CNFL will Rentensplitting durchsetzen
Astrid Lulling: "Scheidung ist die größte Armutsfalle"
Letzte Aktualisierung: 30-06-2008 14:09
(vb) - Der "Conseil national des femmes" macht auf die Lage von geschiedenen Frauen ohne Rentenrechte aufmerksam. "Immer noch gibt es tausende Frauen, die keine soziale Absicherung haben", sagte die neue CNFL-Präsidentin Astrid Lulling.
Die Europaabgeordnete übernimmt turnusgemäß den Vorsitz der nationalen Dachorganisation aus zwölf Frauenverbänden. Die Individualisierung von Rentenrechten ist seit der Gründung des CNFLim Jahr 1978 ein Anliegen. "Es ist frustrierend, aber wir haben innerhalb von 30 Jahren nicht die Fortschritte gemacht , die wir uns erhofft hätten", erklärte Astrid Lulling.
Noch immer ist der Ex-Mann für die finanzielle Versorgung der geschiedenen Ehefrau zuständig, wenn sie selbst nicht oder nur kurze Zeit in die Rentenkasse einbezahlt hat. Oft reichen die Alimente des Ex-Mannes nicht aus. "Das führt dazu, dass Scheidung für Frauen die größte Armutsfalle in Luxemburg ist", sagte Lulling.
"Rentensplitting gehört ins Gesetz"
Der "Conseil national des femmes" will sich während der einjährigen Amtsperiode von Astrid Lulling, der Präsidentin der "Fédération nationale des Femmes Luxembourgeoises" dafür einsetzen, dass das Rentensplitting im Gesetz über die Sozialversicherung verankert wird. Die Regierung plant derzeit eine Reform des Scheidungsrechts und möchte die Entscheidung über die Rentenrechte den Richtern überlassen.
Nach der Sommerpause startet der CNFL eine Informationskampagne für Frauen , die ihre Berufstätigkeit zugunsten der Kindererziehung aufgegeben haben. Die Kampagne wirbt dafür, weiterhin freiwillig Beiträge in die Rentenkasse zu bezahlen, damit keine allzu große Lücke entsteht.
"Uns wird schon lange gesagt, das Rentensplitting ist möglich. Der Staatsrat schreitet jedoch immer wieder ein", meint Lulling.
In Zukunft will der CNFL gegen Genitalverstümmelung mobil machen. Im Nachgang der Parlamentswahl in einem Jahr soll außerdem Wahlforschung getrennt nach Geschlechtern betrieben werden.
Montag, 30. Juni 2008
Donnerstag, 26. Juni 2008
sonnette d'alarme pour maintenir la spécificité de l'OCM-Vin
Bruxelles, le 26 juin 2008
Astrid Lulling, Présidente de l'Intergroupe Viticulture-Tradition-Qualité sur l'intégration de l'OCM vin dans l'OCM unique: "Il faut tirer la sonnette d'alarme pour maintenir la spécificité de l'OCM-Vin."
La réunion de l'Intergroupe Viticulture-Tradition-Qualité qui s'est tenue le jeudi 19 juin à Strasbourg a analysé la situation en ce qui concerne les règlements d'application de l'OCM vin. Plusieurs ministères nationaux ont déjà exprimé leurs craintes concernant les projets de la Commission de réintroduire, par le biais de règlements d'application, bon nombre de ses propositions incongrues et trop libérales, qui ont été clairement rejetées par le compromis politique obtenu en décembre 2007 au Conseil des Ministres sur la réforme de l'OCM-Vin.
Les parlementaires européens et les représentants de la filière vitivinicole sont particulièrement préoccupés par l'intention de la Commission européenne d'intégrer l’OCM Vin dans l’OCM unique. La Commission avait annoncé en 2006 sa volonté de maintenir une OCM spécifique pour le vin. Alors que les discussions sur les règlements d’application de l'OCM-Vin sont en cours, il semblerait que la Commission veuille intégrer l'OCM vin dans l'OCM unique au plus tard le 1er août 2009.
Cette proposition de la Commission entraînerait une dispersion des articles relatifs à l’OCM-vin dans le texte de l’OCM unique. De plus, des articles entiers de l’OCM vin se retrouveraient divisés dans l’OCM unique et cette intégration entraînerait la perte de l’approche sectorielle.
En plus le compromis politique négocié par les Etats membres et le Parlement européen serait intégré dans l’OCM unique sans être à droit constant. La Commission remettrait ainsi en cause le pouvoir du comité de gestion et prévoirait de s’octroyer tous les pouvoirs sur un ensemble de points tels que les modalités d’application pour les appellations d’origine et les mentions traditionnelles ainsi que pour l’étiquetage (notamment en ce qui concerne la provenance des vins).
Astrid Lulling, Présidente de l'Intergroupe Viticulture-Tradition-Qualité au Parlement européen, reproche à la Commission qu'elle ne veuille pas attendre le bilan de santé de la PAC avant d’envisager l’intégration de l’OCM vin dans l'OCM unique. Pascal Bobillier-Monnot, directeur de la CNAOC (Confédération nationale des appellations d'origine contrôlée, France), a souligné que si l’OCM vin devait être intégrée dans l'OCM unique, la Commission devrait faire cela à droit constant.
Les parlementaires européens et la profession déplorent cette situation, notamment parce que la Commission avait expressément reconnu la spécificité du secteur vitivinicole. De plus, si des mesures devraient être prises sans respecter l’accord politique conclu en décembre 2007, ce serait d’autant plus grave. Mme Lulling tient beaucoup à ce que les comités de gestion soient conservés et souligne la nécessité de rester vigilants sur ces questions. Elle tire la sonnette d'alarme pour empêcher ces intentions désastreuses pour toute la filière.
Astrid Lulling, Présidente de l'Intergroupe Viticulture-Tradition-Qualité sur l'intégration de l'OCM vin dans l'OCM unique: "Il faut tirer la sonnette d'alarme pour maintenir la spécificité de l'OCM-Vin."
