu'il a été voté est en fait un compromis entre les trois grandes formations politiques du Parlement Européen, à savoir le PPE-DE, le PSE et le groupe ADLE. Astrid Lulling a contribué à ce rapport avec un nombre considérable d'amendements qui ont ouvert la voie à la rédaction de compromis plus équilibrés et plus à jour avec les réalités de la crise financière actuelle.
Après le vote en plénière, Astrid Lulling a fait la déclaration suivante:
" J'ai voté le compromis durement négocié par les trois grands groupes politiques de ce Parlement et je me réjouis du contenu complet et équilibré du rapport. Le rapporteur avait essayé de faire porter le fardeau de la crise financière aux fonds alternatifs et aux fonds de capital-investissement. Or, ces produits ne sont ni à l'origine ni le catalyseur de la crise actuelle et je félicite le rapporteur pour avoir reconnu ces réalités et rectifié le tir.
Les recommandations que nous émettons à l'attention de la Commission sont destinées à couvrir tous les acteurs et participants pertinents aux marchés financiers et à remplir les lacunes dans la réglementation existante afin d'adresser et de combattre les pratiques qui ont contribué à transformer l'effondrement du marché de l'immobilier aux Etats-Unis en une crise financière mondiale.
En effet, nous demandons à la Commission de revoir les dispositions relatives aux exigences de fonds propres fondées sur le risque. Nous exigeons aussi des mesures concernant la titrisation qui visent à augmenter la transparence et remédier à l'opacité de certains produits financiers. La surveillance accrue et le contrôle rigoureux des agences de notation font aussi partie de nos revendications. Nous adressons ainsi les mauvaises pratiques de gestions de risques, le manque de transparence de certains produits d'investissement et les conflits d'intérêts des agences de notation, les causes majeures de la crise financière que nous subissons ces temps-ci."
Freitag, 12. September 2008
Weinmarktordnung: Das Parlament wehrt sich gegen die Beschneidungsversuche der Kommission.
Astrid Lulling, Vorsitzende der Intergruppe Wein-Tradition-Qualität über die Integration der Weinmarktordnung ((EG Nr. 479/2008) in die Verordnung der einheitlichen Marktordung ((EG 1234/2007):
Weinmarktordnung: Das Parlament wehrt sich gegen die Beschneidungsversuche der Kommission.
Die Europaabgeordneten und die Vertreter des Weinsektors hatten sich bereits am 19. Juni, während der Sitzung der Intergruppe Wein-Tradition-Qualität, besorgt geäußert über den Verordnungsentwurf der Kommission zur Integration der Vorschriften der EU-Weinmarktordnung in die einheitliche GMO der Agrarmärkte.
Wesentliches Ziel der Zusammenfassung der bestehenden unterschiedlichen Marktordnungen ist laut der EU-Kommission eine bessere Rechtssetzung und eine Vereinfachung sowie ein Bürokratieabbau im Agrarsektor durch transparentere, einfachere und weniger schwerfällige Vorschriften und damit einhergehende geringere Kosten für die Unternehmen, was sich zum Vorteil der EU-Bürger auswirken soll.
Der jetzt vorgelegte Verordnungsentwurf bedroht jedoch ganz klar die Eigenständigkeit des EU-Weinrechts, wird erhebliche Rechtsverwirrungen mit sich bringen und ist der vorgenannten Zielsetzung diametral zuwider.
Laut diesem Verordnungsentwurf sollen die Vorschriften der neuen und hart erkämpften Reform Weinmarktordnung, über zahlreiche Artikel und völlig unübersichtlich verstreut, zusammen mit Bestimmungen anderer Agrarprodukte, in die einheitliche GMO einfließen. Die Weinvorschriften sind somit nur noch sehr schwer lesbar und völlig untransparent. Für die einzelnen Winzer wird es aufwendig und kompliziert, die für ihn maßgeblichen Rechtsbestimmungen aus dem umfassenden Regelwerk der einheitlichen GMO zu überblicken. Auch Weinexperten werden hier vor große Herausforderungen gestellt
Der vom Europäischen Parlament mit den Mitgliedstaaten ausgehandelte und gut durchdachte politische Kompromiss zur Reform der Gemeinsamen Marktordnung für Wein und Weinbauerzeugnisse muss als Ganzes erhalten bleiben und darf nicht aufgedröselt werden, um die sektorspezifischen Bestimmungen der Weinmarktordnung zu erhalten, erklärte Astrid Lulling in Brüssel. Gemeinsam mit Kollegen aus dem Agrarausschuss hat sie am 10. September an die Agrarkommissarin Fischer-Boel geschrieben um gegen diese Vorschläge zu protestieren und an die feste Zusage der Kommissarin zu erinnern, eine gesonderte Marktordnung für Wein zu erhalten.