La réunion de l'Intergroupe Viticulture-Tradition-Qualité qui s'est tenue le jeudi 19 juin à Strasbourg a analysé la situation en ce qui concerne les règlements d'application de l'OCM vin. Plusieurs ministères nationaux ont déjà exprimé leurs craintes concernant les projets de la Commission de réintroduire, par le biais de règlements d'application, bon nombre de ses propositions incongrues et trop libérales, qui ont été clairement rejetées par le compromis politique obtenu en décembre 2007 au Conseil des Ministres sur la réforme de l'OCM-Vin.
Les parlementaires européens et les représentants de la filière vitivinicole sont particulièrement préoccupés par l'intention de la Commission européenne d'intégrer l’OCM Vin dans l’OCM unique. La Commission avait annoncé en 2006 sa volonté de maintenir une OCM spécifique pour le vin. Alors que les discussions sur les règlements d’application de l'OCM-Vin sont en cours, il semblerait que la Commission veuille intégrer l'OCM vin dans l'OCM unique au plus tard le 1er août 2009.
Cette proposition de la Commission entraînerait une dispersion des articles relatifs à l’OCM-vin dans le texte de l’OCM unique. De plus, des articles entiers de l’OCM vin se retrouveraient divisés dans l’OCM unique et cette intégration entraînerait la perte de l’approche sectorielle.
En plus le compromis politique négocié par les Etats membres et le Parlement européen serait intégré dans l’OCM unique sans être à droit constant. La Commission remettrait ainsi en cause le pouvoir du comité de gestion et prévoirait de s’octroyer tous les pouvoirs sur un ensemble de points tels que les modalités d’application pour les appellations d’origine et les mentions traditionnelles ainsi que pour l’étiquetage (notamment en ce qui concerne la provenance des vins).
Astrid Lulling, Présidente de l'Intergroupe Viticulture-Tradition-Qualité au Parlement européen, reproche à la Commission qu'elle ne veuille pas attendre le bilan de santé de la PAC avant d’envisager l’intégration de l’OCM vin dans l'OCM unique. Pascal Bobillier-Monnot, directeur de la CNAOC (Confédération nationale des appellations d'origine contrôlée, France), a souligné que si l’OCM vin devait être intégrée dans l'OCM unique, la Commission devrait faire cela à droit constant.
Les parlementaires européens et la profession déplorent cette situation, notamment parce que la Commission avait expressément reconnu la spécificité du secteur vitivinicole. De plus, si des mesures devraient être prises sans respecter l’accord politique conclu en décembre 2007, ce serait d’autant plus grave. Mme Lulling tient beaucoup à ce que les comités de gestion soient conservés et souligne la nécessité de rester vigilants sur ces questions. Elle tire la sonnette d'alarme pour empêcher ces intentions désastreuses pour toute la filière.
Mittwoch, 25. Juni 2008
Spautz und Lulling wehren sich (wort.lu)
Spautz und Lulling wehren sich gegen Vorwürfe
Asti-Präsident Kollwelter spricht von "schleichender Fremdenfeindlichkeit"
Letzte Aktualisierung: 25-06-2008 17:15 (www.wort.lu)
(vb) - Die Luxemburger Europaabgeordneten Jean Spautz und Astrid Lulling fühlen sich von Asti-Präsident Serge Kollwelter persönlich beleidigt. In einem offenen Brief wehren sich die Politiker gegen Vorwürfe der Fremdenfreindlichkeit und sagen, Kollwelter habe die Tatsachen verzerrt dargestellt.
Ursache für den Aufschrei der Europaabgeordneten war ein Beitrag von Serge Kollwelter auf RTL Radio Lëtzebuerg über eine EU-Direktive zur Abschiebung von illegalen Ausländern. In der Sendung "Carte blanche" von diesem Mittwoch hatte sich Kollwelter bei jenen drei Luxemburger Abgeordneten bedankt, die gegen die Richtlinie gestimmt haben und die "nicht im Mainstream der schleichenden Xenophobie " mitschwimmen. Jean Spautz, Astrid Lulling (beide CSV) und Lydie Polfer (DP) hatten in Straßburg für die Richtlinie gestimmt.
Sie sieht vor, dass illegale Einwanderer innerhalb von sechs Monaten in ihr Herkunftsland zurückgeführt werden sollen. In Ausnahmefällen kann diese Frist bis zu 18 Monaten betragen.
Die Luxemburger Abgeordneten Erna Hennicot-Schoepges (CSV), Robert Goebbels (LSAP ) und Claude Turmes (Déi Gréng) hatten gegen die Richtlinie gestimmt.
Jean Spautz und Astrid Lulling stellen fest, dass die Richtlinie "ihren humanitären Bedenken voll Rechnung trägt". Illegale Einwanderung könne nur durch strenge , gemeinsamen EU-Regeln bekämpft werden. Auch die Höchstdauer von sechs Monaten Abschiebehaft sei ein Fortschritt. Bislang habe es eine solche Frist in Luxemburg nicht gegeben.
"Mit der EU-Direktive wird der willkürlichen Abschiebepolitik ein Ende bereitet und der Rechtsstaat wird gestärkt", heißt es in dem Schreiben der beiden Parlamentarier.
Asti-Präsident Kollwelter spricht von "schleichender Fremdenfeindlichkeit"
Letzte Aktualisierung: 25-06-2008 17:15 (www.wort.lu)
(vb) - Die Luxemburger Europaabgeordneten Jean Spautz und Astrid Lulling fühlen sich von Asti-Präsident Serge Kollwelter persönlich beleidigt. In einem offenen Brief wehren sich die Politiker gegen Vorwürfe der Fremdenfreindlichkeit und sagen, Kollwelter habe die Tatsachen verzerrt dargestellt.
Ursache für den Aufschrei der Europaabgeordneten war ein Beitrag von Serge Kollwelter auf RTL Radio Lëtzebuerg über eine EU-Direktive zur Abschiebung von illegalen Ausländern. In der Sendung "Carte blanche" von diesem Mittwoch hatte sich Kollwelter bei jenen drei Luxemburger Abgeordneten bedankt, die gegen die Richtlinie gestimmt haben und die "nicht im Mainstream der schleichenden Xenophobie " mitschwimmen. Jean Spautz, Astrid Lulling (beide CSV) und Lydie Polfer (DP) hatten in Straßburg für die Richtlinie gestimmt.
Sie sieht vor, dass illegale Einwanderer innerhalb von sechs Monaten in ihr Herkunftsland zurückgeführt werden sollen. In Ausnahmefällen kann diese Frist bis zu 18 Monaten betragen.
Die Luxemburger Abgeordneten Erna Hennicot-Schoepges (CSV), Robert Goebbels (LSAP ) und Claude Turmes (Déi Gréng) hatten gegen die Richtlinie gestimmt.
Jean Spautz und Astrid Lulling stellen fest, dass die Richtlinie "ihren humanitären Bedenken voll Rechnung trägt". Illegale Einwanderung könne nur durch strenge , gemeinsamen EU-Regeln bekämpft werden. Auch die Höchstdauer von sechs Monaten Abschiebehaft sei ein Fortschritt. Bislang habe es eine solche Frist in Luxemburg nicht gegeben.
"Mit der EU-Direktive wird der willkürlichen Abschiebepolitik ein Ende bereitet und der Rechtsstaat wird gestärkt", heißt es in dem Schreiben der beiden Parlamentarier.
Die ehemaligen Lehrer und Lehrerinnen aus Differdingen zu Besuch (Brüssel)
Die ehemaligen Lehrer und Lehrerinnen aus Differdingen zu Besuch im Europaparlament in Brüssel
Kürzlich hieß die Europaabgeordnete Astrid LULLING ehemalige Lehrer und Lehrerinnen aus Differdingen im Europaparlament in Brüssel willkommen.
Nachdem die Besuchergruppe von Astrid Lulling empfangen wurde, informierte die Europaabgeordnete die Interessierten über ihre Rolle und Arbeit als Parlamentarierin. Anschließend hielt Frau Lulling einen Vortrag über die momentane politische Lage in Europa und sprach verschiedene aktuelle Themen an, mit denen sich das Parlament derzeit beschäftigt.
Vor dem Mittagessen hatte die Besuchergruppe dann die Gelegenheit, den Europaabgeordneten von der Tribüne aus bei der Stimmabgabe zuzusehen.
FOTO: Frau Lulling zusammen mit der Besuchergruppe.
Kürzlich hieß die Europaabgeordnete Astrid LULLING ehemalige Lehrer und Lehrerinnen aus Differdingen im Europaparlament in Brüssel willkommen.
Nachdem die Besuchergruppe von Astrid Lulling empfangen wurde, informierte die Europaabgeordnete die Interessierten über ihre Rolle und Arbeit als Parlamentarierin. Anschließend hielt Frau Lulling einen Vortrag über die momentane politische Lage in Europa und sprach verschiedene aktuelle Themen an, mit denen sich das Parlament derzeit beschäftigt.
Vor dem Mittagessen hatte die Besuchergruppe dann die Gelegenheit, den Europaabgeordneten von der Tribüne aus bei der Stimmabgabe zuzusehen.
FOTO: Frau Lulling zusammen mit der Besuchergruppe.
Donnerstag, 19. Juni 2008
Sommet des Régions viticoles de l'Europe
L'AREV fête à Reims le XXe anniversaire de sa fondation en présence de Michel Barnier, Federico Castellucci, Astrid Lullig, Alain Rousset
Cest à Reims, en Champagne-Ardenne, que l'AREV tiendra le 30 mai 2008 ses prochaines assises, véritable « sommet » des Régions viticoles de l'Europe, et célèbrera, le 31 mai, son XXe anniversaire en présence de nombreuses personnalités politiques, régionales, nationales et européennes entre autres M. Michel Barnier, M. Federico Castellucci (Directeur général de l'OIV), Mme Astrid Lulling (Présidente de lIntergroupe Vin du Parlement Européen), Alain Rousset (Association des Régions de France) , ainsi que déminents représentants du secteur européen du vin.
Les 20 et 21 juin 1988, les représentants politiques et professionnels de 55 Régions viticoles européennes et du monde du vin de toute l’Europe, ainsi que de nombreux scientifiques et universitaires, se réunissaient au château de la citadelle de Bourg-sur-Gironde, en Aquitaine, pour se constituer en parlement de la viticulture européenne sous le nom de Conférence Européenne des Régions Viticoles (CERV).
Cette première Session Plénière de la CERV avait été annoncée le 14 janvier 1988 lors de la conférence de presse, réunissant à l’Hôtel de Lassay ses trois pères fondateurs, Edgar Faure, Président du Conseil régional de Franche-Comté et Président de l’Assemblée des Régions d’Europe (ARE), Jacques Chaban-Delmas, Président du Conseil régional d’Aquitaine et Président de l’Assemblée Nationale, ainsi que Gérard Baloup, ancien Directeur de la Conférence des Pouvoirs Locaux et Régionaux au Conseil de l’Europe.
Afin d’améliorer son efficacité, la CERV se dota en 1994 de nouveaux statuts et devint formellement l’Assemblée des Régions Européennes Viticoles (AREV), dépositaire de tout le patrimoine associatif, organisationnel et moral de l’ancienne CERV.
Les quelque 70 Régions issues de 16 pays d’Europe, que l’AREV compte dans l’intervalle, disposent chacune d’une représentation politique et d’une représentation professionnelle. Cette dualité présente l’avantage de permettre au secteur européen du vin de faire entendre sa voix en bénéficiant de l’appui de l’institution politique régionale et de la force que celle-ci tire de sa légitimité démocratique.
Forte de cette double représentativité, l’AREV intervient auprès de toutes les institutions et instances en charge de la politique vitivinicole européenne ou mondiale et s’implique dans tous les dossiers en rapport avec le vin.
Contacts :
Dominique JANIN, Secrétaire Général Adjoint
http://www.a-e-r.org/
Cest à Reims, en Champagne-Ardenne, que l'AREV tiendra le 30 mai 2008 ses prochaines assises, véritable « sommet » des Régions viticoles de l'Europe, et célèbrera, le 31 mai, son XXe anniversaire en présence de nombreuses personnalités politiques, régionales, nationales et européennes entre autres M. Michel Barnier, M. Federico Castellucci (Directeur général de l'OIV), Mme Astrid Lulling (Présidente de lIntergroupe Vin du Parlement Européen), Alain Rousset (Association des Régions de France) , ainsi que déminents représentants du secteur européen du vin.