Weinmarktordnung: Das Parlament wehrt sich gegen die Beschneidungsversuche der Kommission.
Die Europaabgeordneten und die Vertreter des Weinsektors hatten sich bereits am 19. Juni, während der Sitzung der Intergruppe Wein-Tradition-Qualität, besorgt geäußert über den Verordnungsentwurf der Kommission zur Integration der Vorschriften der EU-Weinmarktordnung in die einheitliche GMO der Agrarmärkte.
Wesentliches Ziel der Zusammenfassung der bestehenden unterschiedlichen Marktordnungen ist laut der EU-Kommission eine bessere Rechtssetzung und eine Vereinfachung sowie ein Bürokratieabbau im Agrarsektor durch transparentere, einfachere und weniger schwerfällige Vorschriften und damit einhergehende geringere Kosten für die Unternehmen, was sich zum Vorteil der EU-Bürger auswirken soll.
Der jetzt vorgelegte Verordnungsentwurf bedroht jedoch ganz klar die Eigenständigkeit des EU-Weinrechts, wird erhebliche Rechtsverwirrungen mit sich bringen und ist der vorgenannten Zielsetzung diametral zuwider.
Laut diesem Verordnungsentwurf sollen die Vorschriften der neuen und hart erkämpften Reform Weinmarktordnung, über zahlreiche Artikel und völlig unübersichtlich verstreut, zusammen mit Bestimmungen anderer Agrarprodukte, in die einheitliche GMO einfließen. Die Weinvorschriften sind somit nur noch sehr schwer lesbar und völlig untransparent. Für die einzelnen Winzer wird es aufwendig und kompliziert, die für ihn maßgeblichen Rechtsbestimmungen aus dem umfassenden Regelwerk der einheitlichen GMO zu überblicken. Auch Weinexperten werden hier vor große Herausforderungen gestellt
Der vom Europäischen Parlament mit den Mitgliedstaaten ausgehandelte und gut durchdachte politische Kompromiss zur Reform der Gemeinsamen Marktordnung für Wein und Weinbauerzeugnisse muss als Ganzes erhalten bleiben und darf nicht aufgedröselt werden, um die sektorspezifischen Bestimmungen der Weinmarktordnung zu erhalten, erklärte Astrid Lulling in Brüssel. Gemeinsam mit Kollegen aus dem Agrarausschuss hat sie am 10. September an die Agrarkommissarin Fischer-Boel geschrieben um gegen diese Vorschläge zu protestieren und an die feste Zusage der Kommissarin zu erinnern, eine gesonderte Marktordnung für Wein zu erhalten.
Mehr Geld für die Bienen
Mehr Geld für die Bienen
Der Agrarausschuss des europäischen Parlaments hat in seiner Sitzung vom 9. September über den Haushalt für 2009 entschieden.
Astrid Lulling, Europaabgeordnete für Luxemburg, hatte einen Änderungsantrag eingebracht, um mehr Mittel zur Unterstützung der stark gefährdeten Bienenzucht zu bekommen. Ihr Antrag wurde einstimmig angenommen.
Sie begründete ihren Antrag damit, dass zwar seit dem Beitritt von Rumänien und Bulgarien die Zahl der Bienenvölker um 15% zugenommen habe, die Mittel die für die Verbesserung der Produktion und Vermarktung von Honig, also für die Bienenzucht zur Verfügung stehen, hingegen gleich geblieben sind. Die Mitgliedsstaaten konnten ihre Imker somit 2008, rund 10% weniger unterstützen als noch im Vorjahr.