Les 20 et 21 juin 1988, les représentants politiques et professionnels de 55 Régions viticoles européennes et du monde du vin de toute l’Europe, ainsi que de nombreux scientifiques et universitaires, se réunissaient au château de la citadelle de Bourg-sur-Gironde, en Aquitaine, pour se constituer en parlement de la viticulture européenne sous le nom de Conférence Européenne des Régions Viticoles (CERV).
Cette première Session Plénière de la CERV avait été annoncée le 14 janvier 1988 lors de la conférence de presse, réunissant à l’Hôtel de Lassay ses trois pères fondateurs, Edgar Faure, Président du Conseil régional de Franche-Comté et Président de l’Assemblée des Régions d’Europe (ARE), Jacques Chaban-Delmas, Président du Conseil régional d’Aquitaine et Président de l’Assemblée Nationale, ainsi que Gérard Baloup, ancien Directeur de la Conférence des Pouvoirs Locaux et Régionaux au Conseil de l’Europe.
Afin d’améliorer son efficacité, la CERV se dota en 1994 de nouveaux statuts et devint formellement l’Assemblée des Régions Européennes Viticoles (AREV), dépositaire de tout le patrimoine associatif, organisationnel et moral de l’ancienne CERV.
Les quelque 70 Régions issues de 16 pays d’Europe, que l’AREV compte dans l’intervalle, disposent chacune d’une représentation politique et d’une représentation professionnelle. Cette dualité présente l’avantage de permettre au secteur européen du vin de faire entendre sa voix en bénéficiant de l’appui de l’institution politique régionale et de la force que celle-ci tire de sa légitimité démocratique.
Forte de cette double représentativité, l’AREV intervient auprès de toutes les institutions et instances en charge de la politique vitivinicole européenne ou mondiale et s’implique dans tous les dossiers en rapport avec le vin.
Contacts :
Dominique JANIN, Secrétaire Général Adjoint
http://www.a-e-r.org/
Dienstag, 17. Juni 2008
Wenn die Biene stirbt
"Wenn die Biene von der Erde verschwindet...".
Die Biene ist seit Jahrtausenden ein wichtiges Glied in der Nahrungsmittelkette, da sie durch ihre Funktion als Blütenbestäuber erheblich zur Produktion von Lebensmitteln beiträgt. Einige Kulturen wie zum Beispiel Kirchen oder Oliven, werden ausschließlich von Bienen bestäubt.
Albert Einstein soll angeblich einmal gesagt haben: "Wenn die Biene von der Erde verschwindet, dann hat der Mensch nur noch vier Jahre zu leben. Keine Bienen mehr, keine Bestäubung mehr, keine Pflanzen mehr, keine Tiere mehr, keine Menschen mehr."
Immer mehr Imker aus den verschiedenen Regionen berichten, dass nach der Winterpause tausende von Bienen verendet in ihren Kästen hingen.
Schuld soll angeblich ein vom Chemie Riesen Bayer in Verkehr gebrachtes Insektizid sein, das unter dem Namen "Poncho Pro" bekannt ist. Die Beize die das Nervengift Clothianidin enthält und mit der das Saatgut behandelt wird, soll zum Beispiel die Maispflanze vor dem Maiswurzelbohrer schützen.
Mittlerweile wurde das Insektizid weitgehend für Kartoffeln, Mais, Zucker und Futterrüben, Getreide und Raps zugelassen. Wenn man den zahlreichen internationalen Studien glauben kann, baut sich das Gift jedoch kaum ab und es kann sich deshalb jedes Jahr, trotz Fruchtfolge, immer stärker im Boden ansammeln und wegen seiner guten Wasserlöslichkeit, besonders in Bodensenken, noch höher konzentrieren.
Die letzten Alarmmeldungen kamen aus der Ortenau im Rheintal. Den wissenschaftlichen Untersuchungen des Julius Kühn-Instituts in Braunschweig zufolge, ist der Wirkstoff Clothianidin, der als Pflanzenschutzmittel zur Einbeizung von Saatgut verwendet wird, verantwortlich für das Massensterben von Bienen unter anderem am Rhein. Die Auswertung der Untersuchung hat eindeutig ergeben, dass die Bienen durch den Abrieb des Pflanzenschutzmittelwirkstoffes Clothianidin vergiftet würden. Die französischen Veterinärämter haben bereits zum Frühjahrsbeginn die Imker davor gewarnt, ihre Bienenvölker in Gebieten, in welchen das Nervengift Clothianidin eingesetzt wurde, auszusetzen.
Bereits 2003 hatte die Luxemburger Europaabgeordnete Astrid Lulling in einer mündlichen Anfrage an die EU Kommission auf das massive Bienensterben in verschiedenen Regionen aufmerksam gemacht, was in einer von ihr im Agrarausschuss organisierten Anhörung von Experten bestätigt wurde.
Sie hatte damals auf Maßnahmen und Untersuchungen gedrängt um diese Problem in den Griff zu bekommen.
Leider ist, wie so oft, auf diese eindeutigen Warnungen leider nichts erfolgt.
In einer schriftlichen Anfrage an die EU Kommission, hat Astrid Lulling, Europaabgeordnete für Luxemburg, erneut eine Stellungnahme zum aktuellen Bienensterben erbeten.
Hier der Wortlaut dieser Anfrage:
" Ist das momentane Bienensterben ausschließlich auf einen Produktionsfehler von mit Clothianidin behandeltem Saatgut zurückzuführen? Angeblich soll bei Maissaatgut der notwendige Klebstoff vergessen worden sein, der das Clothianidin an das Saatgut binden soll.
Stimmt es, dass Clothianidin sehr leicht wasserlöslich ist, und sich deshalb trotz Fruchtfolge immer stärker im Boden ansammelt und sich in etwaigen Bodensenken sehr stark konzentriert?
Wie schnell baut sich Clothianidin im Boden ab und wie lange müssen verseuchte Gebiete von Bienen gemieden werden, bevor sie keine Lebensgefahr für dieselben mehr darstellen?
Falls großräumige Sperrgebiete für Bienen verhängt werden müssten oder falls das Bienensterben in dem momentanen Maße in vielen Regionen Europas weitergeht, wie hoch würden die Ertragseinbussen für die Landwirte ausfallen?
Darf man Clothianidin unter den gegebenen Umständen und bei bewiesener Schädlichkeit auch weiterhin zulassen?
Was gedenkt die Kommission zu tun, um dieses Problem des Bienensterbens, das eine akute Gefahr für Pflanzen und Menschen darstellt das ich schon in Anfragen 2003 und 2005 an die EU Kommission thematisiert habe, in den Griff zu bekommen?"
Die Biene ist seit Jahrtausenden ein wichtiges Glied in der Nahrungsmittelkette, da sie durch ihre Funktion als Blütenbestäuber erheblich zur Produktion von Lebensmitteln beiträgt. Einige Kulturen wie zum Beispiel Kirchen oder Oliven, werden ausschließlich von Bienen bestäubt.
Albert Einstein soll angeblich einmal gesagt haben: "Wenn die Biene von der Erde verschwindet, dann hat der Mensch nur noch vier Jahre zu leben. Keine Bienen mehr, keine Bestäubung mehr, keine Pflanzen mehr, keine Tiere mehr, keine Menschen mehr."
Immer mehr Imker aus den verschiedenen Regionen berichten, dass nach der Winterpause tausende von Bienen verendet in ihren Kästen hingen.
Schuld soll angeblich ein vom Chemie Riesen Bayer in Verkehr gebrachtes Insektizid sein, das unter dem Namen "Poncho Pro" bekannt ist. Die Beize die das Nervengift Clothianidin enthält und mit der das Saatgut behandelt wird, soll zum Beispiel die Maispflanze vor dem Maiswurzelbohrer schützen.
Mittlerweile wurde das Insektizid weitgehend für Kartoffeln, Mais, Zucker und Futterrüben, Getreide und Raps zugelassen. Wenn man den zahlreichen internationalen Studien glauben kann, baut sich das Gift jedoch kaum ab und es kann sich deshalb jedes Jahr, trotz Fruchtfolge, immer stärker im Boden ansammeln und wegen seiner guten Wasserlöslichkeit, besonders in Bodensenken, noch höher konzentrieren.
Die letzten Alarmmeldungen kamen aus der Ortenau im Rheintal. Den wissenschaftlichen Untersuchungen des Julius Kühn-Instituts in Braunschweig zufolge, ist der Wirkstoff Clothianidin, der als Pflanzenschutzmittel zur Einbeizung von Saatgut verwendet wird, verantwortlich für das Massensterben von Bienen unter anderem am Rhein. Die Auswertung der Untersuchung hat eindeutig ergeben, dass die Bienen durch den Abrieb des Pflanzenschutzmittelwirkstoffes Clothianidin vergiftet würden. Die französischen Veterinärämter haben bereits zum Frühjahrsbeginn die Imker davor gewarnt, ihre Bienenvölker in Gebieten, in welchen das Nervengift Clothianidin eingesetzt wurde, auszusetzen.
Bereits 2003 hatte die Luxemburger Europaabgeordnete Astrid Lulling in einer mündlichen Anfrage an die EU Kommission auf das massive Bienensterben in verschiedenen Regionen aufmerksam gemacht, was in einer von ihr im Agrarausschuss organisierten Anhörung von Experten bestätigt wurde.
Sie hatte damals auf Maßnahmen und Untersuchungen gedrängt um diese Problem in den Griff zu bekommen.
Leider ist, wie so oft, auf diese eindeutigen Warnungen leider nichts erfolgt.
In einer schriftlichen Anfrage an die EU Kommission, hat Astrid Lulling, Europaabgeordnete für Luxemburg, erneut eine Stellungnahme zum aktuellen Bienensterben erbeten.
Hier der Wortlaut dieser Anfrage:
" Ist das momentane Bienensterben ausschließlich auf einen Produktionsfehler von mit Clothianidin behandeltem Saatgut zurückzuführen? Angeblich soll bei Maissaatgut der notwendige Klebstoff vergessen worden sein, der das Clothianidin an das Saatgut binden soll.
Stimmt es, dass Clothianidin sehr leicht wasserlöslich ist, und sich deshalb trotz Fruchtfolge immer stärker im Boden ansammelt und sich in etwaigen Bodensenken sehr stark konzentriert?
Wie schnell baut sich Clothianidin im Boden ab und wie lange müssen verseuchte Gebiete von Bienen gemieden werden, bevor sie keine Lebensgefahr für dieselben mehr darstellen?
Falls großräumige Sperrgebiete für Bienen verhängt werden müssten oder falls das Bienensterben in dem momentanen Maße in vielen Regionen Europas weitergeht, wie hoch würden die Ertragseinbussen für die Landwirte ausfallen?
Darf man Clothianidin unter den gegebenen Umständen und bei bewiesener Schädlichkeit auch weiterhin zulassen?
Was gedenkt die Kommission zu tun, um dieses Problem des Bienensterbens, das eine akute Gefahr für Pflanzen und Menschen darstellt das ich schon in Anfragen 2003 und 2005 an die EU Kommission thematisiert habe, in den Griff zu bekommen?"
L'adoption par la Slovaquie de la monnaie unique
L'adoption par la Slovaquie de la monnaie unique pour le 1er janvier 2009 est une récompense méritée pour les réformes économiques que ce pays a réalisées.
En session plénière à Strasbourg, le Parlement Européen a voté un rapport qui donne un avis favorable à l'adhésion de la Slovaquie à la monnaie unique pour le 1er janvier 2009. Le Parlement Européen se rallie aux recommandations positives de la Commission, de la BCE et du Conseil. La députée européenne luxembourgeoise Astrid Lulling a voté pour ce rapport et tient à féliciter la Slovaquie pour avoir rempli les critères de Maastricht et de convergence afin de pouvoir adopter la monnaie unique.