Dank dem unermüdlichen Einsatz von Astrid Lulling, schlägt der Agrarausschuss jetzt vor, die Mittel für die Bienenzucht 2009 um rund 2,4 Millionen auf 26,4 Millionen aufzustocken.
Der Agrarausschuss des europäischen Parlaments hat in seiner Sitzung vom 9. September über den Haushalt für 2009 entschieden.
Astrid Lulling, Europaabgeordnete für Luxemburg, hatte einen Änderungsantrag eingebracht, um mehr Mittel zur Unterstützung der stark gefährdeten Bienenzucht zu bekommen. Ihr Antrag wurde einstimmig angenommen.
Sie begründete ihren Antrag damit, dass zwar seit dem Beitritt von Rumänien und Bulgarien die Zahl der Bienenvölker um 15% zugenommen habe, die Mittel die für die Verbesserung der Produktion und Vermarktung von Honig, also für die Bienenzucht zur Verfügung stehen, hingegen gleich geblieben sind. Die Mitgliedsstaaten konnten ihre Imker somit 2008, rund 10% weniger unterstützen als noch im Vorjahr.
Dank dem unermüdlichen Einsatz von Astrid Lulling, schlägt der Agrarausschuss jetzt vor, die Mittel für die Bienenzucht 2009 um rund 2,4 Millionen auf 26,4 Millionen aufzustocken.
Mittwoch, 3. September 2008
sur le rapport Svensson sur l'impact du marketing et de la publicité sur l'égalité des genres
Astrid Lulling, sur le rapport Svensson sur l'impact du marketing et de la publicité sur l'égalité des genres
La Parlement européen a voté en session plénière, qui s'est exceptionnellement déroulée à Bruxelles, le rapport Svensson sur l'impact du marketing et de la publicité sur l'égalité des genres. Par publicité en général, on entend tout message écrit, visuel ou sonore, sous forme imprimée ou électronique, qui vise à promouvoir l'activité commerciale d'une entreprise.
La feuille de route pour l'égalité entre les femmes et les hommes 2006-2010 comprend six axes prioritaires, dont l'un consiste à lutter contre les clichés sexistes. Le rapport de Eva-Britt Svensson aurait dû mettre en lumière la manière dont la publicité alimente et renforce les clichés sexistes, et comment elle influence négativement le concept d'égalité.
Astrid Lulling, députée européenne pour le Luxembourg, reconnaît l'importance et la sensibilité d'un tel rapport mais lui reproche également sa lourdeur.
Après le vote du rapport Svensson, Astrid Lulling a fait la déclaration de vote suivante:
"Nous avons dans ce Parlement la mauvaise habitude de produire des rapports d'initiatives sur tout et rien et sur des thèmes qui relèvent plutôt de la subsidiarité, c'est à dire que l'UE devrait s'abstenir de s'immiscer dans des domaines qui relèvent de la souveraineté des Etats-membres et qui sont mieux réglés sur le plan national.
Le rapport sur l'impact du marketing et de la publicité sur l'égalité des genres est inacceptable tel qu'il a été voté par une majorité de la Commission des droits de la femme et de l'égalité des genres.
Ensemble avec des collègues de mon groupe, nous avons soumis une série d'amendements pour le nettoyer de certains clichés idéologiques et le rendre acceptable pour nous.
Je tiens à préciser que bien sûr nous sommes préoccupés par les stéréotypes de genre véhiculés par certaines publicités.
Bien sûr nous sommes contre la publicité qui propose des services sexuels et qui renforcent les stéréotypes liés à la femme-objet.
Bien sûr nous voulons protéger les enfants contre une publicité qui incite entre autre à la violence et au sexisme.
Bien sûr nous sommes conscients de l'importance de codes de déontologie, de codes de conduite, mais ce n'est pas à la Commission de les imposer aux Etats Membres."
La publicité doit respecter les valeurs qui nous sont chères, mais elle doit pouvoir exister et jouer son rôle dans l'économie de marché sans être accusée de tous les maux, ce qui est la teneur de ce rapport."