Après le vote en plénière, Astrid Lulling a fait déclaration suivante:
J'ai voté pour le rapport Casa concernant l'adoption par la Slovaquie de la monnaie unique le 1er janvier 2009, dans lequel le Parlement Européen se rallie aux recommandations positives de la Commission, de la BCE et du Conseil.
En effet, la Slovaquie a entrepris des efforts énormes afin de remplir les critères de Maastricht et de convergence. L'évolution de l'économie slovaque depuis la chute de son régime communiste est tout à fait remarquable et l'adhésion de la Slovaquie à la monnaie unique est une récompense méritée pour ce pays qui a réalisé un agenda réformateur rigoureux.
Concernant le critère de l'inflation, le Parlement Européen a exprimé ses préoccupations concernant la durabilité du taux d'inflation en Slovaquie à long et moyen terme, identifiée dans le dernier rapport de convergence de la BCE. Toutefois, nous sommes d'avis que le gouvernement slovaque pourra prendre les mesures nécessaires afin d'éviter une escalation inflationniste après l'adhésion à la zone Euro.
Force est de constater que les projections de l'inflation pour la zone Euro pour 2009 se trouvent bien au-delà des 2% visés par la BCE. Il serait donc injustifié de sanctionner la Slovaquie pour ses difficultés à suivre des critères que des membres de la zone Euro n'arriveront pas à remplir en 2009.
En session plénière à Strasbourg, le Parlement Européen a voté un rapport qui donne un avis favorable à l'adhésion de la Slovaquie à la monnaie unique pour le 1er janvier 2009. Le Parlement Européen se rallie aux recommandations positives de la Commission, de la BCE et du Conseil. La députée européenne luxembourgeoise Astrid Lulling a voté pour ce rapport et tient à féliciter la Slovaquie pour avoir rempli les critères de Maastricht et de convergence afin de pouvoir adopter la monnaie unique.
Après le vote en plénière, Astrid Lulling a fait déclaration suivante:
J'ai voté pour le rapport Casa concernant l'adoption par la Slovaquie de la monnaie unique le 1er janvier 2009, dans lequel le Parlement Européen se rallie aux recommandations positives de la Commission, de la BCE et du Conseil.
En effet, la Slovaquie a entrepris des efforts énormes afin de remplir les critères de Maastricht et de convergence. L'évolution de l'économie slovaque depuis la chute de son régime communiste est tout à fait remarquable et l'adhésion de la Slovaquie à la monnaie unique est une récompense méritée pour ce pays qui a réalisé un agenda réformateur rigoureux.
Concernant le critère de l'inflation, le Parlement Européen a exprimé ses préoccupations concernant la durabilité du taux d'inflation en Slovaquie à long et moyen terme, identifiée dans le dernier rapport de convergence de la BCE. Toutefois, nous sommes d'avis que le gouvernement slovaque pourra prendre les mesures nécessaires afin d'éviter une escalation inflationniste après l'adhésion à la zone Euro.
Force est de constater que les projections de l'inflation pour la zone Euro pour 2009 se trouvent bien au-delà des 2% visés par la BCE. Il serait donc injustifié de sanctionner la Slovaquie pour ses difficultés à suivre des critères que des membres de la zone Euro n'arriveront pas à remplir en 2009.
Europa braucht harte, aber gerechte, Regeln gegen illegale Einwanderung
Europa braucht harte, aber gerechte, Regeln um gezielt gegen die illegale Einwanderung vorzugehen.
Während seiner Plenarsitzung in Straßburg hat das Europäische Parlament eine Richtlinie angenommen, die gemeinsame Normen für die Rückführung illegal aufhältiger Drittstaatenangehöriger festlegt. Die Luxemburger Europaabgeordnete Astrid Lulling hat für diese Richtlinie gestimmt, weil sie davon überzeugt ist, dass die Europäische Union nur durch gemeinsame Regeln die illegale Einwanderung gezielt bekämpfen kann.
Nach der Abstimmung gab Astrid Lulling folgende Erklärung ab:
Ich habe für den Bericht über gemeinsame Normen für die Rückführung illegal aufhältiger Drittstaatenangehöriger gestimmt, weil ich der Meinung bin, dass die Europäische Union die illegale Einwanderung nur durch strenge, aber gerechte, gemeinsame Regeln bekämpfen und verhindern kann. Diese Rückführungsrichtlinie, die erste Richtlinie im Migrationsbereich, die durch das Miteinscheidungsverfahren verabschiedet wird, ist ein gelungener Einstand in eine gemeinsame europäische Einwanderungspolitik.
Europa kann sich nur der legalen Einwanderung öffnen, wenn die illegale Einwanderung klar definiert und mit gemeinsamen Regeln wirksam bekämpft werden kann.
Den humanitären Bedenken des Abschiebungsverfahrens wurden meines Erachtens auch Rechnung getragen, insbesondere durch die Einführung einer maximalen Haftdauer von 6 Monaten. Angesichts der Tatsache, dass bisher 9 Mitgliedsstaaten, darunter auch Luxemburg, noch über keine Obergrenzen verfügten, ist das ein großer Fortschritt.
Den Betroffenen eines Abschiebungsverfahrens wird zudem der Rechtsweg eröffnet, der es ihnen ermöglicht, rechtlich gegen das Verfahren vorzugehen. In letzter Konsequenz kann auch der Europäische Gerichtshof eingeschaltet werden. Außerdem garantiert diese Richtlinie einen kostenlosen Rechtsbeistand für die Betroffenen. Damit wird der willkürlichen Abschiebungspolitik einiger Mitgliedsstaaten ein Ende bereitet, und der Rechtsstaat wird gestärkt.
Ich möchte auch klarstellen, dass eine maximale Haftdauer von 18 Monaten, die durch eine 12-Monatige Verlängerung der 6-Monate Haftdauer verhängt werden kann, nur in extremen Ausnahmefällen durchgeführt werden kann. Diese Haftdauer ist im Falle einer Gefahr für die öffentliche Sicherheit oder wegen akuter Fluchtgefahr vorgesehen, wenn es sich also um Personen handelt, die eine Gefahr für die Sicherheit der rechtschaffenen Bürger darstellen. Ich möchte gerne den Politiker sehen, der sich gegen mehr Sicherheit für unsere Bürger ausspricht.