La Parlement européen a voté en session plénière, qui s'est exceptionnellement déroulée à Bruxelles, le rapport Svensson sur l'impact du marketing et de la publicité sur l'égalité des genres. Par publicité en général, on entend tout message écrit, visuel ou sonore, sous forme imprimée ou électronique, qui vise à promouvoir l'activité commerciale d'une entreprise.
La feuille de route pour l'égalité entre les femmes et les hommes 2006-2010 comprend six axes prioritaires, dont l'un consiste à lutter contre les clichés sexistes. Le rapport de Eva-Britt Svensson aurait dû mettre en lumière la manière dont la publicité alimente et renforce les clichés sexistes, et comment elle influence négativement le concept d'égalité.
Astrid Lulling, députée européenne pour le Luxembourg, reconnaît l'importance et la sensibilité d'un tel rapport mais lui reproche également sa lourdeur.
Après le vote du rapport Svensson, Astrid Lulling a fait la déclaration de vote suivante:
"Nous avons dans ce Parlement la mauvaise habitude de produire des rapports d'initiatives sur tout et rien et sur des thèmes qui relèvent plutôt de la subsidiarité, c'est à dire que l'UE devrait s'abstenir de s'immiscer dans des domaines qui relèvent de la souveraineté des Etats-membres et qui sont mieux réglés sur le plan national.
Le rapport sur l'impact du marketing et de la publicité sur l'égalité des genres est inacceptable tel qu'il a été voté par une majorité de la Commission des droits de la femme et de l'égalité des genres.
Ensemble avec des collègues de mon groupe, nous avons soumis une série d'amendements pour le nettoyer de certains clichés idéologiques et le rendre acceptable pour nous.
Je tiens à préciser que bien sûr nous sommes préoccupés par les stéréotypes de genre véhiculés par certaines publicités.
Bien sûr nous sommes contre la publicité qui propose des services sexuels et qui renforcent les stéréotypes liés à la femme-objet.
Bien sûr nous voulons protéger les enfants contre une publicité qui incite entre autre à la violence et au sexisme.
Bien sûr nous sommes conscients de l'importance de codes de déontologie, de codes de conduite, mais ce n'est pas à la Commission de les imposer aux Etats Membres."
La publicité doit respecter les valeurs qui nous sont chères, mais elle doit pouvoir exister et jouer son rôle dans l'économie de marché sans être accusée de tous les maux, ce qui est la teneur de ce rapport."
Montag, 1. September 2008
La lutte légitime et nécessaire contre la fraude fiscale ne doit pas nous conduire à remettre en cause le principe de la concurrence fiscale
Intervention d'Astrid Lulling au Parlement Européen à Bruxelles lors du débat du rapport Bowles "sur une stratégie coordonnée en vue d'améliorer la lutte contre la fraude fiscale":
"La lutte légitime et nécessaire contre la fraude fiscale ne doit pas nous conduire à remettre en cause le principe de la concurrence fiscale"
"Monsieur le Président,
tout en étant d´accord avec les grandes lignes du rapport de Mme Bowles, je crois bien nécessaire d'insister sur deux points.
Premièrement, le "régime transitoire" qui date de 1993 montre aujourd'hui ses limites et je ne pense pas que l'on puisse se contenter encore longtemps du "provisoire qui dure". La fraude fiscale que nous condamnons tous en tant que telle et pour ses effets directs et indirects est pour une part imputable aux failles du système actuel de TVA. Il convient donc de changer celui-ci. Certes je ne méconnais pas les problèmes qui se posent- les mécanismes en discussion comportent tous leurs inconvénients.
Voilà pourquoi je recommande à la Commission de promouvoir la solution imaginée par l'organisation RTVat, qui permettra d'éviter un manque à gagner fiscal de 275 millions d'euros par jour, tout en réduisant les coûts administratifs pour les PME.
En tout état de cause, je forme le voeu ardent que le débat de ce soir encouragera la Commission à redoubler d'effort et surtout incitera le Conseil à faire preuve de plus de zèle. Ce ne sera pas facile, mais cela est nécessaire pour le bon fonctionnement du marché intérieur.
Mon deuxième point concerne la question de l'évasion fiscale mise en relation avec la directive sur la fiscalité de l'épargne. Le rapport contient des remarques injustifiées selon moi, qui m'ont conduite à proposer des amendements afin de rectifier les choses. La lutte légitime et nécessaire contre la fraude fiscale ne doit pas nous conduire à remettre en cause le principe de la concurrence fiscale. Je m'y refuse absolument. Les deux n'ont pas de rapport.
D'autre part, l'expérience prouve que c'est le système de retenue à la source en matière de fiscalité de l'épargne qui est le plus efficace alors que c'est le système d'échange d'informations, que l'on voudrait imposer partout, qui connaît des ratés.
Enfin, les revendications de réforme de ladite directive, dans le sens d'une extension de son champ d'application à l'ensemble des entités juridiques et de toutes les autres sources de revenus financiers sont également très mal inspirées, car elles n'auront pour effet que de chasser l'épargne hors de l'Union européenne.
Voilà pourquoi je souhaite que nous redressions ces affirmations.
Mon approbation du rapport en dépendra."
"La lutte légitime et nécessaire contre la fraude fiscale ne doit pas nous conduire à remettre en cause le principe de la concurrence fiscale"
"Monsieur le Président,
tout en étant d´accord avec les grandes lignes du rapport de Mme Bowles, je crois bien nécessaire d'insister sur deux points.
Premièrement, le "régime transitoire" qui date de 1993 montre aujourd'hui ses limites et je ne pense pas que l'on puisse se contenter encore longtemps du "provisoire qui dure". La fraude fiscale que nous condamnons tous en tant que telle et pour ses effets directs et indirects est pour une part imputable aux failles du système actuel de TVA. Il convient donc de changer celui-ci. Certes je ne méconnais pas les problèmes qui se posent- les mécanismes en discussion comportent tous leurs inconvénients.
Voilà pourquoi je recommande à la Commission de promouvoir la solution imaginée par l'organisation RTVat, qui permettra d'éviter un manque à gagner fiscal de 275 millions d'euros par jour, tout en réduisant les coûts administratifs pour les PME.
En tout état de cause, je forme le voeu ardent que le débat de ce soir encouragera la Commission à redoubler d'effort et surtout incitera le Conseil à faire preuve de plus de zèle. Ce ne sera pas facile, mais cela est nécessaire pour le bon fonctionnement du marché intérieur.
Mon deuxième point concerne la question de l'évasion fiscale mise en relation avec la directive sur la fiscalité de l'épargne. Le rapport contient des remarques injustifiées selon moi, qui m'ont conduite à proposer des amendements afin de rectifier les choses. La lutte légitime et nécessaire contre la fraude fiscale ne doit pas nous conduire à remettre en cause le principe de la concurrence fiscale. Je m'y refuse absolument. Les deux n'ont pas de rapport.
D'autre part, l'expérience prouve que c'est le système de retenue à la source en matière de fiscalité de l'épargne qui est le plus efficace alors que c'est le système d'échange d'informations, que l'on voudrait imposer partout, qui connaît des ratés.
Enfin, les revendications de réforme de ladite directive, dans le sens d'une extension de son champ d'application à l'ensemble des entités juridiques et de toutes les autres sources de revenus financiers sont également très mal inspirées, car elles n'auront pour effet que de chasser l'épargne hors de l'Union européenne.
Voilà pourquoi je souhaite que nous redressions ces affirmations.
Mon approbation du rapport en dépendra."
Astrid Lulling verlangt Debatte über das Bienensterben im Plenum des Europäischen Parlaments.
Nach Rücksprache mit dem Vorsitzenden des Agrarausschusses und ihren Kollegen in diesem Ausschuss wird die Luxemburger Europaabgeordnete Astrid Lulling, ständige Berichterstatterin für die Lage der Bienenzucht in der EU, beantragen, auf die Tagesordnung der Oktoberplenarsitzung des Europäischen Parlaments eine mündliche Anfrage an die Europäische Kommission mit Debatte und Entschließung betreffend die Ursachen des besorgniserregenden Bienensterbens in der EU und die zu ergreifenden Gegenmaßnahmen zu setzen.
Der Agrarausschuss wird in seiner nächsten Sitzung hierüber befinden.
Der Agrarausschuss wird in seiner nächsten Sitzung hierüber befinden.
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