Während seiner Plenarsitzung in Straßburg hat das Europäische Parlament eine Richtlinie angenommen, die gemeinsame Normen für die Rückführung illegal aufhältiger Drittstaatenangehöriger festlegt. Die Luxemburger Europaabgeordnete Astrid Lulling hat für diese Richtlinie gestimmt, weil sie davon überzeugt ist, dass die Europäische Union nur durch gemeinsame Regeln die illegale Einwanderung gezielt bekämpfen kann.
Nach der Abstimmung gab Astrid Lulling folgende Erklärung ab:
Ich habe für den Bericht über gemeinsame Normen für die Rückführung illegal aufhältiger Drittstaatenangehöriger gestimmt, weil ich der Meinung bin, dass die Europäische Union die illegale Einwanderung nur durch strenge, aber gerechte, gemeinsame Regeln bekämpfen und verhindern kann. Diese Rückführungsrichtlinie, die erste Richtlinie im Migrationsbereich, die durch das Miteinscheidungsverfahren verabschiedet wird, ist ein gelungener Einstand in eine gemeinsame europäische Einwanderungspolitik.
Europa kann sich nur der legalen Einwanderung öffnen, wenn die illegale Einwanderung klar definiert und mit gemeinsamen Regeln wirksam bekämpft werden kann.
Den humanitären Bedenken des Abschiebungsverfahrens wurden meines Erachtens auch Rechnung getragen, insbesondere durch die Einführung einer maximalen Haftdauer von 6 Monaten. Angesichts der Tatsache, dass bisher 9 Mitgliedsstaaten, darunter auch Luxemburg, noch über keine Obergrenzen verfügten, ist das ein großer Fortschritt.
Den Betroffenen eines Abschiebungsverfahrens wird zudem der Rechtsweg eröffnet, der es ihnen ermöglicht, rechtlich gegen das Verfahren vorzugehen. In letzter Konsequenz kann auch der Europäische Gerichtshof eingeschaltet werden. Außerdem garantiert diese Richtlinie einen kostenlosen Rechtsbeistand für die Betroffenen. Damit wird der willkürlichen Abschiebungspolitik einiger Mitgliedsstaaten ein Ende bereitet, und der Rechtsstaat wird gestärkt.
Ich möchte auch klarstellen, dass eine maximale Haftdauer von 18 Monaten, die durch eine 12-Monatige Verlängerung der 6-Monate Haftdauer verhängt werden kann, nur in extremen Ausnahmefällen durchgeführt werden kann. Diese Haftdauer ist im Falle einer Gefahr für die öffentliche Sicherheit oder wegen akuter Fluchtgefahr vorgesehen, wenn es sich also um Personen handelt, die eine Gefahr für die Sicherheit der rechtschaffenen Bürger darstellen. Ich möchte gerne den Politiker sehen, der sich gegen mehr Sicherheit für unsere Bürger ausspricht.
Mittwoch, 11. Juni 2008
Les jeunes sont la clé d'une agriculture dynamique
Bruxelles, le 11 juin 2008
Astrid Lulling sur l'avenir des jeunes agriculteurs dans le cadre de la réforme en cours de la PAC: "Les jeunes sont la clé d'une agriculture dynamique!"
L'agriculture européenne est actuellement vouée à accomplir de multiples tâches: produire des aliments de qualité, assurer la sécurité alimentaire, protéger l'environnement (sols et eaux), entretenir le paysage, conserver et diffuser les traditions culturelles locales. C'est pourquoi, ces dernières années, l'attention des opérateurs, des chercheurs et des décideurs du secteur s'est concentrée non seulement sur les questions liées à l'efficacité et à la compétitivité des diverses filières agroalimentaires, mais aussi sur les multiples fonctions de l'agriculture et sur le rôle que joue le secteur primaire en tant qu'élément-clé d'un développement rural durable. Dans ce contexte, les exploitations agricoles doivent relever les défis résultant d'une plus grande ouverture du marché à l'échelon international et se sentir responsables dans la lutte contre le changement climatique, dont les effets sur l'environnement se font de plus en plus sentir.
Toutefois, en raison des dynamiques structurelles en oeuvre dans les régions rurales, le secteur primaire éprouve des difficultés à accomplir ces tâches. Depuis plusieurs années en particulier, on observe dans l'Union européenne une tendance des jeunes à quitter les zones rurales, surtout lorsque les conditions y sont les plus marginales, avec comme conséquence un vieillissement de la population rurale. Ainsi, plus de la moitié des exploitations européennes sont gérées par des agriculteurs de plus de 55 ans, tandis que le quart des exploitants dépassent même les 65 ans. Les situations les plus critiques se présentent dans les pays du sud de l'Union. Les agriculteurs de moins de 35 ans ne représentent dans la Communauté que 7,6 % des exploitants.
Des politiques promouvant, en priorité, l'installation des jeunes dans une agriculture plurifonctionnelle semblent donc opportunes. Les jeunes gèrent des exploitations qui, en moyenne se révèlent plus rentables, grâce à une plus grande sensibilité envers l'adoption de choix novateurs, de pratiques culturales compatibles avec les écosystèmes et d'une plus grande ouverture à l'égard des demandes du marché.
Lors du vote en plénière à Bruxelles du rapport de Donato Tommaso Veraldi (ALDE, IT) sur l'avenir pour les jeunes agriculteurs dans le cadre de la réforme en cours de la PAC, la députée européenne Astrid Lulling a fait la déclaration de vote suivante:
"J'ai voté ce rapport parce que s'il n'y a pas d'avenir acceptable pour les jeunes agriculteurs, il n'y aura pas d'avenir pour l'agriculture européenne. Or, pour beaucoup de raisons qui ont trait à la sécurité alimentaire, à l'offre de produits de qualité, à l'environnement, au maintien de nos beaux paysages de montagnes et de vignobles, il faut prendre des actions positives pour inciter les jeunes à travailler dans l'agriculture, à reprendre l'exploitation familiale.
Pour permettre aux jeunes agriculteurs de rencontrer les multiples défis et attentes tel la production d'aliments de qualité, la sauvegarde de la sécurité alimentaire, la protection de l'environnement, la sauvegarde de la biodiversité et l'entretien du paysage, il est incontournable de revoir le montant de la prime d'installation qui reste inchangé depuis des années. De plus, il faut éviter que cette prime soit couplée à un plan d'exploitation, pour ne pas restreindre l'esprit innovateur des jeunes agriculteurs.
Il faut constater également que les agriculteurs d'âge moyen se voient confrontés aux mêmes défis. Il faut éviter de les désavantager et de porter préjudice à leurs systèmes d'exploitation existants.
Je voudrais enfin relever avec satisfaction que, sur mon initiative, à la commission de l'agriculture, le Parlement européen vient maintenant dans un amendement d'attirer l'attention particulièrement sur l'importance de fournir des informations quant au statut des partenaires aidants les exploitants agricoles. Je voudrais rappeler à ce sujet qu'en 1997 – il y a plus de dix ans –, ce Parlement a voté à une majorité écrasante mon rapport sur le statut des conjoints aidants dans l'agriculture. Dans notre résolution, nous avons insisté surtout sur une affiliation obligatoire de tous les conjoints aidants dans l'agriculture à une assurance-pension. La Commission n'a pas réservé de suite à notre résolution. Dans mon pays, nous avons ce système: une assurance obligatoire pour les conjoints-aidants dans l'agriculture. Il faudrait suivre cet exemple. Il faut une directive-cadre pour y arriver."
Astrid Lulling sur l'avenir des jeunes agriculteurs dans le cadre de la réforme en cours de la PAC: "Les jeunes sont la clé d'une agriculture dynamique!"
L'agriculture européenne est actuellement vouée à accomplir de multiples tâches: produire des aliments de qualité, assurer la sécurité alimentaire, protéger l'environnement (sols et eaux), entretenir le paysage, conserver et diffuser les traditions culturelles locales. C'est pourquoi, ces dernières années, l'attention des opérateurs, des chercheurs et des décideurs du secteur s'est concentrée non seulement sur les questions liées à l'efficacité et à la compétitivité des diverses filières agroalimentaires, mais aussi sur les multiples fonctions de l'agriculture et sur le rôle que joue le secteur primaire en tant qu'élément-clé d'un développement rural durable. Dans ce contexte, les exploitations agricoles doivent relever les défis résultant d'une plus grande ouverture du marché à l'échelon international et se sentir responsables dans la lutte contre le changement climatique, dont les effets sur l'environnement se font de plus en plus sentir.
Toutefois, en raison des dynamiques structurelles en oeuvre dans les régions rurales, le secteur primaire éprouve des difficultés à accomplir ces tâches. Depuis plusieurs années en particulier, on observe dans l'Union européenne une tendance des jeunes à quitter les zones rurales, surtout lorsque les conditions y sont les plus marginales, avec comme conséquence un vieillissement de la population rurale. Ainsi, plus de la moitié des exploitations européennes sont gérées par des agriculteurs de plus de 55 ans, tandis que le quart des exploitants dépassent même les 65 ans. Les situations les plus critiques se présentent dans les pays du sud de l'Union. Les agriculteurs de moins de 35 ans ne représentent dans la Communauté que 7,6 % des exploitants.
Des politiques promouvant, en priorité, l'installation des jeunes dans une agriculture plurifonctionnelle semblent donc opportunes. Les jeunes gèrent des exploitations qui, en moyenne se révèlent plus rentables, grâce à une plus grande sensibilité envers l'adoption de choix novateurs, de pratiques culturales compatibles avec les écosystèmes et d'une plus grande ouverture à l'égard des demandes du marché.
Lors du vote en plénière à Bruxelles du rapport de Donato Tommaso Veraldi (ALDE, IT) sur l'avenir pour les jeunes agriculteurs dans le cadre de la réforme en cours de la PAC, la députée européenne Astrid Lulling a fait la déclaration de vote suivante:
"J'ai voté ce rapport parce que s'il n'y a pas d'avenir acceptable pour les jeunes agriculteurs, il n'y aura pas d'avenir pour l'agriculture européenne. Or, pour beaucoup de raisons qui ont trait à la sécurité alimentaire, à l'offre de produits de qualité, à l'environnement, au maintien de nos beaux paysages de montagnes et de vignobles, il faut prendre des actions positives pour inciter les jeunes à travailler dans l'agriculture, à reprendre l'exploitation familiale.
Pour permettre aux jeunes agriculteurs de rencontrer les multiples défis et attentes tel la production d'aliments de qualité, la sauvegarde de la sécurité alimentaire, la protection de l'environnement, la sauvegarde de la biodiversité et l'entretien du paysage, il est incontournable de revoir le montant de la prime d'installation qui reste inchangé depuis des années. De plus, il faut éviter que cette prime soit couplée à un plan d'exploitation, pour ne pas restreindre l'esprit innovateur des jeunes agriculteurs.
Il faut constater également que les agriculteurs d'âge moyen se voient confrontés aux mêmes défis. Il faut éviter de les désavantager et de porter préjudice à leurs systèmes d'exploitation existants.
Je voudrais enfin relever avec satisfaction que, sur mon initiative, à la commission de l'agriculture, le Parlement européen vient maintenant dans un amendement d'attirer l'attention particulièrement sur l'importance de fournir des informations quant au statut des partenaires aidants les exploitants agricoles. Je voudrais rappeler à ce sujet qu'en 1997 – il y a plus de dix ans –, ce Parlement a voté à une majorité écrasante mon rapport sur le statut des conjoints aidants dans l'agriculture. Dans notre résolution, nous avons insisté surtout sur une affiliation obligatoire de tous les conjoints aidants dans l'agriculture à une assurance-pension. La Commission n'a pas réservé de suite à notre résolution. Dans mon pays, nous avons ce système: une assurance obligatoire pour les conjoints-aidants dans l'agriculture. Il faudrait suivre cet exemple. Il faut une directive-cadre pour y arriver."
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